jeudi 21 novembre 2013

Appel à manifester le 1er décembre : un article de l'hebdomadaire Lutte Ouvrière d'aujourd'hui

L'appel à manifester le 1er décembre contre le « matraquage fiscal » : Saisir les occasions de protester

Le Front de gauche - par la bouche de Mélenchon, le jeudi 7 novembre, d'abord, puis par celle de Pierre Laurent, le secrétaire national du Parti communiste français ensuite - a appelé à une marche « pour une révolution fiscale, la taxation du capital et l'annulation de la hausse de la TVA », le dimanche 1er décembre qui se dirigera vers Bercy.
     Cette manifestation aura lieu au moment où les parlementaires examinent le budget 2014 ; « un budget d'austérité auquel nous nous opposons » déclare le Front de gauche dans son appel à la mobilisation. Celui-ci dénonce cette politique qui « aggrave l'injustice fiscale en augmentant les impôts pour la grande majorité de la population tout en multipliant les cadeaux au patronat et en continuant la destruction des services publics et de la protection sociale », constat que font nombre de travailleurs et qu'on ne peut que partager.
     De la part du Front de gauche et de Mélenchon, cet appel n'est pas sans arrière-pensées. Quand Mélenchon déclare, comme il l'a fait dans une récente interview à Médiapart, que « la question qui se pose est celle d'un changement de gouvernement. (...) Nous, nous sommes capables de diriger un gouvernement de gauche ! », il ne fait que semer de nouveaux faux espoirs, comme si un éventuel gouvernement ayant à sa tête Mélenchon pouvait être la solution. C'est ce type d'illusions qui contribuent précisément à déboussoler les travailleurs et les militants ouvriers.
     Quoi qu'il en soit, bien des travailleurs pourront se saisir de cette manifestation du 1er décembre pour protester contre le matraquage fiscal qui les frappe, en particulier contre la hausse de la TVA, et de leurs impôts en général. Tous ceux qui saisiront cette occasion ou d'autres de faire entendre leur colère auront raison de le faire.

                                                                   Aline RETESSE

Interdiction des licenciements : chez Fagor comme ailleurs


Hier, une centaine de salariés du site Fagor-Brandt de Saint-Ouen l’Aumône  ont manifesté devant la préfecture de Cergy. Comme le résumait l’une de leurs pancartes : « Fagor-Brandt : 2000 emplois menacés ».
        Ci-dessous, un article de l’hebdomadaire Lutte Ouvrière de ces dernières semaines.

FagorBrandt : restructurations et fermetures d'usines

L'entreprise FagorBrandt, filiale du groupe d'électroménager « espagnol » Fagor Electrodomesticos, a annoncé mercredi 6 novembre son dépôt de bilan avec à la clef près de 2 000 licenciements rien qu'en France.
      Mais ce sont en tout plus de 5 000 emplois menacés sur l'ensemble du groupe Fagor, en Espagne, Pologne, France et Chine. Les responsables se justifient en mettant en cause une baisse du chiffre d'affaires dans l'électroménager. Mais, loin d'être sur la paille, les capitalistes du secteur s'enrichissent depuis des décennies en fermant des usines, en en fusionnant et en rachetant d'autres. L'histoire de FagorBrandt en est un exemple éloquent.
     L'entreprise Brandt, d'abord spécialisée dans les armements légers, a été créée en 1924. En 1956, le PDG ­Edgar Brandt rachetait l'entreprise Hotchkiss, puis fusionnait avec Thomson-Houston, ainsi qu'avec la Compagnie générale de la télégraphie sans fil pour donner naissance à Thomson-Brandt. En 1982, le gouvernement de Mitterrand nationalisait le groupe pour l'aider à se restructurer. En 2000, le groupe fusionnait avec Moulinex. Mais dès 2001, il annonçait sa mise en faillite et Moulinex était racheté par SEB, occasionnant les fermetures d'usines que l'on connaît, pendant que le gros électroménager était racheté par un groupe israélien, puis racheté à nouveau par Fagor en 2005.
     Du côté espagnol, c'est une histoire similaire qui se produisit. Dans les années cinquante, un prêtre donna naissance à une coopérative, Mondragon, qui se transforma peu à peu en un consortium de 80 000 salariés. C'est au moment du boom spéculatif des années 2000 en Espagne que le groupe Fagor, dont Mondragon est la maison mère, racheta Brandt avec la bénédiction des banques qui investissaient dans ce type d'opérations financières.
     Le groupe Fagor est n° 1 en France et en Espagne et n° 5 mondial dans ce secteur, tout en ayant des tentacules dans divers domaines comme la grande distribution, la finance, les composants automobiles, les universités privées, etc. Les capitalistes qui ont joué durant toutes ces années à ce vaste Monopoly se sont largement enrichis. Alors, ces licenciements n'ont pas d'autre objectif que de renforcer la rentabilité du groupe pour enrichir les actionnaires. Ils sont inacceptables.

                                                 Marion AJAR


Actualité du pays, actualité internationale, actualité des entreprises, un très riche numéro de Lutte Ouvrière de cette semaine. 1 euro. En vente auprès des militants, et dans le point de vente presse de la librairie « Le presse-papier » à Argenteuil avenue Gabriel Péri.

mercredi 20 novembre 2013

TVA, impôts, fiscalité : un communiqué de Nathalie Arthaud

La « remise à plat » fiscale d’Ayrault : un écran de fumée pour faire oublier le coup qu’il prépare

Ayrault a annoncé une « remise à plat » de la fiscalité. On allait donc voir ce qu’on allait voir. Eh bien, ni l’impôt sur les bénéfices des sociétés, ni celui sur la fortune ne seront augmentés. La seule annonce réelle d’Ayrault, interrogé par France Inter, a été que la hausse de la TVA au 1er janvier sera bien maintenue. C’est pourtant l’impôt le plus injuste, celui qui frappe le plus durement les classes populaires. Son augmentation, applaudie par le MEDEF, se traduira par une nouvelle dégradation du pouvoir d’achat des travailleurs. Sur cette taxe comme sur les autres, le gouvernement se comporte en loyal serviteur du patronat.
      La « remise à plat » annoncée par Ayrault est au mieux un écran de fumée, et plus probablement encore la menace de nouvelles ponctions pour les travailleurs. Et espérons que le monde du travail réserve à la hausse de la TVA une riposte comparable à celle suscitée par l’écotaxe, et que le gouvernement soit contraint d’y renoncer.


                                                                 Nathalie Arthaud

Education nationale : notamment à Argenteuil, une rentrée hollandiste pire que les sombres rentrées sarkozystes. Mobilisation !

Pour le ministre de l’Education, la rentrée scolaire de septembre s’était bien passée. Dans son bureau de la rue de Grenelle, peut-être bien, on n’en doute pas, Dans les établissements scolaires, en revanche, certainement pas.
        Au-delà de l’embrouillamini qu’il a créé à propos des « rythmes scolaires », la situation perdure et s’aggrave même depuis qu’un dirigeant du PS a pris la place au ministère d’un homme de Sarkozy.
      La situation sur la commune en est un bel exemple. Les démagogues voudraient nous faire croire que l’enseignement est une affaire de savoir-faire, et que le nombre d’élèves pas classe est indifférent. Le rôle des démagogues est de mentir, quand les personnels peinent aujourd’hui de plus en plus dans des classes aux effectifs de plus en plus importants. Et c’est le cas de la maternelle à la Terminale. Près de trente élèves parfois en maternelle, plus de trente dans certaines classes de l’élémentaire, même situation dans certaines classes de collèges. Quant aux lycées de la commune, la situation y devient catastrophique.
      Ces lycée avaient, ont, la qualification « Zone d’Education Prioritaire ». Elle limitait les effectifs à 30 élèves par classe dans les classes des sections générales, à 24 dans les sections professionnelles. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Les secondes sont à 32 au lycée Braque, les effectifs sont supérieurs à 30 aux Lycées Daubié et Léger. A Daubié, une classe atteint 35 élèves. Il n’y a qu’au lycée Jaurès où les locaux ne permettant pas l’augmentation des effectifs, les limites « ZEP » ont été maintenues.
      Les personnels des lycées comme les organisations de parents disent « stop ».
   Leurs revendications concernent tous les acteurs de l’Ecole, de la maternelle à la Terminale.
       Une réunion s’est tenue hier. La mobilisation est en marche.
       Les quartiers populaires méritent d’énormes moyens supplémentaires pour l’Education. En premier lieu, les effectifs des classes doivent être diminués, et au moins limités comme cela l’était dans le passé.
      La rentrée 2014 ne sera pas celle de 2013.

Snecma : brèves du bulletin Lutte Ouvrière de l'usine de Gennevilliers

LA POLITIQUE DU BOOMERANG
Le gouvernement vient une nouvelle fois de céder une partie de ses parts du groupe Safran. Cette fois ce sont 4,7%, alors qu'en mars de cette année ce furent 3,6 %, Un milliard d'euros va être ainsi récupéré par l'État.
      À part que le même gouvernement a donné 20 milliards aux patrons en baisse de cotisation ou crédit d’impôts.
      Finalement il revend les bijoux de famille pour un retour à la case départ... dans la poche des grandes entreprises. La boucle est bouclée.

SILENCE ! IL SE TOURNE.
La semaine dernière « Texas Rangers » est venu faire son cinéma aux Forges, soucieux disait-il de nos conditions de travail.
      Son sketch n'a pas duré longtemps car il a « coupé » au bout de cinq minutes à peine.
     Pour sa prestation, on peut lui attribuer l'oscar du courant d'air et la palme du demi-tour.

MIROIR DÉFORMANT
Au fil de l'aube, la direction parle du Montage Cire comme d'une vitrine de la Fonderie. Un joyau où les femmes sont esquintées au travail, où on leur demande de souffrir en silence.
     La direction ne manque pas de pudeur, elle qui utilisait un prototype de trempé des grappes comme poteau à tout faire.
     Ces beaux parleurs ne sont pas à une falsification près.

ITINÉRAIRE D'UN ENFANT GATTAZ
Pour le magazine patronal « Usine nouvelle », Herteman, le pdg Safran, est l'industriel de l'année 2013.
      Un homme qui a limité les salaires, et engraissé les actionnaires, et augmenté ses revenus sans vergogne, voilà les critères de cette revue. Pour nous, les travailleurs, il est dernier de la classe… ouvrière.

CE N'EST PAS UNE FORMULE 1
Depuis quelques temps, dans l'usine, on voit régulièrement « Guacamole » se promener en voiturette blanche. Il s'est peut-être inscrit au CEC pour se reconvertir en caddy de golf, ou il est atteint d'une vieille flemme.
     Dans les deux cas, on ne montera pas avec lui en stop, vu à la vitesse à laquelle il conduit.

AMADEUS EST ICI, OU MOZARELLA
Depuis quelques année, la direction Safran est mécène, sponsorisant des pianistes, chorégraphes et autres violonistes.
     Combien cela représente-t-il financièrement ? Mystère !
     Par contre, ce qui est connu, c'est que tout l'argent mis dans le mécénat donne droit à 60 % des sommes investies en réduction d'impôt sur les sociétés.
Et là, cela devient moins humaniste d'un coup, et bien plus vénal.

ILS NE PERCUTENT PAS
En ces temps de commémoration de guerre, il faut savoir que plusieurs bombes non explosées existent sur le site.
      Elles datent des raids aériens de la 2ème guerre mondiale.
Depuis 70 ans les directions successives les ont laissées là.
      « On n'aurait rien à craindre » désamorce la direction, mais dès qu'on en parle, c'est terrain miné et explosion de mauvaise foi. Y'a vraiment de l'obus.

ILS SE TERRORISENT
Lorsque l'on demande aux responsables de Fonderie le plan des bombes enfouies depuis la 2ème guerre mondiale, ils refusent de la montrer. Selon eux, ce plan pourrait tomber entre les mains d'Al quaïda.
Des explosifs enterrés à 15 mètres de profondeur, en plein milieu d'une usine, filmée 24/24 par des caméras de surveillance, soit ils sont de mauvaise foi, soit ce sont de gros mytho... Nous penchons pour la première hypothèse.

ARRÊTE TON CHAR
Le « Gueux » en Forges a savamment étudié tout seul une nouvelle organisation du travail. Lorsque les gars du TS prennent les chariots kanbans, ils sont obligés d'en déplacer au moins 4 pour prendre le bon. Comme ils sont assez lourds, et que c'est le « Gueux » qui a pondu cette formule, il n'a qu'à s'y atteler à la tâche.

IL VOULAIT SE FAIRE PASSER POUR UN GRÈVISTE
Au dernier débrayage sur le centre, « l'Auditeur » est venu faire un petit tour. Quelle surprise ! Bien en retrait, il scrutait. Venait-il soutenir les femmes de la Cire ? Ou alors désavouer la direction ? Non, il était là uniquement pour faire un rapport aux directeurs.
     Il s'est fait vite repérer, alors il a déguerpi sous les huées.

MENTEUR EN GRAPPE
Safran lance une campagne « maintien de l'emploi des personnes handicapées ». Belle hypocrisie à la Snecma, ne serait-ce qu'au Montage Cire, c'est elle -même qui créé le handicap avec plus de 40 % du personnel touché par des maladies professionnelles, mais là, silence.

AUGMENTONS NOS SALAIRES
Après des HS à gogo durant des mois, à la boucle chaude, la direction a décidé de les arrêter tout bonnement. En fait, c'est toujours pareil ! Pour augmenter la productivité, tout est bon dans l'excès. Mais pour maintenir le niveau de revenu à long terme, c'est autre chose. Alors, mieux vaut une augmentation de salaire plutôt que des HS aléatoires.

HYPOCRITE

Toujours pour l'insertion professionnelle, Safran est partenaire de la nouvelle saison appelée « je n'en crois pas mes yeux ». Une pub bien hypocrite quand on pense qu'il y a quelques temps un intérimaire s'était fait virer parce qu'il était non voyant d'un œil.

Cercle Léon Trotsky

LES MOUVEMENTS POPULAIRES DU PRINTEMPS ARABE ET LEURS RÉPERCUSSIONS
Ce sera le sujet du prochain Cercle Léon Trotsky.
Il aura lieu le vendredi 22 novembre 2013 – 20h30 au Théâtre de la Mutualité 24, rue Saint-Victor Paris 5e, Métro : Maubert-Mutualité - ligne 10
Participation aux frais : 3 euros

Départ collectif d'Argenteuil, "café des 2 gares", 19 heures, sortie Orgemont de la gare d'Argenteuil


Ratp : le bulletin Lutte Ouvrière du dépôt de Nanterre de cette semaine (dont dépend en particulier la ligne 272)

la lutte paie
Les 3500 ouvriers permanents de nuit, aux caténaires, à la voie, M2E, ont obtenu le doublement de la prime de panier, et 5 points de plus sur la prime grande nuit. Le tout fait 80€, avec effet rétroactif « progressif » depuis 2011.
C’est la direction qui a déclenché le mécontentement en remettant en cause certains avantages. Du coup, les ouvriers des centres de Nanterre et Villette ont fait grève, manifesté, et débrayé spontanément aux annonces de la direction.
La preuve qu’on peut faire céder la direction.

pour une augmentation générale des salaires
En 2013, la direction n’a augmenté nos salaires que de 0,5% en juillet. Alors oui, une hausse générale des salaires est indispensable, à la RATP et partout ailleurs, d’au moins 300€ par mois, pour faire face au coût de la vie.
Un objectif qui permettrait d’unir l’ensemble des travailleurs.

De la poudre aux yeux
La RATP annonce qu’elle va embaucher 1000 machinistes l’année prochaine.
Cela peut paraitre important. Mais les années précédentes malgré des annonces comparables, on constate que les problèmes d’effectif restent toujours les mêmes avec son lot de suppressions et de non couverts.
La Régie veut se donner une bonne image, mais cela reste insuffisant pour transporter les usagers dans de bonnes conditions.

Chaises musicales
Le secrétaire général de RATP Dev vient de rejoindre Trandev. Ce n’est pas le premier haut cadre de la RATP à rejoindre ainsi la prétendue « concurrence ». Et vice versa, bon nombre de cadres de Kéolis, Véolia ou Transdev sont passés à la RATP.
En fait, la concurrence dont ils nous rebattent tant les oreilles n’existe pas, c’est juste pour nous faire accepter plus de sacrifices.
Nous ne sommes pas dupes !

Sas-guillotine
Les sas de la Défense ne fonctionnent quasiment plus jamais correctement.
Au mieux ils ne s’ouvrent pas, mais bien souvent ils se referment subitement sur les voyageurs. Et nous, on doit subir les réflexions des usagers mécontents.
Encore une fois les fameuses innovations de la RATP se sont arrêtées à la porte du bus !

Le cordonnier le plus mal chaussé…
Il n’y a plus qu’un seul Noctilien de prévu pour passer en semaine par les terminus de la Boule et Rueil Gare en rentrée de dépôt.
C’est la conséquence du changement de TM puisque que le premier Noctilien à rentrer prend désormais des voyageurs jusqu’à la Boule.
On passe notre temps à emmener les gens au travail mais, en revanche, pour nous rien !

Froid, nous ? Jamais !
Comme chaque année, avec le froid qui revient on peut s’apercevoir très vite que certaines voitures ne chauffent pas.
Alors pas question de conduire dans une glacière, s’il n’y a pas de chauffage il faudra faire rentrer très vite les voitures.

Faut savoir la fermer
Au Pont de Neuilly on nous a donné une clé pour accéder au local machiniste en remplacement de la serrure à code.
Mais le problème reste toujours le même et la porte bien souvent ouverte.
On attend une solution rapide à la clé du problème.

Ça ne se déroule pas si bien…
Nous venons de recevoir nos déroulés de repos pour 2014.
Si nous avons l’assurance d’avoir tous 121 repos, en revanche dans le déroulé nous ne sommes pas tous traités de la même façon.
Certains d’entre nous ont jusqu’à 3 dimanches secs dans l’année alors que d’autres pas du tout.
Mais avec des effectifs supplémentaires ça tournerai mieux.

Ce n’est pas l’emballage qui compte
La direction nous invite à trouver un nom au futur regroupement de Nanterre-Charlebourg.
On peut donner n’importe quel nom à ce projet, ça restera tout de même une opération de productivité faite sur le dos des agents.
Alors on n’en n’a rien à faire de tout leur cinéma.


mardi 19 novembre 2013

Des fleurs, des épines, et des précautions à prendre

La polémique enfle à Argenteuil autour du coût de la rénovation du kiosque à fleurs et de ses abords de l’avenue Gabriel Péri, à l’angle de la rue Paul Vaillant Couturier.  D’un côté la rose municipale qui a initié le projet, de l’autre le chardon de l’opposition de droite pour qui avec cette initiative, c’est le bouquet !
     Le fait que les commerces de proximité, non seulement du centre ville mais également dans les quartiers périphériques soient améliorées et plus nombreux est une très bonne chose.
     Pour le reste, nous le répétons, les initiatives, les projets devraient être connus, discutés sur la place publique, qu’entre leur coût et l’intérêt, la population soit amenée à donner son avis en connaissance de cause.
     La population doit contrôler tous les aspects de la vie sociale qui concernent leur vie et dont elle assure le coût.