Il y a quelques années, les banques ont placé auprès de nombre de collectivités locales des emprunts dits « toxiques ». Les toxines consistaient à ce que les remboursements soient prévus comme devant fluctuer en fonction de la parité entre l’euro et d’autres monnaies. Aujourd’hui, la dette des finances argenteuillaises est en train d’exploser (on parle d’un bond de 33 millions, de quoi construire 3 ou 4 groupes scolaires !), à la suite de la hausse du franc suisse aux dépens de l’euro.
Les banques ont spéculé, ont fait n’importe quoi du moment que cela leur rapportait sur le champ. Elles doivent être expropriées. Et, en attendant, pourquoi continuer de payer de tels intérêts usuraires ? Le taux du livret A serait amplement suffisant !
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