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jeudi 23 septembre 2021

Salaires à la fonction publique : au ras des pâquerettes

 

Une raison de se mettre tous en  grève

 

 


La ministre de la Fonction publique débute une série de discussions avec les syndicats à propos des revalorisations salariales, avec l’idée d’en lâcher le moins possible.

Avant même que les parlottes ne commencent, la ministre s’est aperçue qu’avec la hausse programmée du smic de 35 euros, qui frise pourtant l’indécence, des agents de la fonction publique se retrouvaient en-dessous du salaire minimum. Elle se vante de les ramener au smic, mais il n’est pas question d’augmentation générale des salaires, alors que les prix explosent.

Les hausses de salaires véritables, pour les travailleurs du public comme du privé, il faudra les arracher.

 

Les permanences des jours à venir :

-aujourd’hui jeudi 23 septembre, de 18 h. à 18 h.30 devant le centre de santé du Val-Nord ;

-vendredi 24 septembre, de 11h. à 11h.45  devant Intermarché du centre ;

-de midi à midi 30 marché Héloïse ;

-puis de 15h.45 à 16 h.45 entrée du marché donnant sur le boulevard du marché du Val-Nord ;

-et de 17 h15 à 18h15, carrefour Babou ;

-samedi 25 septembre, de 10 h. à 10 h30, marché des Côteaux ;

Puis, de 11 h à midi au marché de la Colonie ;

-au Val-Sud, de 11h.30 à midi devant Auchan ;

-de 11 h. à midi, centre commercial de la cité Joliot-Curie ;

Mercredi 29 septembre, de 11 h à 11h.30 marché des Champioux.

 

Nathalie Arthaud dans les médias

Regardez toutes les vidéos sur le site lutte-ouvriere.org

 

Nos prochains rendez-vous :

Ce soir jeudi 23 septembre, à 20 heures, grande salle de l’espace Nelson Mandela, une réunion publique-débat de Lutte ouvrière : crise de la société et perspectives pour le « camp des travailleurs ».

Le samedi 9 octobre, à 15 heures, salle de la Mutualité à Paris, avec notre camarade Nathalie ARTHAUD, porte-parole et candidate.

 

Achetez notre hebdomadaire Lutte ouvrière (1,2 euro) numéro 2773 et Lutte de classe (2,5 euros) n°217, lors des permanences et :

         Chez les marchands de la presse :

                   -au Val d’Argenteuil-nord, bureau de tabac de la « dalle » ;

                   -librairie « Le presse papier », avenue Gabriel Péri.

 

Attention : mes 5 articles du jour apparaissent parfois sur deux pages voire sur trois pages. Pour lire les 5 articles, cliquez en bas de la première page sur « articles plus anciens). DM

vendredi 9 juillet 2021

Fonction publique : le baratin n’augmente pas les salaires

 

Il faut une augmentation substantielle des salaires pour tous !

Amélie de Montchalin, la ministre de la Fonction publique, a annoncé une enveloppe de 250 millions d’euros pour augmenter les quelque 1,2 millions d’agents aux salaires les plus bas. Mais elle se refuse à une augmentation générale des salaires dans le secteur public, alors qu'ils sont pratiquement gelés depuis dix ans.

Quant au coup de pouce promis aux plus mal payés - dont le salaire de base est parfois inférieur au SMIC - il devrait plafonner entre 40 et 100 euros maximum par mois. Ce sera en réalité encore moins, puisque les sommes annoncées intègrent les 15 euros mensuels de prise en charge de la complémentaire santé, que le ministère doit désormais verser.

Constatant les inégalités de rémunérations entre les femmes et les hommes de la Fonction publique, la ministre ne promet pas d’y mettre fin en augmentant les femmes, mais...  de les observer avec un « baromètre des inégalités » !

Ça ou rien…

mercredi 29 juillet 2020

Fonction publique : la chute du pouvoir d’achat continue


Toujours ceinture

 


La ministre de la Fonction Publique a annoncé qu’il n’y aurait, une fois de plus, aucune augmentation des salaires des fonctionnaires. Cela fait trois ans que leurs salaires sont bloqués, et donc que leur pouvoir d’achat baisse, comme celui de tous les travailleurs.
Soignants, personnels d’entretien, agents territoriaux, et bien d’autres qui ont maintenu l’activité pendant le confinement, ont démontré que ces salariés étaient indispensables pour faire tourner la société, contrairement aux gros actionnaires qui la parasitent. Alors, comme pour tous les salariés, ce n’est pas à eux de payer la crise.

dimanche 16 février 2020

Fonction publique : une rupture conventionnelle porte ouverte à toutes les pressions


Un plan social déguisé ?



Un arrêté du Journal Officiel vient de signifier la mise en place de la rupture conventionnelle dans la Fonction Publique, comme cela existe pour le privé.
Elle est présentée comme un progrès par le gouvernement au prétexte qu’elle permettrait aux salariés du public de partir avec un tout petit pécule et leur permettraient de toucher des indemnités chômage.
Mais c’est bien plus encore un moyen pour l’État de se débarrasser, à peu de frais, de nombreux salariés. Et c’est la porte ouverte aux pressions pour pousser vers la sortie des fonctionnaires dont l’État voudrait se débarrasser, à la fois ceux qui, usés par le travail, ne sont plus assez productifs et ceux qui contestent trop.

jeudi 9 mai 2019

Fonction publique : les raisons de la colère. Un article de notre hebdomadaire 2649 à paraître


Fonction publique : les raisons de la colère

08 Mai 2019

Les neuf principaux syndicats de la fonction publique appelaient les salariés de ce secteur à faire grève et à manifester le jeudi 9 mai contre le projet de réforme du gouvernement. Et il y a toutes les raisons de vouloir se battre contre cette nouvelle attaque qui vise les travailleurs de ce secteur.
Comme à son habitude, le gouvernement a sorti son attirail démagogique pour justifier une mesure antiouvrière. Le secrétaire d’État auprès du ministre de l’action et des comptes publics, Olivier Dussopt, a expliqué qu’il s’agissait de répondre aux attentes des citoyens en modernisant le recrutement et la rémunération des fonctionnaires pour rendre la fonction publique « plus attractive et plus réactive ».
Dans la langue de ces gens-là, moderniser veut dire supprimer 120 000 postes et permettre d’imposer la mobilité aux agents. Rendre « plus réactive » se traduit par augmenter le nombre de contractuels et la précarité avec le recours à un nouveau type de contrat : le « contrat de projet », un CDD de un à six ans. Enfin rendre « plus attractive » signifie introduire encore plus de salaire au mérite pour surtout continuer à geler les salaires de tous les fonctionnaires.
Cette réforme vise en fait à supprimer des emplois et aggraver les conditions de travail des salariés du secteur.
Les enseignants qui se battent contre les suppressions de postes et la loi Blanquer seront nombreux dans la rue car ils n’acceptent pas cette nouvelle régression qui s’accompagne d’une volonté de mise au pas, avec le projet de pouvoir les sanctionner en cas de critique de l’institution.
Les travailleurs des Urgences des hôpitaux expriment aussi leur colère contre des conditions de travail insupportables et un manque d’effectifs qui rend chaque journée de travail périlleuse. Ils sont en grève dans plusieurs hôpitaux à l’échelle du pays.
En plus de faire payer aux classes populaires, par ces économies, les cadeaux faits en permanence aux capitalistes, le gouvernement, en s’attaquant au secteur public, aide l’ensemble du patronat à aggraver encore l’exploitation de tous les travailleurs du privé.
Seule la mobilisation de l’ensemble du monde du travail rendra possible de faire reculer gouvernement et patronat.

                                                       Marion AJAR (Lutte ouvrière n°2649)euil, une assemblée des grévistes de l’Éducation a lieu aujourd’hui à 10 heures à l’espace Nelson Mandéla
A Argenteuil, une assemblée des grévistes de l’Éducation a lieu aujourd’hui à 10 heures à
A Argenteuil, une assemblée des grévistes de l’Éducation a lieu aujourd’hui à 10 heures à l’espace Nelson Mandela