samedi 28 septembre 2024

Argenteuil, toilettes publiques et dans les établissements recevant du public, un problème communal à résoudre d’urgence

En pensant aux femmes en particulier

 

Dans les cafés et restaurants également
 

Nos lecteurs savent que la question des toilettes pour le public nous intéresse tout particulièrement. Je crois que nous ne sommes les seuls...

         Argenteuil présente une triste figure sur ce plan-là.

         Elle ne propose pas ce que des villes cinq fois moins importantes proposent de manière magistrale à la population. La situation dans les gares routières et ferrées est indécente.

         L’installation de toilettes accessibles et propres est pourtant une nécessité de vie sociale élémentaire et de santé à laquelle devrait répondre tous les lieux et commerces accueillant le public : services publics, centres commerciaux, cafés et restaurants. Ce n’est absolument pas le cas aujourd’hui, et loin de là.

         Cela concerne les hommes mais particulièrement les femmes.

         C’est donc qu’il faut mettre les bouchées doubles pour résoudre cette situation indécente. Voilà une tâche prioritaire pour la municipalité et le service du commerce de la Ville. DM

 

Argenteuil, l’affaire Jean Vilar, loin d’Argenteuil, les langues s’activent

 

On se calme !

 

 

Si le maire d’Argenteuil est plutôt discret et mesuré sur le sujet après l’abandon du projet « Héloïse-Promenades », il n’en va pas de même pour certains de ses proches qui donnent l’impression fâcheuse de perdre leur sang-froid sur les réseaux dits sociaux, ou loin d’Argenteuil.

         Ainsi une élue d’Argenteuil, et non des moindres, a-t-elle dernièrement déclaré lors d’une séance du Conseil régional dont elle est aussi membre à propos de l’espace Jean Vilar : «… la conscience écologique de nos collègues de gauche les pousse à vouloir tout sanctuariser : un parking, des berges bétonnées et même une salle de spectacles pleine d'amiante ». Certes, l'élue ne s'adressait pas au Comité Jean Vilar. Mais il était bien question du combat que ce dernier mène. Comme si ce combat était pour la défense du parking éponyme, et pour conserver des berges bétonnées qui relèvent des amis politiques de l’élue au conseil départemental du Val d’Oise.

         Quant à l’amiante de la salle Jean Vilar, première nouvelle ! Si sa présence était avérée, comment la municipalité n’a-t-elle jamais avancé cet argument pour justifier sa disparition, alors que c’eût été un argument fort au moins pour son désamiantage et sa réhabilitation ? Pire, comment aurait-elle pu accepter que durant des années elle continue à fonctionner, avec la présence de publics lors des évènements, et journalière avec ses gardiens, agents territoriaux ? DM