Le blog « lo argenteuil » prend des vacances…
Une bonne adresse : le gîte de Peyrelade « Namasté », Aveyron
Le blog « lo argenteuil » prend dix jours de vacances. Il n’en a plus pris depuis mi-août 2019. Depuis, chaque jour, il était à la peine. Une peine nécessaire et joyeuse, mais il est épuisé et a besoin de vacances. Ses cinq brèves reprendront du service le dimanche 25 juillet. Néanmoins, chaque jour, il y aura tout de même un conseil de lecture sur mes bonnes lectures effectuées depuis l’été 2020. Et je ne vous abandonne pas. Je ne peux pas vous abandonner. De votre côté, envoyez moi salut et nouvelles. Les messages seront toujours bienvenus, et je vous y répondrai. Salut et fraternité, que ces jours de juillets vous sourient,
Dominique, MDommarie@aol.com, dom mariette, 0699499864
Nos prochains rendez-vous :
Le 11 et 12 septembre, lors du Forum des associations, nous nous retrouverons sur les stands.
Le samedi 18 septembre, rassemblement pour la défense de l’espace Jean Vilar et contre le projet Cap Héloïse
Le jeudi 23 septembre, à 20 heures, grande salle de l’espace Nelson Mandela, une réunion publique-débat de Lutte ouvrière : crise de la société et perspectives pour le « camp des travailleurs »
Bonnes
lectures de l’été 2021 (16), Au prochain arrêt, de Hiro Arikawa, Actes sud.
Chaque jour jusque fin août, je vous propose une référence de mes bonnes lectures d’un an, depuis les grands vacances 2020, et celles que je découvrirai lors de mes lectures du présent été. Bonnes lectures donc, et à demain. DM
Le train, si près, situations et rencontres, et cela, partout…
Nous en croisons des quantités de gens et de situations. En particulier tous ceux qui sont obligés de prendre le train chaque jour. Rencontres d’habitués et d’habitudes, mais aussi rencontres avec des situations nouvelles où le hasard est roi.
Que de situations se croisent et s’entremêlent dans les longs voyages et courts voyages en train.
Voilà le sujet du livre. Des rames de train. Des lignes de chemin de fer, des gares, des voyageurs, des rencontres, et des situations fortuites. Quelques personnages dont les parcours se croisent dans cet univers ferroviaire.
Ce sont des gens comme nous, des situations telles que nous les rencontrons ici, là-bas, partout. Des situations révélatrices de ce qu’est la société, ses individualismes comme de ses solidarités…
Tous ces sans-gênes et ces solidaires, nous les avons croisés sur nos lignes du Transilien, même si dans le roman, nous sommes au Japon où nous avons bien du mal à nous y retrouver dans les noms des personnages et des gares. Mais jusqu’à nouvel ordre, nous ne sommes pas prêts de prendre la ligne reliant Takarazuka à Nishinomiya !
Un livre à la lecture très agréable où l’on nous parle aussi de nature et où la nourriture n’est jamais totalement absente. Et comme les éditions Actes-sud sont un délice de lecture grâce à leur travail remarquable de typographie…