Mais si personne n’avait ni informé ni mobilisé ?
Le maire s’est glorifié de la fin de l’affaire « Lidl ». Une affaire dont il était à l’origine…
Il s’agissait de l’installation d’un magasin Lidl, ce qui n’a rien d’extraordinaire, si ce n’est qu’il s’installait sur un espace à l’angle du parc de la butte d’Orgemont, dont la vocation évidente serait d’être intégré à ce parc.
Mais non, l’affaire s’est faite comme d’habitude en catimini, le permis de construire a été délivré, et il a finalement fallu revenir en arrière.
Entretemps, mis au courant, les habitants ont été informés, une association de Défense de la butte s’est constituée, et la protestation s’est développée.
Donc, cette conclusion est une satisfaction pour tous.
Mais ce n’est pas la première fois que l’édile d’Argenteuil est obligé de reculer après une décision étonnante et contestée, et ce n’est sans doute pas la dernière fois. DM
Petit courrier de Joliot-Curie
« Bonjour Dominique. Je viens de lire ce que tu m'as envoyé et je suis complètement d'accord avec toi, la misère est là pendant que les plus riches ont profité de la pandémie pour s'enrichir et les actionnaires également... Je suis en furie après AB-HABITAT parce son agence de la cité refuse de faire intervenir un plombier alors que j'ai une fuite dans ma baignoire. Apparemment, il faut être dans les lieux depuis 30 ans pour être dépanné ! De la même façon, notre bailleur a refusé d'installer une douche chez mon fils M. alors qu'il a fait un AVC… Je suis vraiment outrée par ces façons de faire… »
Les personnes handicapées ne doivent pas être abandonnées
Dans la cité Joliot-Curie, il y a certes des difficultés pour se garer, mais ce n’est pas une raison pour occuper des places réservées pour des personnes victimes de handicap, âgées de surcroît. C’est pourtant ce qui se passe rue Yves Farge concernant les deux places réservées pour le handicap et qui sont continuellement occupées par des voitures qui ne peuvent prétendre à ces places.
Les personnes qui, elles, sont en droit de les occuper sont ulcérées, d’autant plus que lorsqu’elles appellent la police, il leur est répondu qu’elle ne peut rien faire.
La tâche de faire respecter le handicap de ces habitants est non seulement à la portée de leurs moyens, mais elle est même une évidence sociale. DM