samedi 7 septembre 2024

Michel Barnier premier ministre, les travailleurs qui n’attendaient rien devront continuer à devoir affronter la même politique

 

Avoir conscience et préparer les combats nécessaires contre la grande bourgeoisie et son appareil d’État

 


 

Après près de deux mois de palabre, c’est finalement Michel Barnier, un vieux cacique de LR qui a gagné le pompon.

Les travailleurs qui n’attendaient rien devront continuer à devoir affronter la même politique. Car derrière la comédie politicienne et les différences cultivées par les uns et les autres, se cache une seule et même politique anti-ouvrière. Derrière chaque écurie politicienne, se cachent les ennemis passés, présents et futurs des travailleurs. Et il ne peut en être autrement, car on ne peut pas être au service de la bourgeoisie et de son système sans être un ennemi féroce du monde du travail.

Tant que nous laisserons la politique entre les mains des politiciens de la bourgeoisie, nos intérêts de travailleurs seront bafoués et la société sera mise en coupe réglée pour une poignée de privilégiés.

Seul un gouvernement de travailleurs, sous le contrôle permanent de tous les salariés, pourrait se placer du côté des exploités. Un tel gouvernement ne pourra naître que dans le combat contre la grande bourgeoisie et son appareil d’État, à partir d’une mobilisation massive et consciente des travailleurs décidés à prendre leur sort en mains.

 

Les prochaines permanences et rendez-vous prévus à Argenteuil et la région :

Aujourd’hui samedi 7 septembre : de 10 h30 à midi, centre cl Joliot-Curie ;

-11 h. à midi marché de la Colonie ;

-Dimanche : de 10 h.15 à 10 h.55 devant Intermarché du Centre ;

-et de 11 h. à midi, marché Héloïse

 

 

Réunion de rentrée de Lutte ouvrière-Argenteuil

Jeudi 19 septembre

19 H.30

Espace Nelson Mandela

 

Comptes publics : haro sur les travailleurs

Mise en condition, la propagande des serviteurs de la bourgeoisie

 

 


Des rapports de la haute administration prévoient et chiffrent, pour le gouvernement démissionnaire ou les suivants, plusieurs pistes pour faire des économies sur les comptes publics sur le dos des travailleurs.

Il n’est nullement question bien sûr de prendre sur les profits accumulés par le patronat, mais sur le monde du travail : 600 millions d’euros d’aides aux chômeurs et d’autres centaines de millions économisés en augmentant le nombre de jours de carences pour les fonctionnaires malades ou en diminuant leurs indemnités maladies…

Gouvernement intérimaire ou pas, cela n’empêche pas les structures de l’appareil d’État de taper, comme d’habitude, sur les plus pauvres.