Une issue favorable, la seule espérance
Nous n’avons pas de nouvelle à l’heure qu’il est sur le sort réservé à Chantal confrontée à un nouveau souci, celui du risque de perdre son toit.
Nous ne pouvons, avec bien d’autres, qu’envisager qu’une seule hypothèse : celle d’une solution et d’une issue favorables.
Chacun l’a compris, Chantal a cumulé depuis des années les soucis. Et lorsque cela se produit, pas simple de trouver le chemin pour les surmonter.
Le préfet du Val d’Oise et le commissaire d’Argenteuil ne peuvent que le comprendre.
Les membres du conseil d’administration d’ABH et sa présidente ne peuvent que l’admettre.
La solution et l’issue sont dans les mains des uns et des autres, nous ne les imaginons que favorables à Chantal.
Ce souci qui arrive (à la suite d’autres, je le répète) pour cette agente territoriale, démontre que, seul, lorsque les difficultés vous accablent et submergent, il n’est pas facile d’y faire face. Et ce n’est pas l’appel à des avocats coûteux qui devraient être la première voie pour y aider.
Il nous faut, à Argenteuil comme ailleurs, aider à la reconstruction des réseaux collectifs. Unis au sein du collectif, nous sommes en temps utile en capacité de réfléchir aux soucis survenus, d’obtenir l’information crédible, et de mener à bien ensuite ce qui permet la solution.
J’ai cela en tête, mais la priorité aujourd’hui est d’abord d’imaginer la solution favorable que la situation de Chantal mérite. DM
