mercredi 20 novembre 2024

700 magasins GIFI mis en vente, l’avenir de 6500 salariés en suspens

 

Son « idée de génie » : exploiter

 

 

Les 700 magasins GIFI sont mis en vente. Ils sont présentés comme en grande difficulté et leur fondateur et propriétaire, Phillipe Ginestet, n’aurait, selon lui, pas d’autre choix que de s’en séparer. Quant au sort des 6500 salariés de la marque, c’est le cadet de ses soucis.

         C’est pourtant grâce à eux qu’il est devenu la 47e fortune française en 2024, avec 1,7 milliard d’euros, et qu’il figure dans le top 1000 des plus gros milliardaires du monde.

         Les vraies difficultés, elles ne sont pas pour lui.

Le Medef fait les gros yeux, il sait qu’il sera entendu

 

On sait qui est le chef

 

 

« Nous ne voulons pas d’un euro de hausse du coût du travail ! » Pour mieux faire payer aux classes populaires la dette de l’État, Patrick Martin, le patron du Medef, a donné ses consignes au gouvernement dans une interview au Parisien. Il lui reproche de ne pas avoir désindexé les pensions de retraite de l’inflation et veut que le gouvernement baisse les « charges » des entreprises, quitte à financer la dette par une hausse de la TVA, payée par les consommateurs.

         Le Medef fait les gros yeux, mais il sait qu’il sera entendu : faire payer les travailleurs, c’est l’ADN du gouvernement.

Argenteuil, ; résidence des anciens Croizat, un nouveau problème à régler de manière urgente

Pour les anciens, propreté et hygiène de la résidence, une priorité

 

 

Pendant des semaines, les résidents du foyer des anciens Ambroise Croizat de la rue des Gobelins n’ont pu se retrouver le midi pour déjeuner ensemble. La cuisine était en rénovation. C’est terminé. Depuis avant-hier, la restauration dans la salle à manger de la résidence a repris pour le bonheur de tous.

         Mais alors qu’un problème est réglé, voilà qu’un autre apparaît. Un agent est malade, et la sortie et la rentrée des poubelles dont il avait la charge ne sont plus assurées.

         On n’imagine pas que le problème ne puisse pas trouver une solution de manière urgente. C’est une priorité de propreté et d’hygiène. En tout cas, pas question qu’elle soit résolue en imposant un travail supplémentaire à ceux qui font déjà fonctionner la résidence à la satisfaction de tous. DM