A
Argenteuil, Bezons, Saint-Gratien et Sannois, des candidatures de LUTTE
OUVRIERE
Pour
faire entendre le camp des travailleurs
Lutte Ouvrière présentera des
candidats aux prochaines élections départementales des 22 et 29 mars dans trois
cantons du Val d’Oise de la région d’Argenteuil : les cantons d’Argenteuil
1 qui inclut une partie de la commune d’Argenteuil et les communes de
Saint-Gratien et de Sannois, Argenteuil 2 qui comprend la plus grande partie
d’Argenteuil, et Argenteuil 3 qui comprend Bezons et le quartier du
Val-Notre-Dame d’Argenteuil.
Nous
pouvons d’ors et déjà annoncer dans le canton Argenteuil 1 les candidatures de
Hélène HALBIN, institutrice, et de Abdel-Basett NEFTIA, ouvrier dans
l’aéronautique, qui auront respectivement comme remplaçants, Agnès REINMANN,
professeure des Ecoles spécialisée, et Abdelatif EL MARBATI, aide-soignant.
Dans le
canton Argenteuil 2, Sonia ALLANI, informaticienne dans une entreprise de
location de voitures, et Dominique MARIETTE, enseignant à la retraite, auront
respectivement comme remplaçants, Valérie SUAREZ, employée dans un lycée, et
Ahmed EL AISSAOUI, chauffeur-livreur.
Dans le
canton Argenteuil 3, Michel CAMPAGNAC,
enseignant aura pour candidat-remplaçant Rémi GAJDOS, ouvrier dans l’automobile.
Aline GRESSIER aura quant à elle comme remplaçante Odette GARDEUX, ouvrière
retraitée.
Le vote
pour les candidats ouvriers de Lutte ouvrière sera le moyen d’affirmer que nous
ne nous laissons plus berner, d’illusion électorale en illusion électorale, par
des politiciens au service des riches, qu’ils soient de gauche, de droite, ou
ceux d’extrême-droite qui rêvent de les remplacer.
Il s’agit
de profiter de ce vote pour faire entendre les exigences des travailleurs. Il
faut imposer au patronat de mettre fin au chômage en interdisant les
licenciements et en partageant le travail entre tous sans pertes de salaires.
Il faut
augmenter les salaires, les pensions et les allocations dont les niveaux
aujourd’hui ne permettent pas de vivre décemment pour les classes populaires,
pendant que les classes riches vivent dans le luxe.
Il faut
enfin contrôler les comptes et les décisions des capitalistes qui imposent leur
dictature sur la société.
Ces
candidatures donnent l’occasion, dans ces trois cantons, d’affirmer fièrement
les exigences de notre classe, les exigences de ceux qui font vivre la
société et l’enrichissent. C’est la seule chose utile à faire pour les
travailleurs avec le bulletin de vote.
Puisqu’on
nous demande notre avis, donnons-le ! C’est un premier pas, la condition
préalable aux grandes luttes collectives qui permettront d’imposer nos exigences
aux capitalistes et aux financiers qui vivent en parasites sur la société.