mercredi 19 janvier 2022

Argenteuil-Fiminco : une ouverture culturelle et une dynamique sociale tout à fait originales, enfin quelque peu bizarres

Le rejet de l’Impressionnisme au profit du cubisme-béton ?

 


Le groupe de promotion immobilière Fiminco a une fondation, la Fondation Fiminco. Certes il y aurait beaucoup à dire sur ce genre de structures, mais passons, ce n’est pas notre sujet.

         En tout cas, cette fondation s’intéresse à l’art. Mais apparemment, le groupe lui-même ne s’intéresse ni à l’Impressionnisme ni à la dynamique sociale de la population actuelle d’Argenteuil.

         Car, comment peut-il envisager  sous les yeux de sa fondation de saccager un peu plus de ce qui reste du paysage des bords de Seine de Monet et compagnie ?

         Quant aux milieux sociaux visés par ce projet de cubisme-béton, ce n’est certainement pas ceux de la population d’Argenteuil qui, elle, a donné de multiples signes de sa volonté de maintenir le complexe communal des fêtes Jean Vilar.

            Une fondation loin de ceux qui l'ont fondée ? DM


 

 

Prix des carburants : ça flambe

 

Lutter pour l’indexation des salaires sur les prix, mesurée par les travailleurs eux-mêmes

 


 

Les prix à la pompe ne cessent de monter : plus de 1,6 euro pour le gazole, et près de 1,7 euro pour le sans-plomb 95 comme dans la station la moins chère d’Argenteuil.

Pour ceux qui l'ont touché, le fameux « chèque énergie » de cent euros, dont le gouvernement s'est tant vanté, est déjà englouti.

Pour tous les travailleurs, une seule solution : se battre pour que les salaires augmentent aussi vite que les prix de l'essence !

Blanquer : le protocole de Jean-Michel : la jet set à Ibiza

 

Les lundis au soleil… si loin des problèmes qu’il a créés

 


Les vacances de Jean-Michel Blanquer à Ibiza, la veille de la mise en place d’un protocole sanitaire problématique dans les écoles, sont typiques du fonctionnement social. Les uns décident par en haut, loin de ce que vit la population et les travailleurs. Ils tâchent de cacher l'absence de moyens avec des protocoles irréalistes, sans se préoccuper des réelles conditions de travail, du sous-effectif et de l'absence de moyens matériels.

 La meilleure contre-attaque, ce sont les grèves à venir.