mercredi 28 novembre 2018
Total : Raffinerie Feyzin dans le département du Rhône
Les grévistes ne veulent
pas céder. C’est bien la seule voie
Les
travailleurs postés de la raffinerie sont en grève depuis mercredi 21 novembre.
Ils refusent les propositions des Pétroliers de modifier la Convention
collective pour rendre non obligatoires les primes d’équipe, d’ancienneté et de
panier. Total et les autres auraient désormais le droit de les baisser ou les
supprimer.
Les installations sont au minimum technique et plus rien n’est livré. La
poursuite de la grève a été décidée d’abord jeudi 22, à l’appel de la CGT et de
FO. Et lundi 26 c’est une assemblée générale de 300 salariés qui a décidé de continuer jusqu’aux
résultats des négociations avec Total mercredi. Car Total dit ne pas vouloir
toucher aux primes mais refuse de le mettre par écrit !
Pour les grévistes, il n’est pas question de faire confiance à un rapace comme
Total, qui prévoit 16 milliards de $ de bénéfices pour 2018, gagnés avec le
travail des salariés qu’il emploie dans le monde entier. Comme dans plusieurs
autres raffineries du pays, la grève continue !
Libellés :
lutte des travailleurs
Education, Réforme du bac.Une analyse pertinente qui intéressera de nombreux parents
Remplir les classes, économiser ainsi des postes
de profs !
Le point de vue pertinent d’un de nos proches, parent
d’élèves
« La réforme du bac concerne les élèves de seconde de
cette année !
Quand ils passeront leur bac, en 2021, ils passeront le
nouveau bac : 60% du bac sur des épreuves passées en fin d'année, 30%
d'épreuves passées au fil des années de première et de terminale, et 10% avec
la moyenne des bulletins de notes de première et terminale : le bac commencera
donc dès le 1er jour de première ! Détaillons un peu : les "épreuves de
fin d'année" seront en fin de première le français (écrit et oral), et en
fin de terminale : la philo, 2 "spécialités"(matières principales,
j'y reviens plus loin), un grand oral de 20mn. Les "épreuves sur les 2
ans" sont en histoire-géo, 2 langues vivantes, une matière appelée
"enseignement scientifique", une autre "spécialité (matière), et
le sport. En pratique, il y aura 3 contrôles pour chaque matière : 2 en
première (2è et 3è trimestre) et 1 en terminale (fin du 1er trimestre).
Les spécialités ?
Si l'élève s'oriente en filière technologique, pas vraiment
de changement, les spécialités sont imposées. Par contre, si l'élève s'oriente
en filière générale, il y en a 12 différentes, chacune autour d'un axe tel que
littérature/philo, histoire-géo/sciences politiques, maths, physique-chimie,
SVT, langues, économie... et l'élève en choisit 3 qu'il étudiera en première,
puis en gardera 2 en terminale, ces 2 spécialités étant le plus gros coeff du
bac (voir au début de l'article).
Voilà pour les explications simplifiées (vous pouvez aller
sur le site de la fcpe95 pour avoir plus de détails, une présentation y est en
ligne).
Quelques commentaires tout de même :pour commencer, c'est
une réforme faite dans la précipitation. On ne sait pas le contenu des
"spécialités", leur programme ! Idem pour "l'enseignement
scientifique". Espérons que les parents de cette année en sauront plus au
moment de choisir ! Par ailleurs, chaque lycée ne proposera pas toutes les
spécialités, mais sans doute entre 7 et 9 sur les 12. Enfin, les lycées
proposeront des "combinaisons à l'avance" pour les spécialités, un
élève voulant une combinaison non proposée par son lycée devra soit changer de
choix, soit changer de lycée. Enfin, avec ParcoursSup, dont on ne connait pas
le fonctionnement, comment savoir si son choix de spécialités sera compatible
avec son désir d'études supérieures ? Et bien d'autres points sont flous. Bref
les parents de seconde de cette année, et surtout les élèves, vont être des
"cobayes" de cette réforme. C'est dire l'intérêt porté par l'Etat à
ces jeunes. Car l'intérêt annoncé par le gouvernement est autre et il est
clairement annoncé : mieux remplir les classes, c'est à dire les remplir encore
plus, et économiser des postes de profs ! Ce n'est pas avec cette réforme que
l'enseignement des lycéens sera efficace et bienveillant. »
Libellés :
Education
Conseil municipal d’Argenteuil du mardi 27 novembre. (A suivre)
La municipalité fait peu de cas des travailleurs
territoriaux
Nous reviendrons demain sur le conseil municipal
d’Argenteuil d’hier au soir, mais en attendant, nous voulions déjà évoquer à ce
sujet deux points, l’un qui figurait à l’ordre du jour, et un autre qui était
systématiquement présenté naguère lors de ces conseils mais qui a une fâcheuse
tendance ces derniers temps à ne plus y être abordé. Ces brèves sont extraites
du bulletin des « Territoriaux d’Argenteuil et l’ex-Agglo » qui
s’adresse aux travailleurs de la collectivité, et qui paraît tous les quinze
jours parmi eux.
Ce
sont les conditions de travail qu’il faut réformer
Un autre
point de l’ordre du jour porte sur le remboursement des émoluments des médecins
du CIG chargés des dossiers de réforme présentés par la Ville, au prorata de
leur nombre.
Au
vu de la dégradation des conditions de travail dans la collectivité et des
moyens de la médecine du travail, ces dossiers sont de plus en plus nombreux,
il faudrait donc que la Ville débourse davantage ?
Et
si l’on inversait la donne…
(Le CIG, centre interrégional de gestion est un organisme chargé de
suivre un certain nombre de problèmes concernant les agents des communes, en
l’occurrence de la Grande couronne qui y adhèrent. C’est le cas d’Argenteuil)
Tableau
noir
Une
nouvelle fois, il n’y aura pas lors du conseil municipal de présentation du
« tableau des effectifs » de la collectivité.
Cachez
ce tableau que nous ne saurions accepter, quand les effectifs réels sont en
chute libre !
Libellés :
Conseil municipal d'Argenteuil
mardi 27 novembre 2018
Editorial des bulletins Lutte ouvrière d’entreprise du lundi 26 novembre 2018
« Peste brune »,
« séditieux » : sous prétexte qu’une minorité de voyous
d’extrême-droite étaient présents sur les Champs-Elysées, voilà comment
Castaner et Darmanin ont qualifié les manifestants de ce samedi !
Toute
la semaine, de nombreux travailleurs, retraités, chômeurs se sont retrouvés
dans les rassemblements et barrages des gilets jaunes à travers le pays.
Du
jeune salarié d’une fromagerie industrielle contraint de dépenser 400 euros de
carburant sur une paie de 1700 pour aller travailler, à l’auxiliaire de vie
payée 900 euros, en passant par la retraitée dont la pension n’atteint pas les
1000 euros mensuels et le couple au chômage dont la famille ne finit pas le
mois sans les Restos du cœur, tous disent la même chose : ils n’en peuvent
plus de se contenter de survivre. Ils ont décidé de se battre et ils ont
raison !
Et que
leur répond Macron ? Après avoir fait la leçon aux manifestants, il
parle de mesures d’accompagnement et de la mise en place d’un Haut conseil pour
le climat. « Ils nous parlent de fin du monde quand on
leur parle de fin de mois », disait un manifestant samedi, résumant le
décalage entre les discours du gouvernement et les revendications des
manifestants.
Si nous
voulons que notre sort de salarié, d’ouvrier, d’employé, de soignant ou de
cheminot change, il faut nous engouffrer dans la brèche en luttant sur nos
lieux de travail, pour nos salaires. Parce que si les prix augmentent, les
salaires, eux, restent bloqués à des niveaux bien trop bas !
Les
hausses à deux chiffres s’accumulent, pas seulement pour l’essence, mais pour
le gaz, les mutuelles et la nourriture. Quel salaire, quelle pension de
retraite, quels allocations et minima sociaux ont augmenté dans les mêmes
proportions ? Même les primes de transport ou les indemnités de déplacement
versées par les entreprises ne suivent pas !
Stopper
cette dégringolade de notre niveau de vie, cela signifie engager le combat non
seulement contre le gouvernement, mais aussi contre la classe
capitaliste.
Aujourd’hui,
tous condamnent Carlos Ghosn, le pdg de Renault et de Nissan-Mitsubishi au
Japon, accusé d’avoir fraudé le fisc japonais pour un montant équivalent à 38
millions d’euros.
Pourtant
les représentants de la classe capitaliste s’extasiaient devant ce « tueur
de coûts » lorsqu’il décidait les milliers de licenciements, le
blocage des salaires, l’augmentation des cadences et qu’il permettait aux
actionnaires du groupe de se partager cinq milliards d’euros pour la seule
année 2017. Aux yeux des capitalistes, il était alors un « capitaine d’industrie »
qui méritait ses 16 millions d’euros de rémunération pour 2017, alors que pour
les travailleurs, c’était depuis longtemps un ennemi juré. La politique anti-ouvrière
du gouvernement lui est dictée par cette classe capitaliste.
Aujourd’hui,
Macron recule en paroles sous la pression du mouvement. Si les travailleurs s’y
mettaient sur leur terrain, le rapport de force serait multiplié !
Sur les
barrages et les rassemblements des gilets jaunes, des manifestants évoquent Mai
68 pour dire ce qu’ils espèrent de leur mouvement. Mais ce qui a donné toute sa
force à Mai 68, ce qui a permis l’augmentation de 35 % du SMIC et la
hausse générale des salaires, c’est la grève générale qui a entraîné des
millions de travailleurs. C’est ce rapport de force, imposé par la classe
ouvrière se dressant ensemble contre le grand patronat, qui a permis de faire
reculer la classe capitaliste et le gouvernement, au profit de tout le monde du
travail.
Il n’y
a pas d’autre voie pour les travailleurs, s’ils veulent défendre leur niveau de
vie. Pour le monde du travail, il ne suffit pas de s’opposer au gouvernement et
à ses taxes. Ce n’est pas un hasard si c’est un terrain sur lequel l’extrême
droite se sent de jouer les contestataires proches du peuple : il ne cible
pas la classe capitaliste !
Les
travailleurs peuvent agir là où est leur force, là où ils peuvent se faire
craindre, à la source des profits des capitalistes : dans les entreprises.
C’est leur travail qui fait tourner toute la société, c’est leur travail qui
est à la base des fortunes immenses accumulées dans les poches d’une minorité
de très riches.
Samedi
prochain, 1er décembre, même la CGT se joint à la manifestation annuelle contre
le chômage et la précarité, pour les augmentations nécessaires au monde du
travail. Il faut en être et y faire entendre nos exigences.
Pour
notre survie, augmentation générale des salaires, des pensions et des minimas
sociaux, qui doivent suivre l’évolution des prix !
La Réunion : Le mouvement s’approfondit
Augmentation générale des salaires, des retraites
et des allocations et leur alignement automatique sur le coût réel de la vie
Lundi
26, au 10ème jour du mouvement, le nombre de barrages est plus important. La
semaine va être marquée par la venue de la ministre de l’Outre-mer mercredi.
Tous
les secteurs d’activité sont ralentis ou à l’arrêt.
L’intersyndicale
du BTP appelle les travailleurs, qui ne peuvent se rendre sur les chantiers, à
venir renforcer les GJ. Il est plus que légitime que parmi la floraison de
revendications celles du monde du travail ne soient pas étouffées. Au
contraire.
La vie
chère est la source principale de toute la colère accumulée. Contre
l’appauvrissement qui résulte des politiques du grand patronat et des
gouvernants à leur service, il est vital que les travailleurs exigent une
augmentation générale des salaires, des retraites et des allocations et leur
alignement automatique sur le coût réel de la vie.
C’est
une mesure de sauvegarde pour l’ensemble des classes populaires.
Libellés :
Après le 17 Novembre,
La Réunion
Les "Gilets Jaunes" à Limoges
Du rouge sur le jaune
Ce sont
près de 1600 "gilets jaunes" qui ont manifesté à Limoges samedi 24
novembre.
Pendant
que certains groupes occupaient divers ronds-points autour de Limoges, à plus
d'un millier, ils se sont rassemblés devant l'hôtel de Région, et après en
avoir muré l'entrée, ils se sont rendus en cortège jusqu'à la préfecture.
Là des
forces de police les attendaient, en empêchant l’accès. Après quelques jets de
lacrymogènes et sous les invectives, la police les a finalement laissé avancer.
Retraités
peinant à finir les fins de mois, jeunes enchaînant stage sur stage sans
trouver de boulot, mère de famille isolée à temps partiel, travailleurs aux
très bas salaires de toutes petites entreprises du bâtiment, ils étaient venus
majoritairement de communes autour de Limoges : Pierre-Buffière, Feytiat,
Couzeix etc...
Comme
ils le disaient : "l'essence c'est la goutte d'eau qui a fait
déborder le vase". Les revenus, salaires, pensions de retraites,
allocations chômage, ne permettent plus de vivre décemment alors qu'à l'autre
bout de la société une minorité fait valser les milliards. Les frasques de
Carlos Goshn revenaient souvent dans les discussions !
Ceux
qui exprimaient l'idée que derrière la politique de Macron, il y a l'intérêt
des capitalistes, et la nécessité pour les travailleurs de se battre pour un
salaire décent qui devrait augmenter lorsque les prix augmentent, tout cela
était bien compris par certains.
Libellés :
Après le 17 Novembre
Conseil municipal d’Argenteuil de ce soir 27.11.18. L'"affaire du Musée". point de vue.
Le
point 2. de l’ordre du jour de ce conseil porte sur la « Création d’un
tiers-lieu sur le site de l’ancien musée ». Depuis deux mois, nous avons
déjà abordé cette question. De quoi s’agit-il ?
On nous propose d’approuver une
convention avec une association chargée au moins pour trois ans de gérer un
« tiers lieu ».
Je
reprends le terme de « tiers lieu » indiqué, pour expliquer à ceux
qui ne sont pas au courant des modes de la géographie, qu’il s’agit d’un lieu,
durable ou éphémère, « où les
individus peuvent se rencontrer, se réunir et échanger de façon informelle ».
Pas
très nouvelle, mais une belle idée tout de même. Qui, en soi, ne souffre la
moindre contestation. A condition que l’on suive, et aux yeux tous, les règles
élémentaires de la « démocratie locale » que l’on prétend incarner.
Il
n’est pas question ici de discuter de l’association avec laquelle il s’agit de
signer ladite convention, qui représenterait un réseau d’autres associations,
locales et d’ailleurs. Cet ensemble associatif a son projet, pas contestable au
demeurant, socialement utile, et a, en quelque sorte, saisi l’aubaine qui se
présentait à lui : la possibilité
d’utiliser un espace en déshérence, celui de feu le Musée d’Argenteuil.
Non, ce n’est pas à ce réseau que vont nos critiques et nos réserves. Nous leur
demandons simplement qu’il les comprenne.
C’est
la municipalité, et elle seule, qui ne s’est pas comportée correctement dans
cette affaire vis-à-vis de la population d’Argenteuil. C’est que je vais
développer maintenant.
1.Une
nouvelle fois, elle met devant le fait
accompli, non seulement nous-mêmes les élus, mais plus gravement
l’ensemble de la population.
Certes
des rumeurs circulaient sous le manteau sur le sujet depuis plusieurs mois.
Chacun a pu constater que des travaux étaient opérés depuis deux mois sur le site.
Chacun a pu constater que des travaux étaient opérés depuis deux mois sur le site.
En
clair, on nous demande simplement d’entériner ce qui a déjà été décidé il y a
un certain temps.
On
ne peut utiliser des locaux municipaux, et, a fortiori y engager des travaux
que dans la mesure où un accord a été signé, un pré-accord si vous voulez, mais
en due forme. Quel est-il ?
2. Ces
bâtiments ne sont pas anodins: ils sont un témoin essentiel de
l'histoire de la Ville :
L'Hôtel
Dieu (XVII° -XVIII°) fut mis en place suite à la visite de Saint Vincent de
Paul. Son existence a été actée par Louis XIV en 1697. Quant au Pavillon des
Blessés, il fut construit en1881 par Casimir Tollet et demeure un témoignage
rare de l'aérisme, un courant
hygiéniste, dans l'histoire de l'architecture hospitalière. Ces bâtiments de la
rue Pierre Guienne représentent l’un des rares ensembles patrimoniaux que
conserve la Ville aujourd’hui.
Pour
sa préservation, il devrait être l’objet d’une attention toute particulière.
Quelles garanties il y a-t-il sur ce plan dans le cadre du projet que nous
discutons.
3.S’il n’est pas anodin, il l’est
doublement, il reste celui du Musée d’Argenteuil :
Nous
ne reviendrons que brièvement sur cet aspect des choses.
Mais
nous pouvons rappeler que le devenir du musée d’Argenteuil a été conduit depuis
dix ans d’une manière lamentable.
Sous
prétexte d’un projet muséographique moderne, on l’a fermé, puis on a transféré
ses pièces (toutes on ne sait) dans un lieu improbable où elles dorment
inutiles à tous.
Dans
sa programmation 2018-2019, le nouveau lieu culturel, l’Atelier n’y prévoit
qu’une seule manifestation utilisant ses pièces, le 18 mai prochain à
l’occasion de la « nuit des musées ».
Tout
cela est un mauvais coup contre la culture et le « vivre ensemble dans la
Ville », l’approche et le partage patrimoniaux étant des éléments
constitutifs essentiels du sentiment d’appartenance à une communauté communale
commune.
4.Lié
à ce qui précède, c’est un nouveau coup de canif à ceux qui créèrent et firent vivre ce musée, pendant des décennies,
à partir de sa création dans les années 1930. Et comprenez l’émoi que cette
affaire suscite parmi ceux qui lui demeure très attachés.
5.Pour
terminer, cette affaire concerne au
premier chef la vie associative. De notre point de vue, elle montre de
façon magistrale ce qui devrait ne pas se faire.
La
municipalité vient de mettre en place un « conseil de la vie
associative ». Voilà le genre de projet qui aurait pu y être débattu, aux
yeux de TOUS, aux yeux de TOUTES les associations locales, dans le cadre d’un
« appel à projet ».
L’ensemble
des associations, comme les habitants, comme nous-mêmes, nous avons été mis
devant le fait accompli d’une prise de décision opaque de la part de la
municipalité, suivant ses propres réseaux, personnels ou autres, mettant dans
le coup telle ou telle association, et pas telles autres.
Non ce
n’est pas comme cela que l’on doit fonctionner et agir. Ce n’est pas comme cela
qu’un projet, intéressant en soi, peut partir sur des bases qui lui permettent
d’atteindre l’objectif affiché : la dynamique associative et culturelle
d’Argenteuil.
Dominique MARIETTE
Dominique MARIETTE
Pour
information, la démarche initiée il y a quelques mois par la municipalité de
Courbevoie pour la création d’un tel « Tiers lieu » :
créez, animez et gérez un nouveau
tiers lieu à Courbevoie
le 16 | 03 | 2018 par
apd_admin
La Ville de Courbevoie lance un
appel à candidatures pour la création, la gestion et l’animation d’un tiers
lieu conçu comme un espace de travail, de créativité, d’émulation, d’échanges
et de mise en réseau.
Calendrier
> Visites obligatoire du lieu
: - jeudi 23 mars de 15h à 17h - vendredi 30 mars de 15h à 17h - mercredi 4
avril de 14h à 16h - jeudi 12 avril de 14h à 16h
> Date limite de dépôt des
candidatures : vendredi 20 avril 2018 avant 12h.
> Auditions des candidats : 18
mai
> Signature de la convention
d'occupation : début juin
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