mardi 17 mai 2022

Val d’Oise, Législatives, le dépôt de nos dix candidatures

 

Ils ont déposé leur candidature

 

Nous avons déposé avec succès aujourd’hui l’ensemble des candidats de Lutte ouvrière du Val d’Oise pour l’élection législatives du 12 juin prochain.

 

Dans la 1ère circonscription, Barbara GEHAN, agente des Finances publiques, avec Alexandre Plessis, demandeur d’emploi

Dans la 2ème circonscription, Éric CASSAN avec Alice LE FLOHIC, institutrice

Dans la 3ème circonscription, Juan MUNOZ, technicien de l’aéronautique retraité, avec Bernard Fauverte, conducteur de métro retraité

Dans la 4ème circonscription, Marie-Françoise L’HOMMEDET, enseignante, avec Gilles BONHOMME, formateur

 

Dans la 5ème circonscription, Dominique MARIETTE, enseignant retraité, avec Michel CAMPAGNAC, enseignant

 

Dans la 6ème circonscription, Agnès REINMANN, professeure des écoles retraitée, avec Philippe RENOU, informaticien

 

Dans la 7ème circonscription, Valérie SUAREZ, employée, avec Gaëlle LEGAY, professeure des écoles

 

Dans la 8ème circonscription, Rémi GAJDOS, ouvrier dans l’automobile, avec Michel BIGAUD, employé retraité

 

Dans la 9ème circonscription, Danièle HANRYON, Agente de sûreté en retraite, avec Patrick GAYRAUD, Ajusteur-fraiseur retraité

 

Dans la 10ème circonscription, Christophe FLAUX, Agent des Finances publiques, avec Valérie HUSSON, agente des Finances publiques

 

Aux élections législatives des 12 et 19 juin, Lutte ouvrière présente des candidats dans toutes les circonscriptions de métropole et de l’île de la Réunion. Ces femmes et ces hommes, tous des travailleurs actifs ou retraités, se présentent pour affirmer que le camp des travailleurs doit se faire entendre, s’organiser et se battre pour défendre ses intérêts.

 

Les questions les plus vitales pour les classes populaires, le pouvoir d’achat qui s’effondre parce que les prix s’envolent, la menace de perdre son emploi ou de plonger dans la précarité, la crainte de devoir partir avec une retraite amputée parce qu’on n’en peut plus, ne dépendent pas de l’élection de telle ou telle majorité parlementaire. Ces questions dépendent du rapport de force entre, d’un côté, les travailleurs et, de l’autre, la classe des capitalistes qui cherchent à augmenter leurs profits en toutes circonstances.

Augmenter les salaires, c’est dans les entreprises, dans un bras de fer avec les employeurs que cela se joue. Aucun député n’a jamais empêché un groupe capitaliste de fermer une usine, de supprimer des emplois ou de remplacer les emplois en CDI par des intérimaires. Même la fermeture de lits dans les hôpitaux résulte de la pression des banques sur le système de santé.

Dans une économie capitaliste en crise, avec la guerre en Ukraine qui dure, les budgets militaires en hausse, avec les marchés qui se ferment et les rivalités entre les grands groupes qui s’exacerbent, les attaques contre les classes populaires ne peuvent que s’intensifier. Pour les contrer, pour refuser de se laisser dépouiller, pour imposer son droit à l’existence, le monde du travail doit s’organiser, se regrouper, prendre confiance dans sa force collective.

Les politiciens de toutes les nuances, de la gauche à l’extrême droite, affirment que, si on les envoie à l’Assemblée nationale et qu’on installe leur chef de file à Matignon, ils prendront des mesures en faveur des classes populaires. Ce sont des menteurs et des marchands d’illusions car même s’ils étaient sincères, et ce n’est pas le cas, leurs lois ou leurs décrets se heurteraient aux vrais maîtres de la société, les capitalistes et les banquiers. La retraite à taux plein à 60 ans pour tous, les augmentations nécessaires des salaires et des pensions de 300, 400 ou 500 euros, et leur indexation sur la hausse des prix, un salaire minimum à 2 000 euros net par mois ne tomberont pas du ciel. Il faudra les imposer. Cela exigera une lutte acharnée, cela nécessitera d’instaurer un contrôle des travailleurs par en bas sur les comptes des entreprises, la fortune de leurs propriétaires et la marche de leurs affaires.

De telles luttes ne se décrètent pas. Elles ne semblent pas à l’ordre du jour mais elles peuvent surgir sans prévenir, comme l’a fait le mouvement des gilets jaunes, il est vital de les préparer. Voter pour les candidats de Lutte ouvrière, c’est préparer une véritable opposition de classe, c’est affirmer qu’elle ne viendra pas de l’Assemblée nationale mais des travailleurs mobilisés dans les entreprises et dans les quartiers populaires.

Argenteuil, vie associative, une fête réussie de l’association des commerçants

 

Quand la volonté est là…



 

Sur le présent blog, nous rendons compte des initiatives locales, principalement lorsqu’elles sont l’œuvre d’associations qui ont dû mobiliser une sacrée énergie pour les réaliser. C’est le cas, parmi d’autres, de Sous les couvertures, de Willy dance, et de quelques autres.

         Certes, ce n’est pas politique. En tout cas, cela ne l’est pas directement. Mais par la joie qu’elles procurent, le collectif qu’elles produisent, elles aident à remonter le moral dans ces temps sur une pente difficile comme ceux d’aujourd’hui.

         Donc, bravo à la nouvelle association des commerçants qui a réussi sa première fête rue Paul-Vaillant-Couturier, versant écoles primaires. DM

Tensions internationales, escalade des accords militaires

 

Des grandes manœuvres qui préparent les guerres

 

La Finlande, pays voisin de la Russie, a posé sa candidature pour entrer dans l’OTAN. La Suède pourrait suivre.

         L’OTAN prétend assurer la protection des pays qui y adhèrent.  En réalité, sa politique et celle des États-Unis ont préparé et causé l’affrontement avec la Russie. C’est la population ukrainienne qui en paie le prix.

         Ces grandes manœuvres n’ont pas pour but de protéger les populations, mais de préparer les guerres.