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dimanche 5 mai 2024

« L’affaire Jean Vilar », le grand révélateur de l’actualité d’Argenteuil et de son désastre municipal

 

C’est sur cette question que la municipalité actuelle échouera

 


 

Les escarmouches municipales continuent à l’encontre du Comité Jean Vilar qui depuis 2016 mène le combat pour l’abandon du projet municipalité-Fiminco de liquidation de la salle des fêtes municipale, du grand parking et du square attenant. Un projet non seulement destructeur d’un flanc notable de la vie associative et culturelle locale, mais également qui mettra un terme définitif à la possibilité d’une restauration d’une part importante du paysage qui fut au cœur de l’envie picturale de Monet, Sisley et compagnie.

         Ce projet est une aventure. Une aventure destructrice. C’est pourquoi des acteurs locaux déterminés se sont lancés pour son abandon. D’autant plus qu’ils avaient pu mesurer rapidement que l’énorme majorité des habitants étaient solidaires de leur combat. Certes tant que cette majorité demeura silencieuse, le combat sera difficile.

         C’est un véritable combat. Et la municipalité y concentre une part de sa petite activité.

         Nous avons évoqué le lamentable « impair » de la Fête des berges du 1er Mai (voir sur le présent blog, la brève en date du 2 mai).

         Maintenant, c’est au tour des très beaux dessins et autres panneaux culturels apposés par le Comité Jean Vilar qui viennent d’être retirés des grilles de l’espace Jean Vilar. Le Comité Jean Vilar attend maintenant que ce matériel lui soit restitué.

         Vive la « démocratie locale » ! Celle qui permet que les habitants, les associations et les partis puissent s’exprimer. Mais sur ce plan-là, il y a loin à Argenteuil. Plus que jamais, le combat continue. DM

jeudi 2 mai 2024

Fête des Berges à Argenteuil et le Comité Jean Vilar, ou l’art de l’indélicatesse et de l’incompétence

Pour la municipalité, parler de l’Impressionnisme, vous n’y pensez pas !

 

Demande et accord : fin mars. Annulation la veille de l'évènement !
 

Le Comité Jean Vilar combat depuis 2016 contre la réalisation du projet calamiteux Fiminco-municipalité. Mais il a plusieurs visages, si l’on peut dire. Celui de défendre la salle communale des fêtes Jean Vilar, son parking et ses arbres. Mais aussi, celui de défendre le patrimoine local marqué par le rôle de cet espace dans l’histoire d’un courant pictural majeur, l’Impressionnisme dont on fête les 150 ans.

         C’est cette double activité que ce Comité voulait mener à l’occasion de la fête des Berges d’hier. En menant son activité habituelle d’information à l’extérieur du Parc, et en menant son activité culturelle artistique à l’intérieur de ce dernier.

         Pour cela, il avait répondu à l’appel pour participer à la fête et obtenu son agrément. Et avant-hier matin, patatraque, il était devenu persona non gratta et ne pouvait tenir de stand.

         Donc l’histoire continue. Tant pis pour les participants qui auraient pu échanger sur l’Impressionnisme avec des adhérents compétents du Comité.

         Voilà un nouvel exemple de la façon dont la municipalité agit et même gère des évènements qui lui tiennent pourtant, paraît-il, à cœur. Un nouvel exemple de son extrême délicatesse !

         Bon, au final, tant pis pour la culture, puisque le Comité Jean Vilar a été contraint de concentrer ses forces à l’extérieur du Parc. L’accueil y a été excellent, mais nous n’avions aucune raison d’en douter. DM

 

mardi 30 avril 2024

Argenteuil, le projet Canopée livrera les livraisons à la pagaille

Qu’ils laissent tomber, c’est la voie de la raison

 

 

Nous avons vécu la semaine passée un exemple très démonstratif de ce que le projet Canopée-Péri, si jamais il ne se réalisait, réserverait au commerce de l’avenue.

         La photo qui illustre cette brève, prise à hauteur du fleuriste du bas de l’avenue, n’a guère besoin de commentaire. En double file, le véhicule ne bloque pas la circulation. Si la voie était unique…

         Sur croquis, la canopée cache la forêt. De visu, plus aucune erreur d’interprétation n’est possible. DM