lundi 11 mai 2015

Argenteuil : informations recueillies lors de nos permanences




Ca ne marche pas

Depuis que l’entreprise Fayole, en charge du « port à sable » au bord de la Seine en bas de la butte d’Orgemont, a bénéficié de nouveaux aménagements, les promeneurs et les cyclistes ne peuvent plus longer la rive de la Seine à cet endroit. En tout cas, le passage d’Epinay à Argenteuil est coupé.
         Cette situation est le résultat d’un vote lors d’un conseil municipal sous l’ancienne mandature (Lutte Ouvrière avait voté contre) qui faisait la partie belle aux intérêts de Fayolle.
         Selon une association locale de pratiquants de la bicyclette, les aménagements du port à sable qui ont été effectués sont en contradiction avec le texte qui avait été voté alors.
         S’il y a sur ce plan un souci, la municipalité, tellement à l’affût de toute erreur effectuée sous la municipalité précédente, peut peut-être analyser de plus près la situation, et la revoir de toute urgence.

Une question de préoccupation à l’égard des commerçants et des acheteurs
Les commerçants du marché Héloïse non loin de la Seine se plaignent de la présence de traces du passage de rats dans la halle lorsqu’ils s’installent très tôt le matin avant les marchés des vendredis et dimanches.
         Apparemment, il ne faudrait pas grand-chose pour que ces rongeurs assez désagréables ne puissent pas pénétrer dans la halle.

Une présence très utile

Le poste de police municipale du Val Notre-Dame, boulevard du Gl Delambre, est fermé depuis fin mars.
         Ce poste de deux employés municipaux permet surtout de régler des petits problèmes, tels celui d’objets perdus, de stationnement intempestifs, et de pouvoir être un relais de proximité en cas d’urgence.
         Leur présence rassurante l’est d’autant plus qu’à la différence des agents de la police nationale, ils sont bien connus des habitants du quartier.

Lisez les articles plus anciens, en particulier celui d’aujourd’hui sur la prochaine fête de Lutte Ouvrière, la « science » à la fête, et le car partant d’Argenteuil !
 

La science à la fête de Lutte Ouvrière les 23, 24 et 25 mai prochains




LA SCIENCE A LA FETE DE LUTTE OUVRIERE

Les miniconférences

Le cœur et ses maladies - Le chaos ce n’est pas l’anarchie - Se déplacer dans l’espace - Les neurones de la lecture - Rosetta et Philae - Drôles de drones - La machine de Turing - Le cancer, une histoire de gènes - L’accélérateur du CERN - Le vol des avions s’inspire-t-il de celui des oiseaux ? - Féminin-masculin, quel genre de différences - Le plastique, c’est fantastique - La géothermie - Le séquençage du génome - Du chou fleur à la côte bretonne, les fractales  - Des ondes pour sonder, voir et soigner - Magnétisme: la science face aux charlatans - La loi des grands nombres - Coïncidences et probabilités - Grippe Ebola: peut-on en finir avec ces virus? - Les moisissures dans la nourriture - Le GPS - Faut-il avoir peur des vaccinations ?




La Roulotte de la Science

Animations scientifiques itinérantes

Le Carrousel de la connaissance: «Lhumanité à la conquête de lespace»

Des premiers astronomes et de leurs cartes du ciel, aux sondes qui aujourd’hui explorent l’univers, le Carrousel de la connaissance entraîne les visiteurs derrière les exploits des découvreurs «à la conquête de lespace», pour un voyage audiovisuel de 45 minutes.

À la Cité des Sciences : les débats

Samedi
Annick Jacq (biologiste) : la biologie de synthèse - Hubert Krivine (physicien) : de l’atome imaginé à l’atome découvert - Fabienne Malagnac (microbiologiste) : les champignons - Fanny Rybak (biologiste) : comment les animaux communiquent - Sylvain Chaty (astrophysicien) : balade dans l’Univers - Francis Hallé (botaniste) : l’histoire des dernières forêts primaires précédée du film Il était une forêt.
Dimanche
André Langaney (généticien) : l’espèce humaine, 1 000 siècles d’immigration clandestine - Allan Sacha Brun (astrophysicien) : notre mystérieuse étoile, le Soleil - Étienne Klein (physicien) : Univers, les grandes questions - Franck Perez (biologiste) : voyage dans nos cellules vivantes - Jean-Philippe Uzan (astrophysicien) : faut-il changer notre représentation de l’Univers ? Marc Peschanski (biologiste) : les thérapies géniques.
Lundi
George Teutsch (chimiste) et André Ulmann (médecin), co-découvreurs du RU486 : les tribulations de la pilule du lendemain - Aziz Ballouche (géographe) : l’Homme, artisan des paysages - Thierry Foglizzo (astrophysicien) : naissance et explosion d’étoiles.


Un car Argenteuil-Presles-Argenteuil
Un car gratuit est prévu pour aller d’Argenteuil à la fête le dimanche 24 mai. Il partira à 9 heures de la place Chauvelot (place du marché) face à la cité Joliot-Curie. Il fera un arrêt à 9 heures 15 devant la mairie, boulevard Léon Feix, puis à 9 heures 25 au carrefour du boulevard Leclerc et de l’avenue Utrillo, à côté du magasin Simply. Le retour est prévu avec un départ à 19 heures précise de la fête à Presles.
Il faut s’inscrire au 06.99.49.98.64.

dimanche 10 mai 2015

Argenteuil : la fin de l'Atelier des Courlis



Les Courlis victimes de drôles d’oiseaux

L’Atelier des Courlis a cessé d’exister. Sa liquidation judiciaire a été prononcée il y a trois semaines.
         C’est une belle aventure qui se termine après 40 ans d’engagement et de dévouement de ses fondateurs et de ses militants.
         Elle est révélatrice de la situation actuelle, où le gouvernement opère des coupe-sombres dans les subventions. Elle est révélatrice de la situation et du climat au niveau de la commune.
         La survie de l’Atelier des Courlis aurait dû et pu être un combat de tous, de l’ancienne municipalité comme de la municipalité actuelle. Celle-ci peut toujours se payer de mots sur le « rôle bénéfiques des associations et des bénévole », mais qu'a-t-elle fait pour que cette association ne disparaisse pas ? En tout cas, sa disparition contribuera à l’aggravation des difficultés des quartiers populaires... et de l’action municipale.
         Cela est d’autant plus vrai pour l’Atelier des Courlis qu’elle disparaît sans doute parce qu’elle a voulu s’ouvrir, en y mettant les moyens, à ces quartiers populaires, au Val-Sud en particulier, en ne voulant pas continuer à se cantonner à un public un peu plus « aisé » d’Argenteuil.
         En tout cas : « Bravo ! » à ceux qui pendant 40 ans ont mené ce combat.