Depuis jeudi dernier, de nombreux lycéennes et lycéens du lycée de Deuil la Barre se sont mobilisés pour qu’un enseignant de « marketing », de nationalité tunisienne, puisse continuer à enseigner dans leur lycée.
Du cœur, parce que l’on ne dit pas du jour au lendemain à un enseignant de ne plus faire cours, et que l'esprit internationaliste vient spontanément aux jeunes.
De la conscience, car au-delà du besoin de cet enseignement, il y a la conscience que ce monde qui voit se restreindre le libre droit de circuler est un monde qui ne tourne pas rond.