Sénat : ors et gourmandises du sénat. Correspondance.

 

La vieillesse heureuse des sénateurs »

 

 

« Le Sénat est une chambre au cœur de la vie parlementaire bourgeoise dans laquelle il est intéressant de mettre le nez pour se rendre compte à quel point les serviteurs zélés de l'ordre social capitaliste sont généreusement remerciés pour leurs bons et loyaux services.

Rappelons d'abord qu'en novembre dernier, les sénateurs s'étaient déjà octroyé une hausse de 700 euros mensuels pour "tenir compte du contexte inflationniste", augmentant ainsi la coquette somme constituée par leur indemnité parlementaire (5200 euros nets par mois environ). Une belle illustration du principe de l'échelle mobile des salaires, dont il faut nous inspirer pour les luttes à venir, qui ne manqueront pas d'arriver au vu des attaques en cours.

Outre cette rémunération prodigue, les sénateurs jouissent d'un certain nombre de privilèges plus ou moins connus. Le fastueux restaurant du Sénat d'abord, qui donne sur les jardins du Luxembourg, tient plus du restaurant étoilé que de la cantine universitaire, Gérard Larcher tenant à ce qu'on y mange bien, c'est-à-dire gibier et viandes en sauce, généreusement arrosés. Les sénateurs disposent également d'une salle de sport privée, pour éliminer les excès des festins à répétition, probablement, et surtout pour ne pas avoir à se mélanger avec les autres travailleurs dans les salles bondées de Basic-Fit. Ils ont même droit à un coiffeur réservé ! Le statut de sénateur exige en effet que l'on soit tiré à quatre épingles à tout moment.

S'il faut garder en tête que ces privilèges, obscènes comparés à l'écrasante majorité des travailleurs, sont bien peu de chose comparé à ceux des capitalistes dont ces sénateurs servent les intérêts, il y a toutefois de quoi se mettre en colère, et surtout ne jamais placer nos espoirs dans ces politiciens-là. Les travailleurs ne peuvent compter que sur leur lutte, ce petit tour au Sénat nous aide à nous en convaincre ! »

Air’Argenteuil, bel évènement, mais à améliorer

Pour le vent, certes, on n’y peut rien, mais pour le reste…

 

 

La deuxième édition d’Air’Argenteuil a eu lieu dimanche dernier. Un bel évènement quelque peu gâché par le manque de vent. Quelques animations mais aussi quelques soucis.

         Il a fait très beau ce jour-là, mais les abris pour se protéger du soleil n’avaient pas été prévus.

         Pour réussir, il faut se donner jusqu’au bout les moyens nécessaires. Ainsi, il a été noté par des participants qu’il n’y avait pas d’animations pour les petits enfants. Le mur d’escalade qui pouvait les attirer n’était destiné qu’à ceux d’à partir six ans. Tant pis pour la petite Maëlle de 4 ans et demi qui avait fait ses premières armes d’escaladeuse en particulier à la fête de Lutte ouvrière…

         Pour cet évènement dans un site remarquable sous employé, il y a tout de même un gros problème de parking. Croyant pouvoir utiliser le parking de Grand Frais en bas de la butte, des participants à la fête se sont trouvés coincés lorsqu’ils ont voulu reprendre la voiture. Il ne pouvait pas y avoir un accord avec l’établissement pour un garage dédié toute la journée ?

         Les cours des écoles environnantes pourraient également servir de parking avec des navettes pour parvenir au site.

         Quelques conseils donc d’un participant à notre très belle fête de Lutte ouvrière où la municipalité d’Argenteuil et ses services pourraient trouver d’excellentes idées, à tous les sens du terme. DM

 

À Argenteuil-Bezons, votez Dominique MARIETTE-Michel CAMPAGNAC, des militants du monde du travail, pour faire entendre notre classe

 

Le camp des travailleurs !

 

Lors d’un meeting à la salle Jean Vilar, Avec Nathalie ARTHAUD et Michel

         Tous les candidats de Lutte ouvrière, actifs ou retraités, appartiennent au monde du travail. Ils sont ouvriers, employés, infirmières, enseignants, facteurs, employés. Grâce à nos candidats, les travailleurs qui n’ont plus confiance dans les bonimenteurs professionnels pourront voter pour l’un des leurs, dévoué aux intérêts des exploités. Pour des candidats opposés à la grande bourgeoisie et à son système capitaliste qui nous enfonce dans des crises et des guerres sans fin. 

         La politique pour eux n’est pas une profession. C’est un engagement militant pour leur classe, le monde du travail.

         Votez pour des candidats qui sont comme vous, qui vivent les mêmes difficultés que vous et qui ont toujours été fidèles à vos combats !

         Dans la circonscription d’Argenteuil-Bezons, notre candidat est Dominique MARIETTE, militant d’Argenteuil de tous les combats, tout comme son remplaçant, son camarade de Bezons, Michel CAMPAGNAC.

         Élus, les candidats de Lutte ouvrière exprimeraient sans relâche les intérêts et les perspectives du monde du travail, comme ils le font depuis des années comme militants.