mardi 11 janvier 2022

Argenteuil, hôpital Victor-Dupouy, une belle « annonce » sans certitude qui ne fait toujours pas le printemps de l’hôpital d’Argenteuil

Copie d’une bonne nouvelle sans suite déjà très ancienne

 


 

« À l'horizon 2029, le nouvel hôpital d'Argenteuil réunira les services médicaux à la pointe de la technologie, pour offrir les meilleures conditions d'accueil et de prise en charge des patients, souligne la direction du centre hospitalier Victor-Dupouy. Il se distinguera des autres hôpitaux, avec une organisation spatiale simplifiée. » Super !

         À grand renfort médiatique, dans une affirmation sans réserve, la poursuite de la rénovation de l’hôpital est annoncée, avec, à la clé, une enveloppe de 300 millions d’euros.

         Sauf que cette belle annonce est le remake d’une autre datant des années 2010. À la première tranche, le bâtiment Madeleine-Brès qui a effectivement été réalisée, devait s’ajouter une seconde pour réaliser… ce qui est à nouveau en projet aujourd’hui. Cette dernière avait été ajournée en 2013 faute des financements prévus qui avaient été annulés.

         En ce temps des vœux pour l’année et les temps qui viennent, cette nouvelle annonce peut toujours faire chaud au cœur. Mais pas trop d’espérance, il y a encore vraiment loin de la coupe de l’annonce aux lèvres de la réalisation.DM

 

SNCF : la SNCF ajoute sa pierre aux difficultés des habitants liées à la cinquième vague

Ceux qui ont besoin de voyager font comment ?

 

 

Réduire l'offre, c'est compliquer la vie des passagers et les entasser dans moins de trains.

La SNCF a décidé de supprimer des trains TGV et Intercités, au prétexte que le rebond de la pandémie occasionne une baisse de 30 % des réservations, selon les chiffres de la direction.

Le transporteur se hâte de sauver ses profits et tant pis pour les voyageurs. Le train-train, quoi...

 

Compagnies aériennes : complètement planantes

 

Un monde complètement fou

 

 

Avec la crise sanitaire, le trafic aérien s’est effondré mais les compagnies sont censées utiliser 50 % de leurs créneaux de décollage et d’atterrissage pour pouvoir les conserver. Des avions volent donc à vide.

Cette guerre pour les créneaux, gaspillant du travail et de l’énergie, est bien révélatrice du fonctionnement irrationnel de l’économie de marché.