jeudi 24 septembre 2020

Argenteuil, « Plataneraie » et vision d’ensemble de l’espace entre « L’île » et ex-espace de berge portuaire

 

Avec la nouvelle interface de Blospot, malgré mes paramètres, je ne suis jamais sûr que mes 5 articles du jour apparaîtront dans la page du jour. Si vous ne trouvez pas les cinq, cela signifie que le manquant ou les manquants se trouvent dans la page suivante à « articles plus anciens. Sur ce, bonne lecture, et j’attends toujours et encore vos commentaires. DM

 

Des arbres, oui, mais nous aimerions pouvoir imaginer la forêt

 




Entre espace urbanisé et le mur de la RD311 qui sépare radicalement la ville de son fleuve, l’ex espace portuaire de la Ville et de L’île, dont le bras a commencé à être comblé à la fin du XVIIIème siècle, a de très beaux restes entre la sous-préfecture et le pont à eau vers la place du 11 novembre…

         Cet espace avait une unité qui a été entamée par des aménagements en dur qui l’on grignoté : des installations sportives à l’espace Jean Vilar, de la halle du marché à l’ex-immeuble de la gendarmerie à proximité du rond-point de la sous-préfecture.

         Le parc des Berges est le dernier en date de ces aménagements plus ou moins heureux. Il a au moins l’intérêt d’avoir préservé cet espace d’un nouvel aménagement en dur.

         Pour se faire peut-être pardonner son projet calamiteux Cap Héloïse, la municipalité a engagé un réaménagement d’une partie de cet espace, appelé aujourd’hui la « Plataneraie » vestige des anciennes promenades, en en privant au passage d’une nouvelle parcelle pour des aménagements prochains d’entrée sur la RD311. Cet aménagement partiel vient d’être inauguré samedi dernier, dans un anonymat quasi-général.

         Ce n’est certes pas la pire chose qui a été faite. Mais pour en revenir au début de cette brève, le manque évident lorsque l’on s’interroge sur le devenir de cet espace de la sous-préfecture au Pont à eau, c’est l’absence d’une vision globale pour son aménagement. On "aménage" une partie puis une autre, alors qu’un projet d’ensemble serait nécessaire pour réaménager globalement cet espace qui a joué un rôle historique essentiel dans l’histoire de la commune, et lui faire retrouver une unité. À moins que ce projet existe, mais qu’il reste l’apanage des petits dieux locaux. DM

Argenteuil-photographie, défense des services publics : petit jeu concours

 

Quand une telle photo doit nous interpeller pour ce qu’elle cache

 


Par hasard, avant-hier, en me promenant dans Argenteuil,  j’ai découvert ce site insolite que j’ai bien sûr pris en photo. Étonnant tout de même. Et mystère.

         Est-ce un site médiéval oublié et aujourd’hui exhumé ?

         L’entrée d’une construction troglodyte ?

         Un vieux souterrain permettant durant les Guerres de religions de fuir ?

         On ne sait.

         Bien sûr, je vais sans tarder, poser la question aux enquêteurs d’histoire de la Société Historique du Vieille Argenteuil ?

         En attendant le concours est ouvert : Quelle est la nature de cette photo ? Vous avez 24 heures pour me répondre. Dans ces temps gris, il faut bien s’amuser, avant de parler sérieux... DM

Emplois, licenciement, la seule voie, la mobilisation consciente de tous. Une grève chez Mecafi – Châtellerault (Vienne)

 

La seule arme des travailleurs, c'est la grève !

 


Les travailleurs de Mecafi, une entreprise sous-traitante en particulier de l'aéronautique, menacés de 242 licenciements, soit près de la moitié des effectifs, sont entrés en grève lundi 21 septembre. Depuis près de deux mois, la direction les a lanternés en multipliant les réunions de prétendues négociations avec les organisations syndicales, exigeant d'elles le huis-clos et le silence sur ces tractations. Tout cela a abouti au maintien de la quasi-totalité des licenciements annoncés dès le départ et à des indemnités de départ égales à zéro euro.

         Mecafi, qui fait partie du groupe Nexteam, a pourtant largement les moyens de payer. Ces requins, comme bien d'autres, n'ont en vue que la rentabilité de leurs capitaux pour leurs actionnaires. Pour sauver leur peau et leurs emplois, les travailleurs n'ont d'autre choix que de le leur imposer, en se faisant craindre.