Dans le texte de soutien à
Valls et son train de mesures contre le monde du travail, initié par le député
d’Argenteuil, on retrouve les vieux poncifs mille fois répandus depuis des
décennies par ces messieurs. « Les Français savent que la période est
difficile et que nous nous en sortirons collectivement en faisant des efforts
partagés »… « Ce qu’ils veulent, c’est que les efforts soient
justement répartis et utiles ».
Des efforts « partagés », « justement
répartis » !
C’est l’essence même du capitalisme. Un partage où c’est 99%
pour la bourgeoisie et sa consommation luxe que la crise n’a pas écornée, et le
reste pour les fins de mois difficiles pour des millions de salariés et de
retraités qui s’appauvrissent.
La pérennité d’un tel système défendue par des « serviteurs
zélés » de la classe dominante.