samedi 1 octobre 2011

Education nationale malade de l'austérité

A Argenteuil, dans les écoles primaires et secondaires, le compte n'y est pas au niveau du nombre de psychologues scolaires, d'infirmières et de médecins, des personnels pourtant essentiels au suivi , à l'éducation, et à l'aide des élèves.
    Le gouvernement préfère sans doute très nettement aller faire la guerre en Afghanistan ou en Libye. Entre l'éducation et l'armée, son choix est fait.

0 commentaires:

Enregistrer un commentaire