samedi 9 juillet 2022

Argenteuil, environnement, Forum des associations, main droite, une rose environnementale, à gauche, un casse-tête médiéval

Esbroufe

Défense de l’environnement ? La municipalité doit choisir

Le prochain Forum des associations doit avoir lieu le samedi 10 septembre prochain, apparemment dans le Parc des berges et la RD311 banalisée à l’occasion de cet évènement. Pour ce Forum, la municipalité souhaite mettre l’environnement au cœur de l’évènement, en y installant une sorte de « village » regroupant toutes les associations locales agissant sur le sujet. Très bien, que voilà une bonne idée.

         Une municipalité d’Argenteuil favorable à la cause environnementale dans le Parc des berges ? Et à cent mètres, avec son projet Fiminco, ayant l’objectif de fracasser à jamais une situation environnementale qui ne demande qu’à être améliorée !

         Un signe d’un jour ne fera pas oublier la catastrophe qu’elle a engagée. DM

 

Argenteuil, 17 septembre, pour la défense d’un complexe des fêtes municipal, arrêt du gâchis environnemental, une date à retenir

Abandon du projet Fiminco !

En janvier dernier

Le 17 septembre prochain, pour la défense du complexe des fêtes Jean Vilar et contre le gâchis environnemental induit par le projet Fiminco, une nouvelle manifestation aura lieu à l’occasion des Journées du patrimoine et de l’inauguration de la Maison Claude Monet nouvelle version. Cette manifestation prendra la forme d’une « déambulation » à tendance picturale de l’espace Jean Vilar au boulevard Karl Marx le bien nommé.

         Cette manifestation sera la troisième sur le sujet après celles de septembre 2021 et janvier dernier.

         Le projet Fiminco est calamiteux. Il doit être abandonné.

         De nombreux habitants ne sont pas encore très au courant de cette affaire qui dure pourtant depuis 2016. À nous de les informer davantage, et de les entraîner à être à nos côtés le samedi 17 septembre prochain. DM

 

Prisons : toujours indignes

 

Rien ne change, sauf en pire

 

 

L’Observatoire international des prisons s’est à nouveau penché sur le sort des détenus en France. Rien ne change, sauf en pire. En Ile-de-France, le taux d’occupation des cellules est nettement au-dessus des 100 %, ce qui réduit parfois l’espace de chaque détenu à moins de 4 m². Quant aux conditions d’hygiène, elles sont souvent déplorables.

         C’est la même chose pour le manque d’accès aux soins : tout est pire en prison, avec des délais de prise de rendez-vous de plusieurs mois, des maladies chroniques non prises en charge, des malades psychiatriques abandonnés à leur sort, etc.

         Les autorités prétendent que la prison permet aux auteurs de délits de se réinsérer et de retrouver une place dans la société : les conditions de détention illustrent le peu de valeur de cette prétention.