Le projet Fimmu veut créer de l’irréversible désastreux
C’est une énorme verrue que le
promoteur et la municipalité veulent installer en bord de Seine sur l’espace
naturé Jean Vilar. Si cela se faisait, cela aurait des conséquences
irréversibles.
C’est
vrai, en la matière, la Ville d’Argenteuil s'y connaît. Comment a-t-elle pu
accepter la construction de la D311 qui a opéré une coupure radicale entre le
bourg et son fleuve ? Cela date du début des années 1970, mais est-ce une
raison de vouloir réitérer, doubler une telle catastrophe ?
En
outre, l’ancienne « île » dont le bras fut comblé il y a deux siècles
(le boulevard Héloïse occupe la place de ce bras) a été grignoté davantage dans les
décennies qui ont suivi. Mais le parking Jean Vilar, le complexe du même nom,
le marché couvert, les installations sportives l’ont fait à la marge, et dans
un cadre qui demeurait en partie arboré. Et il ne faudrait pas grand-chose pour
qu’il le redevienne davantage.
Pas
question d’accepter ce caractère irrémédiable du projet Fimmu. Montrons-le
nombreux mardi 28 mars dès 17 h.30 devant l’hôtel de ville. DM