jeudi 4 avril 2024

Fête de Lutte ouvrière : les 8, 19 et 20 mai, la fête de Lutte ouvrière à Presles

 

Le grand rendez-vous des travailleurs révolutionnaires

 

 

Dans sept semaines, les samedi 18, dimanche 19 et lundi 20 mai, durant le weekend de la Pentecôte, la fête de Lutte ouvrière se déroulera à Presles, dans le Vald’Oise, près de L’Isle-Adam et de Beaumont-sur-Oise, dans un grand parc boisé de douze hectares.

         Elle permettra de se retrouver dans ce cadre festif pour participer aux multiples débats, forums et discussions nécessaires entre tous ceux qui veulent changer le monde.

         Sur le grand podium, nos camarades Nathalie Arthaud et Jean-Pierre Mercier tiendront deux meetings, le dimanche et le lundi à 15 heures, en soutien à la liste de Lutte ouvrière aux élections européennes.

Cartes et bons

La carte d’entrée, valable pour les trois jours, est en prévente à 15 euros jusqu’au dimanche 21 avril, puis à 20 euros jusqu’au mercredi 15 mai.

Après cette date et sur place à l’entrée de la fête, elle coûtera 25 euros.

Pour les jeunes de plus de 15 ans, la carte est éligible au Pass Culture.

L’entrée est gratuite pour les enfants de moins de 14 ans accompagnés.

On peut profiter de 20 % de réduction sur les dépenses à la fête en se procurant les bons d’achat : payés à l’avance 4 euros, ils valent 5 euros à la fête.

Cartes et bons peuvent être achetés auprès de nos militants, ou sur le site de la fête. À Argenteuil : MDommarie@aol.com entre autres

École : des inégalités tenaces

Des conditions uniformes, tu parles !

 

 

La mairie de droite de Puteaux, dans les Hauts-de-Seine, était très fière d’être parmi les premières communes à imposer le port de l’uniforme dans ses écoles maternelles et primaires à partir du 25 mars.

         Les blouses des petits, les polos et les sweat-shirts des plus grands ont été fournis gratuitement aux parents, mais ont coûté 200 euros pour chaque enfant à la ville et à l’État, encaissés par l’entreprise qui a remporté l’appel d’offres. Or, quand les parents sont venus retirer les tenues, certains ont noté que les étiquettes renvoyaient à une fabrication à bas coût au Pakistan ou au Bangladesh.

         Un conseiller municipal d’opposition a donc posé à juste raison cette question: «Les uniformes de nos enfants sont-ils fabriqués par des enfants?» Censés cacher les différences sociales, les uniformes ne font que les souligner. (D’après Lutte ouvrière n°2904)

 

Cuivre, cobalt : pillage impérialiste en Zambie

Le pillage de l’Afrique

 

 

Jugé en défaut de paiement depuis 2020, l'État zambien vient d'obtenir des mesures pour desserrer l'étau de sa dette, avec l'accord intéressé des  fonds financiers qui en vivent. Ils ont consenti à des baisses d'intérêts et des allongements des délais de remboursement.

         Loin d'être un cadeau, ces mesures prolongent et renforcent la mainmise des vautours de la finance sur le pays. Le sol regorge de cuivre mais aussi de colbat, nécessaire à la production des batteries électriques et l'État promet, en échange de ces mesures, des investissements et des ouvertures aux investisseurs. Un pillage que la population va continuer de payer.