La seule voie : le retour aux sources… culturelles
Quant à la montée pour les personnes subissant un handicap, la municipalité compte-t-elle la transformer en jardinière ?
Tous les quartiers de la Ville ont une « Maison de quartier » bien identifiée : celle d’Orgemont Joliot-Curie, Les Coteaux, le Val-Nord, le Val-Sud, et le Val Notre-Dame. Et elles fonctionnent. Il y a une exception, la Maison de quartier du Centre-Ville, un quartier très important éloigné des autres, très peuplé et s’il mêle des espaces périphériques pavillonnaires est centré sur un territoire très populaire qui aurait particulièrement besoin d’une véritable Maison de quartier.
Pourquoi celle du Centre n’en est pas une véritable ? Parce que son espace comporte des éléments de bric-et-de broc qui ont bien du mal à être reliés ensemble, voire pour fonctionner ensemble. Pour l’essentiel, cet ensemble se compose de quatre parties : celle de ladite Maison de quartier à l’espace non identifié et en labyrinthe, la Maison des Jeunes et de la Culture, l’espace de L’atelier du 5, et depuis quelques mois la « Mission locale de l’emploi » qui a translaté de l’hôtel de ville au 5 de la rue des Gobelins.
À l’origine ce bâtiment doté de sa fresque en céramiques d’Édouard Pignon était destiné à être un centre culturel où la Maison des Jeunes et de la Culture avait toute sa place. Ce centre depuis l’origine n’avait que partiellement rempli sa fonction. Mais la multiplication des fonctions y a profondément encore dégradé la situation, aux dépens de la nature des objectifs de chacun, et compliqué le travail et l’activité de tous les bénévoles et agents territoriaux qui y sont présents.
Bref, il y a urgence à revoir le problème. Le mieux serait simplement que ce bâtiment retrouve sa destination primitive de centre culturel, d’autant plus que le conservatoire de musique et l’ancienne bibliothèque de la Ville sont en proximité.DM
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