samedi 8 décembre 2012

Radiothérapie d'Argenteuil : tous ensemble mercredi pour la défendre


La menace de fermeture pèse toujours sur le service de radiothérapie de l'hôpital d'Argenteuil. Au jour d'aujourd'hui, c'est le silence radio du côté de la ministre de la santé.
     L'idée même d'une telle fermeture non seulement est inimaginable mais est scandaleuse. D'autant lorsqu'il s'agit de malades parmi les plus fragilisés par la maladie.
     Animée par le Comité de défense de l'hôpital d'Argenteuil, la mobilisation se développe. Pour que la pétition de refus ait à ce jour recueilli plus de 12 000 signatures, le fait témoigne non seulement de l'activité de militants mais du mécontentement de toute une population.
     Ces signatures de protestations seront portées au ministère de la santé ce mercredi 12 décembre à 14 heures

  Ministère des Affaires sociales et de la Santé 14, avenue Duquesne
Paris VIIème, M° Varenne

     Les élus de Lutte Ouvrière et leurs camarades s'associent à ce rassemblement. Pour ma part, j'y serai présent et j'invite chacun à y participer.
      Un rendez vous est prévu à 13 heures à Argenteuil devant la salle Jean Vilar, bd Héloïse. Un car est prévu. A défaut, on peut prendre le train ou opérer du co-voiturage. (pour tout renseignement nous joindre). 

     Ce rendez-vous est une nouvelle étape dans la mobilisation. En tout cas, il n'est pas pensable que ce service soit supprimé, un point c'est tout. Chacun attend une réponse positive définitive de la ministre. A défaut, il faut que la colère monte.
                                                                                      
                                                                                                               Dominique MARIETTE

Nathalie Arthaud dans les médias


lundi 10 décembre
mardi 11 décembre
jeudi 13 décembre
  • 23h30 - LCP - PolitiqueS
    Nathalie Arthaud sera l’invitée de l’émission.
    Rediffusions vendredi à 14h15, samedi à 19h30 et dimanche à 13h
Attention : les horaires des émissions peuvent être modifiés indépendamment de notre volonté

ArcelorMittal : floués par des bonimenteurs !




En même temps qu’Ayrault justifiait l’accord passé avec Mittal dans les médias, ce même Mittal écrivait à la commission européenne pour lui dire qu’il se désengageait du projet Ulcos. Depuis, Mittal est partiellement, et d’une manière pas très claire, revenu sur cette annonce. Mais comment croire un homme qui a toujours menti à ses ouvriers ?
     La colère des ouvriers de Florange est amplement justifiée. Il est patent que le gouvernement et les responsables socialistes enfument tout le monde pour s’incliner devant les exigences du patronat. Et s’ils se sont laissé enfumer eux-mêmes par Mittal, cela n’atténue pas leurs responsabilités.
     A force de titrer sur cette corde, ça va exploser. C’est à cette explosion qu’il faut se préparer !


Hollande justifie le fait de ne pas avoir nationalisé ArcelorMittal en expliquant que cela aurait coûté 1 milliard au budget de l’État. C’est du moins ce qu’il prétend. C’est à vérifier. Mais rien que les intérêts de la dette coûtent 50 milliards d’euros au budget de l’État qui alime, année après année, le magot des banques.
     Il y aurait une mesure qui n’aurait rien coûté : la nationalisation sans rachat ni indemnité de l’aciérie de Florange. Mais « qu’osez-vous dire » nous répondent en substance Hollande, Ayrault et même Montebourg. Une telle mesure, c’est du socialisme, du vrai. Une idée qu’ils craignent comme la foudre.

vendredi 7 décembre 2012

A la bonne heure !


A l’occasion d’un recours contre l’élection en juin dernier du député de la 6ème circonscription du Val d’Oise, on apprend par la presse, incidemment, que la commune de son suppléant, Enghien, a rémunéré ses assesseurs 250 euros la journée !
    Si au moins c'était des chômeurs qui avaient été embauchés…

Ecole : "Les communistes et l'Ecole", une conférence du Groupe d'Etude Ouvrière organisé par Lutte Ouvrière-Argenteuil


Conférence de Lutte Ouvrière sur :

« Les communistes et l’École »

« Transmettre aux générations nouvelles connaissances et savoir-faire est une activité essentielle de l’histoire humaine. L’École relève de cet objectif. L’École qui dans ce but assemble des enfants, a une histoire qui s’est accélérée avec l’essor de la société capitaliste. Sous ce mode de production marqué par l’exploitation, au-delà du rôle de formation et de transmission de la culture, on peut parler d’une École de classe.
Il s’agit de rappeler quelques éléments de cette histoire, mais aussi d’aborder quelques autres questions : quelle attitude est celle des communistes face à l’Ecole capitaliste ? Quelle furent leur politique vis-à-vis de cette question lorsqu’ils essayaient d’« ébranler le monde », sous la Commune de Paris ou durant les premières années de l’Union soviétique ? Comment peut-on envisager, ne serait-ce qu’un tant soit peu, l’École dans un avenir débarrassé de l’oppression ? »




Ce soir Vendredi 7 décembre 2012
à 20 heures 15
Espace MANDELA
82 boulevard Leclerc-Lenine
(face au stade du Marais)
À ARGENTEUIL




Le principe du Groupe d’Etude Ouvrière : un exposé, un moment important de libre débat, un moment convivial