Pour
l’action, une information et une réflexion tellement nécessaires
Je ne
présenterai pas ici notre hebdomadaire Lutte
ouvrière qui chaque semaine depuis juin 1968 offre les analyses des
communistes révolutionnaires sur l’actualité d’ici et d’ailleurs, mais aussi de
multiples correspondances, d’entreprises en particulier, qui offrent des
exemples de l’état d’esprit de travailleurs et de leurs combats.
Il y a également notre mensuel Lutte de Classe, avec ses articles plus
approfondis sans être trop rébarbatifs, lisibles par tous. Il exprime nos
analyses sur le devenir des affaires du monde, sur des questions nouvelles
jaillies de l’évolution de la société, et sur des expériences ou des problèmes
vécus par des militants révolutionnaires d’autres pays.
Ce mois-ci, le sommaire est
particulièrement alléchant.
Je ne citerai ici que la conclusion du
premier article intitulé « Grèves et
manifestations : la contestation ouvrière doit s’élargir » :
« … C’est ce bras de fer qu’il faut préparer.
Avec les travailleurs qui veulent se défendre, il faut discuter d’une politique
de lutte : que revendiquer et comment s’organiser pour mener la lutte ? Des
revendications peuvent unifier les travailleurs dans un même mouvement : des augmentations uniformes de salaire de 300, 400 euros ; leur
indexation sur les prix, sous le contrôle des travailleurs ; un minimum de
2 000 euros net pour toutes et tous. Mais se mettre d’accord sur les revendications n’est pas encore suffisant. Les grèves du passé, et celle de Total, nous le
montrent : même quand la détermination et la combativité sont au rendez-vous, des appareils
syndicaux peuvent s’opposer aux luttes. Il faut donc militer pour des grèves
déterminées et pour leur élargissement à l’ensemble du monde du travail. Il est
tout aussi vital de militer pour que les travailleurs contrôlent effectivement
leurs luttes, sans s’en remettre aux directions syndicales. Ils doivent être
les dirigeants de leur propre mouvement, en réunissant des assemblées de
grévistes et en élisant des comités de grève. »
Alors, bonne lecture ! DM (À Argenteuil, notre revue, 2 euros
50, est en vente auprès des militants bien sûr, mais aussi à la librairie du
Presse-Papier, avenue Gabriel Péri)
Les prochaines
permanences prévues.
-aujourd’hui
samedi 5 novembre, de 10 h. 15 à 10 h.55 devant Monoprix ;
-de 11 h. à midi
au marché de la Colonie ;
-et de 11 h. à
midi centre commercial Joliot-Curie ;
-dimanche 6
novembre, de 10 h.15 à 10 h.55 devant l’Intermarché
du Centre ;
-et de 11 h. à
midi au marché Héloïse
-lundi 7
novembre, de 18 à 19 heures, centre commercial des Raguenets à Saint-Gratien.
-mercredi 9
novembre, de 11 h. à 11 h.30 au marché des Champioux.
Achetez notre hebdomadaire Lutte
ouvrière (1,5 euro), et Lutte de classe (2,5 euros) n° 227 à partir de vendredi
4 novembre, en vente :
-au
Val d’Argenteuil-nord, bureau de tabac du Val-Nord (le journal seulement) ;
-librairie « Le presse papier », avenue Gabriel Péri (On y trouve
aussi la LDC)