DÉFENDONS
NOTRE DROIT DE GRÈVE
Une
note de la direction générale prévoit de nous imposer de nouvelles modalités
pour nous déclarer grévistes à partir du 15 septembre. En plus des obligations actuelles,
il faudra dire exactement à quel moment on prévoit de se mettre en grève dans
le cadre d’un préavis illimité, et il faudra prévenir 24h avant notre reprise
du travail.
La grève, quand elle forte, est une arme
de poids pour les travailleurs. C’est pourquoi
notre détermination saura passer au-dessus de ces obstacles.
ILS
DÉJANTENT
Avec
la réfection du parking, des bornes en ciment ont été installée sous l’endroit,
où l’on gare les deux roues. Du coup il y a maintenant un espace vide qui ne
sert à rien, et en revanche, certains d’entre nous sont obligés de laisser leur
moto dehors.
Les décisions de la direction restent véritablement
impénétrables.
ENCORE
UN MAUVAIS PLAN
Après
les travaux, le plan incliné qui était installé à l’entré de la salle des
machinistes pour les charriots de la caisse se retrouve maintenant déplacé au
bas du trottoir et ne sert donc plus à rien.
On peut se demander s’il n’y a pas un concours
de l’idée la plus absurde.
GESTION
DES OEUVRES ANTI-SOCIALES
Après
plusieurs licenciements, mises-à-pied et rétrogradations de salariés du
CRE-RATP, il y a de nouveau des pressions contre ceux, notamment les militants
syndicaux du CRE, qui dénoncent les réorganisations.
Face aux syndicalistes dirigeant le Comité
d’Entreprise, qui font la soude oreille, les salariés du CRE prévoient de se
mettre en grève pour se
faire
entendre.
Les travailleurs de la RATP doivent soutenir les
actions des salariés du CRE-RATP.
Nous
devons être du côté des salariés qui se battent contre ceux qui sous des habits
de syndicalistes, se sont transformés en gestionnaires au comportement de
patrons.