Tous sur la ligne de soutien, à de très rares exceptions
Il y a quelques jours, Netanyahou s’est adressé aux élus du Congrès américain à Washington. Le Premier ministre israélien a annoncé en substance que les massacres allaient continuer et a réclamé plus d’armes sous les acclamations des sénateurs américains.
Des figures démocrates, comme Kamala Harris, ont boudé la séance, campagne électorale oblige. Mais ce sont bien les démocrates au pouvoir, Biden et sa vice-présidente Harris, qui garantissent à l’armée israélienne un pont aérien presque sans interruption depuis que les massacres ont commencé à Gaza en octobre dernier.