Quand le fossé de sang se creuse, les « chefs » se multiplient
Ismaïl Haniyeh, le chef de la branche politique du Hamas, en visite en Iran pour l'investiture du nouveau président, a été tué en plein Téhéran, probablement par l’armée ou les services secrets israéliens. Netanyahou avait fait de l’élimination de tous les dirigeants du Hamas un objectif de guerre.
Mais cette guerre est sans fin, car les massacres de l’armée israélienne à Gaza ne font qu’alimenter le recrutement des milices fondamentalistes et creuser un fossé de sang entre les populations de la région.