samedi 2 juin 2018
vendredi 1 juin 2018
Macron et les retraites, attaques en préparation
Pas touche aux retraites !
Le «
haut commissaire à la réforme des retraites », Jean-Paul Delevoye vient
d’annoncer l’ouverture d’« ateliers participatifs » et d’une prétendue «
consultation citoyenne » sur internet où tout un chacun est appelé à s’exprimer
sur le projet de retraite « par points ». On connaît la méthode : rencontre
avec les syndicats, mise en place d’une commission, rédaction d’un rapport,
autant de leurres pour préparer la nouvelle attaque annoncée.
Une
riposte collective, la plus large et forte possible, s’impose.
Libellés :
retraites
Hôpital de Gonesse comme ailleurs, la dégradation se poursuit
Urgences : de 45 000 visites à
près de 60 000 trois ans plus tard
Extrait de l’article de Vonews du 30 mai
« …Près de cinquante agents
du centre hospitalier de Gonesse ont manifesté ce mardi 29 mai à l’appel de la
CGT. Ils ont dénoncé une nouvelle fois le manque de personnel alors que la demande
de soins, elle, est en augmentation. De son côté, la direction explique avoir
des problèmes de recrutement.
« On ne veut plus subir, ça
suffit ! », Mohamed Farid, délégué CGT de l’hôpital de Gonesse tire
une nouvelle fois la sonnette d’alarme.
Près de cinquante employés de l’hôpital ont répondu à l’appel à la grève du
syndicat majoritaire mardi 29 mai.
Ce n’est
pas la première fois que le personnel de l’hôpital manifeste. Ils avaient déjà,
par le passé, évoqué un problème de manque de personnel ajouté à une hausse de
la demande en soins médicaux, encore d’actualité.
Les
urgences, par exemple, ont vu leur fréquentation passer de 45 000 visites en
2015 à près de 60 000 visites en 2018, sans pour autant augmenter l’effectif du
personnel médical.
Le service des urgences ne serait
pas le seul concerné. Mohamed
Farid parle même « d’un ras-le-bol général qui gagne tous
les services ». On voit bien que c’est un problème d’ampleur nationale, mais
l’hôpital de Gonesse est particulièrement malmené. Il faut que cette situation
cesse d’exister ! », s’agace le représentant syndical.
« On
nous demande de courir, partout, tout le temps »
Des conditions jugées
insupportables par les employés qui craignent que cela porte préjudice aux
patients. « On nous demande de courir partout parce qu’il n’y a pas assez de
personnel. Je suis tellement occupée que je n’ai même plus le temps d’être avec
les patients alors que je suis aide-soignante. J’arrive au bloc et je dois
demander de quoi le patient vas être opéré, je ne suis pas non plus au courant
de ses possibles allergies. Une fois, ma collègue à appliquer de la bétadine
sur un patient qui y était allergique, il n’y a pas eu de drames, on l’a
nettoyé de suite, mais c’est des problèmes qui peuvent arriver de plus en plus
souvent en travaillant à ce rythme. », confie Carole-Anne Strzelecki,
aide-soignante… »
Sans commentaire.
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actualités du Val d'Oise,
santé; hôpitaux
Amiante, années de procédures, obstination, la galère pour se faire entendre. Exemple
Sept ans de procédure, et ce n’est pas
fini
Il a fallu attendre sept ans pour
qu’un tribunal accepte enfin de reconnaître le préjudice subi par les ouvriers
des CMP d’Arles.
Il a
fallu que les salariés se livrent à un véritable tour de France pour obtenir
enfin la reconnaissance du préjudice subi par la présence d’amiante. Ils ont
été baladé d’Arles à Aix puis de Tarascon à Marseille pour finir enfin par
obtenir réparation au tribunal de Nanterre.
Les CMP
sont spécialisé dans la chaudronnerie lourde et pour souder les énormes tôles
d’acier les ouvriers ont durant des années été en contact avec de l’amiante.
Cela a pu être des coussins en amiante pour pouvoir souder dans des positions
difficiles en passant par des couvertures en amiante pour se protéger de la
chaleur dégagée par les pièces chauffées en finissant par tous les joints
toujours en amiante. Et cela sans compter les équipements bourrés d’amiante.
Aujourd’hui
les treize anciens salariés des CMP ont été indemnisés mais il reste prés de
200 dossiers en attente. Et s’ils ont obtenu jusqu’à 12000€ d’indemnités pour
certains, il n’en reste pas moins que leur santé a été mise en danger pour que
la production sortent , pour que l’industrie pétrolières puisse faire
fonctionner ces énormes instruments qu’ils ont fabriqué et que cette industrie
puisse engranger d’énormes profits.
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