mardi 13 septembre 2022

Égalité femme-homme : hors de portée sans révolution

Femmes prolétaires, hommes prolétaires de tous les pays, unissons-nous !

 

L’égalité femme-homme est un combat. Avec des retours en arrière possibles, comme en Afghanistan avec les talibans ou aux États-Unis avec le recul sur l’avortement.

Mais même selon l’ONU, avec l’optique complètement utopique de progrès constants et de petits pas bouleversant le moins possible la hiérarchie sociale, il faudrait 286 ans au rythme actuel pour arriver enfin à l’égalité !

Seule une révolution sociale permettra vraiment d’aller vers l’égalité entre les sexes comme vers l’égalité sociale en général.

 

Argenteuil, avenir de la salle des fêtes Jean Vilar, des justifications à géométrie variable

 

Avant de répondre, ils devraient accorder leurs violons… dingues

 

Aux enseignants qui s’inquiètent des locaux nécessaires pour la présentation en 2023 des spectacles qu’ils comptent préparer cette année, il est répondu : « La salle Jean Vilar ne pourra être utilisée, elle est hors norme ».

         De son côté, le maire d’Argenteuil affirme seulement depuis juillet que cette salle est neutralisée jusqu’à nouvel ordre en vue de la prochaine vague de Covid qu’il sentait imminente (en juillet !).

         Bref, quand on veut noyer la salle communale, on l’accuse de… n’importe quoi et tous les raisonnements sont bons. DM

En attendant

Samedi 17 septembre, pour la défense de l’espace Jean Vilar,

Déambulation en direction de la Maison de Claude Monet

Départ 15 heures devant le complexe Jean Vilar

9 boulevard Héloïse

Thé, Lipton… pillage colonial… Au Kenya, les victimes du pillage colonial demandent réparation

La spoliation foncière toujours derrière la colonisation

 

Plantation de thé au Kenya

Au Kenya, les communautés Talai et Kipsigis réclament des réparations au Royaume-Uni pour les spoliations subies pendant l’ère coloniale, du début du vingtième siècle à l’indépendance en 1963. À coups de meurtres, de tortures, de viols, ces populations ont été dépossédées de leurs terres, aujourd’hui dans les mains des compagnies Lipton, Unilever et Finlay’s, qui y font pousser du thé qui se vend bien sur le marché mondial.

Le colonialisme appartient le plus souvent au passé, mais ses conséquences sont bien présentes dans le sous-développement de vastes zones du globe.