Un intérêt sur la base seulement de ce qu’ils peuvent perdre
Le FMI vient de lancer une alerte sur l’endettement des pays pauvres que la crise sanitaire a accéléré.
Si le FMI s’inquiète du risque d’effondrement de certains pays, ce n’est bien sûr pas pour les conséquences qui seront dramatiques pour les populations. Mais parce que ça gripperait l’aspiration des richesses du tiers-monde par les banques et les grands groupes capitalistes. De plus des défauts de paiement de certains États, ayant déjà pressuré à fond leurs populations, pourraient déclencher une nouvelle crise financière mondiale.
En bons parasites, les capitalistes ne s’inquiètent de leur pillage qu’au regard de ce qu’ils peuvent y perdre.
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