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mercredi 20 décembre 2017

PS : grand ravaudage d’hiver


Faire oublier, sans vergogne

 
D'hier ou de demain, les ennemis des travailleurs

Mais de qui émane le tract distribué ces derniers jours sur la Ville qui commence de la façon suivante : « Le président n’est pas le Père Noël. C’est le Père Fouettard : il reprend aux pauvres pour donner aux riches… » ?

Et qui revendique :

« La suppression de la hausse de la CSG, et la revalorisation du point d’indice pour les fonctionnaires » ?

« De poursuivre le calendrier de revalorisation des pensions de retraite voté lors du précédent quinquennat » ?

« La fin de l’ère autoritaire et un renforcement de la politique de redistribution fiscale » ?

« De remettre en cause les réformes fiscales en faveur des plus riches et de favoriser la redistribution et l’entraide » ?

         Ce tract émane du Parti Socialiste qui sort de l’ombre et tente de faire oublier sa politique durant cinq ans et :

         -les gigantesques cadeaux faits aux riches, via le CICE !

         -le quasi blocage des salaires des fonctionnaires et des pensions des retraités de l’Etat !

         -les moyens supplémentaires donnés au patronat avec la « loi travail » pour aggraver l’exploitation des travailleurs du privé !

         Le PS s’adresse à nouveau aux « pauvres » qu’il redécouvre.

         Bonimenteurs ! Saltimbanques ! Spécialistes du tour de passe-passe !

mardi 28 novembre 2017

Argenteuil-Bezons et PS : Tiens un parcours qui nous fait penser à un "local"


L'opportuniste, spécialiste Du...ssopt

 
... de l'un à l'autre

Olivier Dussopt, député du nord Ardèche, vient d'être nommé secrétaire d'État. Dussopt entretenait à Annonay l'image d'un élu sensible au sort des travailleurs. Mais son parcours est celui d'un carriériste.  Après avoir accroché son wagon à Hamon puis à Aubry, il a tourné casaque et soutenu Valls lors de la primaire du PS. Un Valls dont il avait pourtant critiqué la politique en se déclarant opposé à la loi El Khomri. Mais Dussopt n'avait pas misé sur les bons chevaux et voyait avec la victoire de Macron les ministères s'éloigner.
     Dussopt n'a pas voté la confiance au gouvernement Macron. Mais dès que Macron l'a sollicité, il a accouru ventre à terre. Sans état d'âme, le voilà maintenant dans un gouvernement qui méprise les travailleurs et multiplie les attaques contre eux.

vendredi 3 novembre 2017

Argenteuil, Val d'Oise, comme ailleurs, PS, des gens à éviter absolument


Opération grand lessivage

 


Les acteurs locaux du PS qui il y a peu défendaient la politique de Hollande-Valls-Macron avant de tenter de se rallier à ce dernier, sans succès malgré leur extrême bonne volonté sont à nouveau à la manœuvre pour tenter de faire oublier leur morgue anti-ouvrière d'hier.
         Ils appellent cela « refondation », la politique de la page blanche. On efface tout, on oublie tout, et l’on recommence.
         Ce sont les mêmes prestidigitateurs qu’hier. Ils proposeront les mêmes tours pratiqués à maintes et maintes reprises dans le passé. Il s’agira de palabrer autour de la question d’un nouveau programme où il s’agira sans aucun doute de « faire payer les riches » et de définir une « politique sociale ».
         Ces embobineurs ont été hier les serviteurs dévoués de nos oppresseurs, leur donnant cadeau sur cadeau sur notre dos, initiateurs du CICE, de la Loi travail, et l’on en passe. Une fois élus sur leurs beaux programmes « refondés », ils recommenceront leur politique d’hier ou d’avant-hier.
         Si vous les croisez, prenez le large. Ils sont à éviter, absolument et sans état-d ’âme.

jeudi 21 septembre 2017

PS vend son siège, politique identique, hier et demain, stop


Un siège qui bouge pour une politique qui restera la même

 


Après s’être vendu durant des années au patronat, le Parti socialiste va mettre en vente son siège de 3000 m2, rue de Solférino, situé en plein cœur de Paris. En cause, sa déroute électorale récente,  qui va lui faire perdre près de 100 millions sur cinq ans de financement public. Sa direction prétend que, libérée de cette charge, elle se consacrera à « préparer l’avenir ». Certains ont même évoqué une délocalisation en banlieue.
         C’est ce que pense l’ancien député-maire d’Argenteuil qui a déclaré que «c’est l’occasion de rebondir. Il faut écrire une nouvelle histoire».
         A Paris ou en banlieue, le cœur patronal du PS restera le même. Sur ce plan, Philippe Doucet en connaît un rayon. Et ce n’est pas un déménagement, qu’il ait lieu à Paris ou en banlieue populaire, qui va y changer quelque chose !

mercredi 19 juillet 2017

PS, nouvelle direction : « On oublie tout, et on recommence ? »


Leur espoir : l’amnésie collective

 


Ce qu'il reste du PS vient de se donner une nouvelle direction provisoire. Son programme : être, prétend-il, une opposition à Macron. On va voir ce qu'on va voir. L'un de ses membres a même affirmé cyniquement : « demain lorsque les licenciements se feront en masse, la France aura besoin du Parti Socialiste. »
Oublié le fait que sous Hollande, alors que le PS avait la majorité dans toutes les assemblées, le nombre de chômeurs a augmenté d'un million. Oubliées les lois Macron, Rebsamen ou El Khomri qui ont aggravé la précarité des travailleurs.
Si les ambitieux du PS ont la mémoire sélective, les travailleurs sauront se souvenir.

 
Jeudi 20 juillet, nouveau rassemblement devant SEMPERIT ARGENTEUIL
 
 
Rassemblement le jeudi 20 juillet 2017 à 11h30
contre le licenciement
de 88 salariés de SEMPERIT à Argenteuil
devant l’entreprise, 10 rue des Charretiers 95100 ARGENTEUIL.
 
 On ne lâche RIEN !    
 Venez nombreux les soutenir
 
Vous pouvez envoyer un message de soutien aux salariés ce.semperit@orange.fr
 

vendredi 16 décembre 2016

Valls, le 49-3, Argenteuil : la conscience c'est se souvenir



Quand le mot « turpitude » n’est pas assez fort

En campagne, le primarien Valls vient de déclarer qu’il était pour la suppression du 49-3 ! Lui le spécialiste du 49-3 pendant ses deux ans et demi au gouvernement dont son départ ne date que de quelques jours ! Lui, le petit monsieur 49-3 de la loi travail contre les travailleurs !
         Il nous oblige à la vulgarité. Comptant sur l’amnésie précoce qui ronge la conscience des oublieux,  il prend simplement les gens pour des c…
         Enfer et damnation. Mais c’est aussi avec un tel mépris que l’on prépare les révolutions.

Puisqu’il est question de mémoire, la nôtre. Un article extrait du numéro de cette semaine de notre hebdomadaire Lutte ouvrière

Argenteuil : le souvenir d’un tour de Valls

À l’âge où des jeunes peuvent envisager avoir un idéal utile à l’humanité, d’autres rêvent déjà à la notabilité, aux honneurs, à la carrière. Le jeune Manuel Valls fut de ceux-là. Il ne fut ni le premier ni le dernier à choisir très tôt ce chemin, mais le fit dans les pas d’un mentor, Michel Rocard, espérant bénéficier de ses réseaux d’influence.
Vers la fin des années 1980, à 26 ans, Valls s’imposa au Parti socialiste d’Argenteuil, et fut élu conseiller aux élections municipales de 1989. Il allait le rester jusqu’en 2001, après que son attitude dans ce conseil eut été, cette année-là, un des éléments qui firent perdre la municipalité au PCF, au profit de la droite.
Durant son passage à Argenteuil, Valls n’eut de cesse de mener la vie dure à son allié du PCF local et aux maires d’alors, Robert Montdargent puis Roger Ouvrard. Il rêvait d’écarter ce parti qui dirigeait la commune depuis 1935, en pariant sur les réflexes anticommunistes d’électeurs du centre et de la droite locale. Le point d’orgue de cette croisade eut lieu en 1997, lors des élections législatives où il s’opposa au secrétaire général du PCF d’alors, Robert Hue. L’axe de sa campagne était : « Trop de social tue le social » ! Valls fut battu à plate couture, n’obtenant au premier tour que 17 % des voix contre plus du double à Hue.
Ses réseaux permirent cependant à Valls d’oublier ses déboires et de quitter Argenteuil pour des cieux électoraux plus cléments, dans la banlieue sud, où son parachute le fit atterrir à Évry. Chacun connaît la suite.
Exit donc Argenteuil. Les militants de Lutte ouvrière d’Argenteuil se souviennent encore comment, après la proclamation des résultats au soir d’un premier tour, Valls tournicotait humblement autour d’eux pour réclamer que Lutte ouvrière appelle à voter au second tour pour un candidat ou une liste qui avait ses faveurs, bien sûr sans résultat pour lui. Ils se souviennent également qu’il était prêt à toutes les démagogies. Ainsi lorsque les locataires d’une cité, la cité Joliot-Curie, refusaient une augmentation des loyers initiée par leur bailleur dirigé par le PCF, Valls était prêt, sans souci, à prendre la tête de leur manifestation !
Les Argenteuillais se souviennent de lui comme d’un jeune arriviste hautain, à l’ambition démesurée.
                                      
                                 Dominique Mariette (Lutte ouvrière n°2524)

Nos permanences :

-ce soir de 17 heures 15 à 18 heures 15, « carrefour Babou » ;
-demain matin samedi de 10 heures 30 à 11 heures 30 centre commercial Joliot-Curie ;
-dimanche matin, de 10 heures 30 à midi, entrée Jean Vilar du marché Héloïse.
Puis nos permanences ne reprendront que le vendredi 6 janvier 2017

vendredi 9 décembre 2016

PS et ex d'autrefois, manoeuvres et slogans



Petites manœuvres entre amis

Peillon avait disparu des radars depuis le fiasco de la mise en place de sa « fameuse » réforme des rythmes scolaires. Evacué du gouvernement, l’ex-ministre de l’Education nationale avait trouvé une retraite dorée au Parlement européen. Devant s’ennuyer à Strasbourg, il vient de réapparaître en vue des « primaires » dites de la gauche.
         Une de ces petites manœuvres en vue du 2ème tour dont le PS a le secret ?

Le même plat décliné à toutes les sauces

Si Mélenchon s’affirme de la « France insoumise », Hamon, lui, veut « Faire battre le cœur de la France".
         On attend les slogans d’accroche de leurs concurrents, de gauche, de droite, ou d’extrême-droite, mais sans grand risque de se tromper, on peut s’attendre à ce que « la France » soit déclinée à toutes les sauces. Elle permet d’ignorer la véritable ligne de fracture de la société, entre d’un côté les exploiteurs et, de l’autre, les exploités, entre le camp de la bourgeoisie que représentent tous ces messieurs-dame, et le camp des travailleurs.
         En revanche, « faire entendre le camp des travailleurs » avec Nathalie Arthaud, c’est net et sans bavure.

Les postes, voilà ce qui les intéresse

         Des notabilités du PS du Val d’Oise, dont le député d’Argenteuil-Bezons P. Doucet, reprochent à leur secrétaire fédéral, de ne plus vouloir organiser le vote des militants sur les candidatures aux élections « sénatoriales » en même temps que celui sur celles des prochaines législatives. Bigre !
         On voit les préoccupations de ces messieurs, à des années lumières de celles de la population.
         Quant aux actes de forfaiture, c’est tout de même une marque de fabrique des uns et des autres.