mercredi 27 juillet 2022

Argenteuil, aménagement et canicule (1) : l’esplanade Salvador Allende

 

Des « aménagements » totalement à revoir

 Dimanche 24 juillet, midi

En passant sur l’Esplanade S Allende dimanche, je me suis dit que les jours de canicule et même les jours de vacances ordinaires devaient être durs pour les habitants. Drôle d’endroit, pas un arbre, ou si, maigrichons et totalement à la marge.

         Il y a eu ces dernières années, une réhabilitation pour les logements ABH, mais rien pour l’esplanade.

         Sur Wikipédia, la définition d’esplanade : « Terrain plat, aménagé en vue de dégager les abords d'un édifice, de ménager une perspective ».

         Mais à ce que l’on sache, les bâtiments ne sont pas ici les édifices du château de Versailles. Pas besoin ni de dégagement ni de perspective, mais d’arbres, d’ombre, de jeux pour les enfants…

         Il y a un parking dessous ? Eh alors, les urbanismes en ont vu d’autres. Au boulot ! DM

 

Cisjordanie : l’armée israélienne a encore tué

Un nouveau méfait du terrorisme d’État

 

Deux jeunes Palestiniens ont été tués dans la nuit du 23 au 24 juillet par l’armée israélienne en Cisjordanie. Depuis fin mars, ces opérations militaires ont tué au moins 52 civils palestiniens. Des meurtres qui se situent dans un contexte de provocations violentes perpétrées par les

Cisjordanie : l’armée israélienne a encore tué

 

Un nouveau méfait du terrorisme d’État

Deux jeunes Palestiniens ont été tués dans la nuit du 23 au 24 juillet par l’armée israélienne en Cisjordanie. Depuis fin mars, ces opérations militaires ont tué au moins 52 civils palestiniens. Des meurtres qui se situent dans un contexte de provocations violentes perpétrées par les colons israéliens : agressions physiques, arrachages d’oliviers ou incendies, qui provoquent la colère de Palestiniens puis la répression par l’armée israélienne sous prétexte d’opérations de « contre-terrorisme ».

Or c'est bien un terrorisme d'État qu'Israël exerce sur la population palestinienne, avec la caution des États impérialistes occidentaux.

Migrants en Méditerranée : une tragédie sans fin

 

Une loi sociale : quand la misère et la guerre…

Le rythme d'arrivée des migrants qui empruntent la route de la Méditerranée s'accélère : en un week-end, un millier de personnes venues d'Éthiopie, de Somalie, du Pakistan ou d'Afghanistan ont débarqué sur les côtes italiennes, prenant tous les risques dans l'espoir d'une vie meilleure.

La misère et la guerre ravagent une partie de la planète, pendant que les gouvernements des pays les plus riches se barricadent derrière leurs frontières. Les travailleurs d'ici ou d'ailleurs doivent être libres de circuler et de s'installer où ils veulent.