jeudi 17 octobre 2024

17 octobre 1961-17 octobre 2024 : en mémoire des travailleurs algériens massacrés par la police parisienne

Le 17 octobre 1961, à l’appel du FLN, des dizaines de milliers de travailleurs algériens, partisans de l’indépendance de l’Algérie, manifestaient à Paris contre le couvre-feu discriminatoire que voulait leur imposer le gouvernement de De Gaulle et Michel Debré.

         Ils furent durement réprimés, la police du préfet Maurice Papon arrêtant des milliers de manifestants. Beaucoup furent emprisonnés, torturés et, nombre d’entre eux, refoulés en Algérie. Et surtout plusieurs centaines furent assassinés par la police.

 

Une initiative a lieu ce soir sur le pont d'Argenteuil. Pour information, c'est bien volontiers que nous postons son appel

 


 

 

Sanofi : une annonce peut en cacher une autre

Que se dégrade la santé, mais que vivent les profits ?

 

 

Au moment où la vente de sa filiale Opella, qui produit entre autres médicaments le Doliprane, à un fonds d’investissement américain déclenche les cris d’orfraie des dirigeants politiques, Sanofi annonce l’arrêt de son vaccin contre la dengue, Dengvaxia.

         Ce vaccin, produit à Neuville-sur-Saône, mis au point grâce à des subventions massives de l’État, n’est pas aussi rentable qu’espéré. Utile pour des dizaines de milliers de personnes dans le monde, il a connu des déboires après sa mise en circulation en 2015 sans que Sanofi ne fasse le moindre effort pour l’améliorer.

         Seul le profit intéresse Sanofi et ses actionnaires : la santé est secondaire pour eux.

 

Argenteuil, commerce, marchés forains et commerçants, on devrait toujours demander leur avis aux intéressés.

 

Le cirque de monsieur Barnum et le cafouillis du marché

 

Fossile d’une tentative précédente

Dans le cadre de l’agrandissement de La Plataneraie, la municipalité a réduit la surface du marché et reporté l’installation d’un certain nombre de commerces forains entre le stade Alain Mimoun et la halle, ce qui pose, au vue de l’exiguïté de l’espace, nous l’avons déjà souligné, un gros problème de circulation des clients.

         En tout cas, en juin dernier, elle a décidé d’uniformiser les stands dans cette partie du marché en prenant en charge l’installation et le démontage de « barnums ». Votée lors du conseil municipal, leur installation n’est toujours pas en place… à la satisfaction des commerçants concernés qui ne sont pas du tout chauds pour cette installation.

         Dans les années 2010, une opération pratiquement similaire avait été décidée sans concertation par le maire précédent. Elle avait fait flop !

         Peut-être que si l’on demandait vraiment l’avis aux concernés, il n’y aurait pas ce genre d’impasse. C’est certes un vœu pieux. DM