jeudi 14 mai 2015

Agglomération d'Argenteuil-Bezons : le dernier épisode des "aventures de Fifi et de Jojo"



Fifi et Jojo vont-ils finir par se rencontrer ?

C’est le dernier épisode des « aventures de Fifi et de Jojo » qui comme le titre de la série l’indique ne dépasse pas le niveau des classes de maternelle.
         Ce coup-là, c’est Jojo qui n’arrive pas à rencontrer son rival Fifi pour discuter de l’héritage, du château-Agglo, des meubles et des serviteurs. Fifi ne veut pas, selon Jojo, le rencontrer. Mais Fifi dit qu’c’est pas vrai, qu’il lui a même envoyé une bafouille pour le voir. C’est vrai que ce petit message n’était pas des plus amène. Enfin, voilà où l’on en est.
         Il paraît que ça n’amuse pas du tout les bambins.
         Quant aux grands, au-delà du fait qu’ils aimeraient bien mettre cette histoire au panier, ils savent qu’il s’agit tout de même de l’avenir des services municipaux qui les concerne directement, et de l’avenir de 650 travailleurs.




UNE RENCONTRE QUI, ELLE, AURA LIEU DANS QUELQUES

JOURS, LA FETE DE LUTTE OUVRIERE

J-10

Un car Argenteuil-Presles-Argenteuil
Un car gratuit est prévu pour aller d’Argenteuil à la fête le dimanche 24 mai. Il partira à 9 heures de la place Chauvelot (place du marché) face à la cité Joliot-Curie. Il fera un arrêt à 9 heures 15 devant la mairie, boulevard Léon Feix, puis à 9 heures 25 au carrefour du boulevard Leclerc et de l’avenue Utrillo, à côté du magasin Simply. Le retour est prévu avec un départ à 19 heures précise de la fête à Presles.
Il faut s’inscrire au 06.99.49.98.64.

mercredi 13 mai 2015

Education nationale : Très Pettes Sections de maternelles à Argenteuil : sur la route de leur maintien.




Maintien, pour commencer, des quatre Très Petites Sections existantes

La scolarisation des enfants de moins de trois ans s’était développée à Argenteuil il y a maintenant plusieurs décennies. C’était une très bonne chose.
Son organisation, comme toute celle de l’enseignement primaire, relève d’un accord entre les communes qui ont en charge les locaux, le matériel et le personnel d’aide aux enseignants dans les écoles maternelles, et l’Education nationale qui a la charge des enseignants.
La volonté conjointe de réduire les dépenses de la part des municipalités d’Argenteuil et des gouvernements successifs avait entraîné dans les années 2000 sur la Ville la disparition des « très petites sections » (TPS) de maternelle. Ce fut une très mauvaise chose.
La municipalité dirigée par P. Doucet a enclenché il y a quelques années un processus inverse, en initiant, avec l’Education nationale, la réouverture sur la commune de quelques classes de TPS. Actuellement, il y en a quatre sur la Ville, dans les écoles Cachin et Anne Franck au Val-Sud, et à Anatole France et Henri Wallon au Val-Nord.
La municipalité actuelle a annoncé unilatéralement il y a peu de temps, la suppression de ces TPS à la rentrée prochaine. Cette perspective n’est bien évidemment pas acceptable.
Ce que l’on sait maintenant, c’est que l’Etat et l’Education nationale, eux, ont décidé de s’y opposer et veulent le maintien de ces quatre classes de TPS à la rentrée prochaine sur Argenteuil.
Va-t-on maintenant assister à un bras-de-fer entre la municipalité d’Argenteuil et l’Etat sur la question, comme il y en eut un de parodie il y a un an et demi à propos de la question des rythmes scolaires où la municipalité G. Mothron a fait mine un instant de s’opposer à leur application sur la commune ?
L’Etat déclare vouloir le maintien de ces quatre classes. Soit, c’est une belle déclaration, mais, sur ce plan comme sur bien d’autres, il devrait accorder des subventions exceptionnelles pour aider une commune qui, telle Argenteuil, connaît de graves difficultés financières.
Quant à la municipalité d’Argenteuil, elle doit abandonner immédiatement son projet de liquidation de ces quelques TPS sur la commune. Ces très petites sections sont vitales pour les enfants des milieux les plus modestes. Elles devraient même être à nouveau généralisées.
 Que vivent à la rentrée prochaine les quatre classes de TPS existantes.