mardi 5 juillet 2022

Argenteuil, conseil municipal, chemin de halage, la politique du bonneteau

 

Tout de passe-passe… On veut passer auprès du fleuve

 


Épinay...

Le conseil municipal a lieu ce soir. Une délibération doit porter sur le « chemin de halage ». Il faudrait plutôt dire : « le chemin de halage en l’esquivant ».

         Il n’y a pas à trouver d’échappatoire. Un chemin de halage est la voie de berge qui permettait naguère aux chevaux, de tirer, de haler, des bateaux.

         La municipalité voudrait contourner le problème, en contournant sur les hauteurs le chemin.

         Certes, il y a le port à sables et son occupant, Fayolle. Le problème est uniquement là. Il faut s’y attaquer, et pas raconter d’histoire ou faire un tour de passe-passe aux yeux des habitants. DM

Argenteuil, conseil municipal, défense de l’espace Jean Vilar, un rassemblement initié par le Comité Jean Vilar

En attendant le 17 septembre

 

Si la municipalité n’est pas beaucoup bavarde sur son projet Fiminco, les Argenteuillais ont toutes les raisons de penser qu’elle continue ses petites affaires. De leur côté, ceux qui s’opposent à ce projet abracadabrantesque peuvent se retrouver ce soir devant la mairie à l’occasion de ce conseil comme ils en ont pris depuis des mois l’habitude. Pour dire que la mobilisation est toujours là, qu’elle est de toutes les saisons. En outre, une occasion de se retrouver.

 

Aujourd’hui mardi, rassemblement à 18 heures 30 devant l’hôtel de ville comme avant chaque conseil municipal d’Argenteuil. À l’appel du Comité Jean Vilar. Jusqu’à ce qu’ils entendent qu’ils se sont totalement fourvoyés dans le projet Fiminco-Vilar.

 

         J’aime beaucoup cette œuvre de Manet peinte à l’époque où Monet habitait à Argenteuil. Certes, dans cette perspective, le paysage a changé. Mais pas tant que cela pour ce qui est de l’espace Jean Vilar que le projet Fiminco veut anéantir. DM

 

Maternités : dur, dur d’être un bébé

Il y a des solutions, c’est une question de choix

40 % des maternités ayant répondu à un questionnaire seront en situation de « fermeture partielle » cet été faute de soignants.

         Former, embaucher, augmenter les salaires, améliorer les conditions de travail… voilà tout ce que l’État ne fait pas. Parce que la priorité de son budget est de soutenir les capitalistes, au détriment du système de santé.