mardi 22 août 2017

Argenteuil : culture : avec la municipalité, on peut s'attendre à tout




La culture bien sûr, mais pas celle du profit !

 
Maison de Claude Monet




Notre article sur le « musée » d’Argenteuil a, semble-t-il, bien intéressé nos lecteurs locaux. Vous l’avez compris, l’axe que nous avions choisi était le suivant : plutôt que de laisser le monopole de la culture aux rongeurs du local où les pièces de feu le musée de la rue Pierre Guienne sont entreposées, le mieux est tout de même qu’elles retrouvent très vite l’air libre dans un local certes provisoire mais idoine.
         Ce n’est surtout pas pour abandonner le lieu de feu donc ce musée qui occupait les salles de l’ancien hôpital de la paroisse d’Argenteuil du XVIIème siècle.
         Car avec la municipalité actuelle, il y a de quoi toujours s’inquiéter lorsque l’on voit avec quelle facilité elle veut liquider l’espace « Jean Vilar ».
         Ce bâtiment du Grand siècle tout comme la maison rénovée de Claude Monet, boulevard Karl Marx, sont deux éléments patrimoniaux de la commune qui finalement en compte peu.
         Donc attention. On ne voudrait pas que ces lieux soient victimes demain de la convoitise d’investisseurs aux dents longues qui n’ont que faire ni de la culture ni de l’histoire, mais qui s’intéressent uniquement aux profits que des opérations douteuses peuvent générer.

Argenteuil-Bezons : la députée, retrouvée, mais silencieuse


Elle est retrouvée…

Un lecteur assidu de notre blog a apparemment lu avec intérêt notre brève sur la député d’Argenteuil-Bezons intitulée « perdue de vue ». Pour tenter de la retrouver, il a été chercher du côté d’un site très intéressant :


         Finalement, il a effectivement réussi à retrouver cette députée du côté des bancs de l’assemblée nationale. Retrouver est un bien grand mot, car dans la majeure partie des différentes rubriques du site en question, ladite « représentante » est plutôt incognito, puisqu’elle a de nombreux zéros !
         Si le rôle qu’on leur fait jouer ne convient pas ni à elle-même ni à son suppléant, ils peuvent toujours démissionner, les travailleurs ne s’en plaindront pas. 

Ce matin, en fin de matinée, des militants de l’Union locale CGT d’Argenteuil ont prévu de mener campagne du côté de Babou, dans le centre-ville. Il s’agit effectivement de préparer le 12 septembre qui approche maintenant à grands pas. Tous ensembles le 12 septembre !

Turquie : Hamza Yalçin emprisonné, un communiqué de Lutte ouvrière


Liberté pour Hamza Yalçin

Communiqué le 21/08/2017

 


Le journaliste et écrivain Hamza Yalçin a été arrêté le jeudi 3 août à l’aéroport de Barcelone et il est, depuis, emprisonné en Espagne à la demande du gouvernement turc qui l’accuse d’insulter Erdogan et d’être un terroriste. S’il est extradé, il risque la prison à perpétuité.
Hamza Yalçin est un opposant de longue date aux dictatures qui se sont succédé en Turquie. Arrêté et torturé après le coup d’État d’Evren en 1980, il a dû s’expatrier et la Suède l’a naturalisé. De là-bas, il dirige un magazine de gauche très critique envers le régime d’Ankara.
En frappant ses opposants jusqu’en Espagne, Erdogan veut montrer qu’il peut réprimer toute opposition, en Turquie, comme à l’extérieur. Et la complicité du gouvernement espagnol est révoltante.
Nous nous associons à toutes les organisations qui réclament la libération de Hamza Yalcin.
                       Pour Lutte Ouvrière, Nathalie Arthaud et Arlette Laguiller

Révolution russe de 1917 (18) Juillet 1917 : vers la réaction ? Ou une nouvelle révolution ?


Les journées de Juillet : vers la réaction ou une seconde révolution ? 

Le 2 juillet 1917 (15 juillet selon notre calendrier), les ministres bourgeois du Parti cadet démissionnent à l’improviste, brisant la coalition gouvernementale établie deux mois plus tôt avec les socialistes-révolutionnaires (SR) et les mencheviks. Ils répondent au désir de la bourgeoisie de faire retomber sur les ministres socialistes l’échec de l’offensive militaire, décidée par Kerenski sous la pression des Alliés, et la débâcle économique. L’affrontement est devenu inévitable avec le prolétariat de la capitale acquis aux bolcheviks, et avec les régiments révoltés par les tentatives de continuer la guerre.
Comme l’écrit Trotsky, « la manifestation du 18 juin à Petrograd avait déjà montré à tous que le gouvernement provisoire avait perdu tout appui dans la capitale. L’impatience et la méfiance de la majorité des ouvriers et soldats de Petrograd allaient croissant, non pas de jour en jour mais d’heure en heure. » Les bolcheviks pensent cependant qu’une insurrection du prolétariat serait prématurée. En dehors de Petrograd et de Moscou, les masses n’ont pas encore pleinement pris conscience de l’impasse où mène la politique opportuniste des SR et des mencheviks. À Petrograd, ils s’efforcent donc de contenir l’impatience.
« Le 3 juillet, dès le matin, plusieurs milliers de mitrailleurs, interrompant brusquement une réunion des comités de leurs compagnies et du régiment, élurent un président des leurs et exigèrent que l’on discutât immédiatement d’une manifestation armée. » Un ouvrier de l’usine Renault raconte : « Après déjeuner, plusieurs mitrailleurs accoururent chez nous et nous demandèrent de leur livrer des auto-camions. (…) En toute hâte, ils chargèrent sur les voitures des mitrailleuses Maxims et filèrent vers la Nevsky. Alors, il devint impossible de retenir nos ouvriers. » Aux usines Poutilov, « acclamés, les mitrailleurs racontèrent qu’ils avaient reçu l’ordre de partir le 4 juillet pour le front, mais qu’ils avaient résolu “de marcher non du côté du front allemand, contre le prolétariat allemand, mais bien contre leurs propres ministres capitalistes”. »
L’ouvrier bolchevik Chliapnikov témoigne aussi : « De tous côtés, sur la perspective Samsonievski affluaient, de plus en plus nombreux, des groupes d’ouvriers qui bientôt se fondirent en une masse compacte d’une dizaine de milliers de manifestants. On entonna des chants révolutionnaires, on arbora des rubans et des mouchoirs rouges. Refoulée, la police alla se réfugier dans son corps de garde. Des orateurs prirent la parole et exhortèrent à la lutte armée pour le renversement du tsarisme. La circulation des tramways dans Viborgskaïa-Storona fut interrompue et, pendant plus d’une heure, les ouvriers défilèrent dans les rues en chantant des chants révolutionnaires. »
Les affrontements répétés avec la police et les cosaques ne découragent pas les manifestants. Trotsky écrit : « La vie industrielle de la capitale, vers sept heures du soir, avait complètement cessé. L’une après l’autre, les usines se soulevaient, formaient les rangs, des détachements de gardes rouges s’armaient. »

SR et mencheviks contre le pouvoir aux soviets

Les manifestants convergent au siège du comité exécutif des soviets, majoritairement composé de SR et de mencheviks. « Dans la salle du palais de Tauride, qui était entouré par une foule considérable de peuple armé, survenaient députations sur députations, réclamant la rupture complète avec la grande bourgeoisie, des réformes sociales absolues et l’ouverture de négociations de paix. »
La foule exige : « Départ des ministres capitalistes ! », « Tout le pouvoir aux soviets ! » Pourtant, le comité exécutif reçoit les délégués, contraint et forcé. Il s’efforce « de gagner du temps et de donner à Kerenski la possibilité d’amener à Petrograd des troupes sûres ».
Pour leur part, les bolcheviks décident de ne pas laisser la répression s’abattre sur les travailleurs et les soldats, mais de prendre la tête de la manifestation du lendemain, ce qui conforte la confiance de tous. « À tous les effectifs de la garnison furent envoyés de brefs appels et des instructions. Pour protéger les manifestants contre les attaques, il fut ordonné de disposer, près des ponts qui mènent des faubourgs, au centre et aux principaux carrefours des grandes artères, des autos blindées. Les mitrailleurs, dès la nuit, avaient déjà placé leur corps de garde devant la forteresse Pierre-et-Paul. Par téléphone et par des estafettes, on informait de la manifestation du lendemain les garnisons d’Oranienbaum, de Peterhof, de Krasnoie-Selo et d’autres points proches de la capitale. »

Le rôle du Parti bolchevique

Le 4 juillet, un demi-million de personnes défilent en armes : « Les troupes mutinées sortent des casernes par compagnies et par bataillons, tiennent les rues et les places, écrit Trotsky. Le mouvement de ce jour est plus imposant et mieux organisé que celui de la veille : on aperçoit la main du parti qui le guide. Mais l’atmosphère est aujourd’hui plus échauffée : les soldats et les ouvriers cherchent à obtenir un dénouement de la crise. »
Les provocations ne tardent pas. « Des commerçants se jettent avec fureur sur les ouvriers et les rouent de coups impitoyablement. » On tire à la mitrailleuse depuis des fenêtres sur le cortège. Des cosaques chargent la foule. Parmi les marins de Cronstadt, le bolchevik Raskolnikov raconte : « Les matelots se saisirent de leurs fusils, un tir désordonné commença dans toutes les directions, plusieurs personnes furent tuées ou blessées. (…) Le cortège continua à avancer aux sons de la musique, mais il ne restait pas trace de son enthousiasme de fête. » Trotsky ajoute : « Les fusils n’étaient plus pacifiquement portés sur l’épaule gauche, mais étaient croisés. »
Devant le palais de Tauride, SR et mencheviks sommés de s’expliquer passent des moments difficiles. Selon le cadet Milioukov, « un ouvrier de haute taille, tendant le poing à la face du ministre Tchernov [SR] crie, en fureur : “Prends donc le pouvoir quand on te le donne !” »
Mais les manifestants réalisent alors que la situation est sans issue. Trotsky écrit : « Les masses refluèrent vers les faubourgs et ne se disposaient pas à recommencer la lutte le lendemain. Elles avaient senti que la question du pouvoir du soviet se présentait d’une façon beaucoup plus compliquée qu’elles ne l’avaient cru. Il y avait encore pas mal d’illusions en ce sens que, par la parole et par une manifestation, l’on pourrait arriver à tout ; qu’en intimidant les mencheviks et les socialistes-révolutionnaires l’on pourrait les stimuler à suivre une politique commune avec les bolcheviks. »

Le prolétariat a perdu une bataille mais n’est pas vaincu

« Dans la nuit du 4, les premières troupes sûres arrivèrent du front. (…) Du haut de la tribune du comité exécutif volaient les discours sur l’émeute à main armée, que venaient de réprimer “les troupes fidèles à la Révolution”. Le Parti bolchevik était déclaré contre-révolutionnaire. » Le 5 juillet, les soldats saccagent les locaux de la Pravda, le journal bolchevik. Le matin du 6, alors que le travail reprend peu à peu, « un jeune ouvrier, Voïnov, qui distribuait le Listok Pravdy, paru à la place du journal bolchevik saccagé la veille, est assassiné dans la rue (…). Les éléments de la réaction, les Cent-Noirs, prennent goût à l’écrasement de l’émeute. Pillages, violences, çà et là des fusillades continuent dans les différentes parties de la ville. »
Pourtant le Parti bolchevique, en prenant la tête du prolétariat de Petrograd, a évité le pire. Celui-ci a perdu une bataille, mais pour l’essentiel ses forces sont intactes. Trotsky conclut : « L’importance d’une avant-garde aux rangs serrés apparaît pour la première fois dans toute sa force au cours des journées de juillet, lorsque le parti, bien que le payant cher, préserve le prolétariat de l’écrasement, assure l’avenir de la révolution et le sien propre. »
Pour la bourgeoisie, les journées de Juillet devaient être un prélude à l’écrasement du prolétariat révolutionnaire. Pour celui-ci, elles allaient être le prélude à sa prise du pouvoir quatre moins plus tard, en octobre.

lundi 21 août 2017

Editorial des bulletins Lutte ouvrière d'entreprise de ce lundi 21 août 2017


Refuser la barbarie des terroristes et celle du capitalisme

14 morts et 120 blessés à Barcelone et Cambrils jeudi dernier ; 12 à Londres en mars et juin ; 22 à Manchester en mai ; 5 à Stockholm en avril ; 12 à Berlin en décembre à l’occasion du marché de Noël ; 86 à Nice le 14 juillet 2016 sur la promenade des Anglais… Les attentats se suivent et se ressemblent. Et c’est à chaque fois la même sidération face à l’horreur, la même émotion face à ces vies brisées et… les mêmes discours hypocrites des chefs d’État qui se posent en défenseurs de la liberté et de la paix contre la barbarie.
Mais ces attentats ne surviennent pas dans un ciel serein. Ils rappellent ceux qui frappent quasi quotidiennement en Irak et en Afrique - le dernier en date, à Ouagadougou au Burkina Faso ayant fait 18 morts -, et ils répondent à la guerre conduite par les grandes puissances au Moyen-Orient.
Ces attentats sont odieux et barbares, mais les bombardements de la coalition menée par les États-Unis comme ceux de la Russie sur Mossoul, Alep ou Raqqa ne le sont pas moins. Combien de civils, d’enfants, de femmes et d’hommes innocents enterrés sous les décombres des quartiers rasés de ces villes martyres ?
Les dirigeants des grandes puissances veulent se donner le beau rôle mais quand il s’agit de défendre leur domination, ils n’hésitent pas à piétiner les vies humaines et surtout, ils portent l’écrasante responsabilité du chaos dans lequel nous nous enfonçons.
Ce sont leurs manœuvres et leurs coups tordus qui ont enfanté les monstres qu’ils dénoncent aujourd'hui comme des dangers pour l’humanité. Al Qaïda fut fondée par Ben Laden, que les États-Unis finançaient en Afghanistan dans leur guerre contre l’Union soviétique. Et Daech est le fruit pourri de la guerre anglo-américaine menée en Irak à partir de 2003.
Les chefs d’État occidentaux veulent se servir du dégoût légitime que provoquent les attentats pour nous faire approuver leurs interventions guerrières. Leurs appels incessants à l’unité nationale contre le terrorisme visent à nous souder derrière leur politique impérialiste. Il ne faut pas marcher dans cette tromperie.
Une victoire militaire sur Daech est tout à fait probable. Et après ? L’impérialisme est incapable d'assurer des relations entre les peuples, entre les ethnies et entre les religions sans recourir à l’oppression. Toute l’histoire du Moyen-Orient est marquée par les rivalités des grandes puissances pour la colonisation et le pétrole et cela ne cessera pas avec l’élimination de telle ou telle bande armée.
L'impérialisme est basé sur l’exploitation et le pillage. Il se nourrit des inégalités et de la pauvreté. Il engendre et exacerbe les rivalités entre les pays.
Il n’est qu’à voir les coups de menton de Trump contre la Corée du Nord, qui est allé jusqu’à menacer de déchaîner le « feu et la fureur » sur ce pays de 25 millions d’habitants, évoquant même la possibilité de faire usage de l’arme nucléaire, pour comprendre que se mettre à la remorque de la politique des grandes puissances nous mène droit à la catastrophe.
Le monde est devenu une poudrière. Les rivalités impérialistes entre les États-Unis, la Russie ou encore la Chine, la domination que ceux-ci veulent préserver sur les régions plus pauvres de la planète créent un climat de plus en plus guerrier dont personne ne peut dire où il va nous mener.
Aujourd'hui, les principales victimes du chaos engendré par l’impérialisme sont des Syriens, des Erythréens, des Soudanais, des Maliens, des Afghans. Ils fuient pour beaucoup les régions dévastées par les bandes armées, la misère, voire la famine qui s’en suit. Demain, ce peut être nous.
Sans remettre en cause les fondements du capitalisme et la domination de l’impérialisme, aucun des problèmes qui se posent aujourd'hui à l’humanité ne peut être résolu, ni le risque d’une guerre généralisée, ni le terrorisme, ni la crise économique ou écologique.
Mais l’humanité n’est pas condamnée à subir un ordre social aussi injuste qu’inégalitaire et fou. Un autre monde est possible. Il faut qu’un parti mette en avant cette perspective sans quoi la situation ne peut que pourrir sur pied.
Face à la barbarie de la société actuelle, il est essentiel qu’il y ait des femmes et des hommes pour défendre autour d’eux, dans les entreprises et dans les quartiers populaires la perspective de changer de fond en comble la société.
Renverser la propriété capitaliste et mettre en commun les moyens de production sont une nécessité pour mettre fin à l’exploitation de la majorité par une minorité et pour qu’enfin les immenses possibilités que recèle la société fassent progresser le sort de tous les peuples de la planète.

Argenteuil, un musée ressuscité à peu de frais ?


Et cela, à peu de frais. Alors, c’est pour quand ?

 
C'est l'ancienne usine rénovée, au fond du jardin, très bien !
Cela fait des années que le musée d’Argenteuil est fermé au public. Ses collections sont paraît-il en lieu sûr, et doivent cultiver, sans aucun doute, rats et souris que l’on imagine friandes du passé de la commune.
         Il est pourtant un lieu qui pourrait totalement accueillir une sélection de ces objets documentaires et jouer le rôle de véritable musée. Il s’agit du bâtiment industriel rénové du site-jardin des vestiges de l’abbaye d’Héloïse. Celui-ci l’a été à grands frais sans que l’on ait pensé au préalable quel pouvait en être la destination à l’avenir. Pas étonnant qu’il n’ait servi depuis trois ans et demi qu’à de très-très rares occasions. Une telle utilisation  ferait d’une pierre trois coups. Elle permettrait de rendre vivant un site actuellement sous- employé. A coût supplémentaire très modique, elle permettrait, foi de la sainte tunique toute proche, la « résurrection » du musée d’Argenteuil. Elle permettrait que tous les enseignants de la Ville puissent bénéficier d’un lieu pour, partant de l’histoire locale, appuyer des généralisations qui ont besoin de tels fondements locaux concrets.

Députés LREM : contre les travailleurs, le doigt à la couture du pantalon


Approbateurs transparents de la guerre menée aux travailleurs

 
Présents ou pas, toujours contre le monde du travail

Dans une interview donnée à la presse, Bruno Bonnell, élu député « En marche » à Villeurbanne, joue les naïfs, en disant qu’il ne faut pas juger les députés LREM sur les 100 premiers jours, mais sur l’ensemble de la mandature. Sauf que pendant ces 100 premiers jours, ces députés ont voté tous les mauvais coups de Macron contre les travailleurs et les plus pauvres.
Comme il le fait remarquer, ils se contentent d’appliquer le programme pour lequel ils s’étaient engagés. C’est vrai, Macron avait annoncé toutes ces attaques. Et tous ces députés LREM, dont le chef d’entreprise Bruno Bonnell, se sont fait élire en connaissance de cause, pour approuver et soutenir ce gouvernement de combat contre les travailleurs.

Argenteuil-Bezons : députée, recherche désespérément godillot transparent


Perdue de vue

 
Pas grand monde effectivement, mais elle, elle est où ?

Cette politique des députés LREM peu appréciée par le monde du travail explique sans doute la discrétion complète de la députée d’Argenteuil-Bezons, élue par défaut en juin, dont les habitants ne savent plus rien depuis près de deux mois. Vous tapez son nom sur les « actualités » sur internet, et rien n’apparaît. Il y a pourtant eu son vote sur le principe des prochaines « ordonnances » !

         On connaissait les vêtements transparents, mais les godillots de même nature, on ne savait qu’il en existât à ce point.