En tout cas, sans travailleurs, il n’y a rien
Je me suis rendu ce matin à
« Simone Veil », le nouveau groupe scolaire du quartier Henri
Barbusse, au Val-Notre Dame, en tant que responsable du syndicat CGT-Éducation
qui regroupent des enseignants du primaire et du secondaire. Les conditions
dans lesquelles cette ouverture d’école se fait les concerne directement, tout
autant que les parents d’élèves, et que tous les habitants d’Argenteuil pour
qui elle est un évènement important.
Nous
espérons que ce groupe dont l’ouverture n’est prévue que partielle au 2
septembre sera prêt pour ce jour-là. Au jour d’aujourd’hui, ce n’est pas gagné.
En
tout cas, ce qui ressort de ma visite c’est l’activité déployée par tous les
travailleurs pour que cette ouverture se passe dans les meilleures conditions.
Travailleurs de toutes les professions, quelque que soient leurs métiers, leurs
statuts, leurs originse, employés des entreprises extérieures comme employés
municipaux, s’affairant malgré les conditions climatiques difficiles depuis des
jours, ils auront permis de surmonter bien des difficultés et des obstacles. En
tout cas, sans le monde du travail, il n’y aurait rien.
Cette
leçon locale vaut au niveau général. Et cette réalité est un des éléments de
notre confiance dans ce monde du travail pour reconstruire le monde. DM
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