Démocratie très-très-très indirecte
Ce soir, le maire commence son
tour des quartiers sur le thème : « Partager, échanger, débattre ».
Le
problème de ces élus est que du jour où ils l’ont été jusqu’à celui de la fin
de leur mandat, ils se considèrent « représenter » l’avis de la
population, que c’est eux qui doivent penser et agir pour elle. Alors ces
messieurs décident et demandent ensuite
à la population ce qu’elle en pense.
Nous
combattons pour la démocratie directe. C’est-à-dire non seulement pour la
révocabilité des élus à tout moment, mais le fait de discuter avec tous avant toute décision.
Cela
exige la mobilisation et la volonté de la population. Certes. Mais cela
permettra d'éviter que l'avis d'un "chef" s’impose sans discussion à des milliers qui en supporteront pourtant
les conséquences.
Sur les impôts locaux et leur calcul
Sur ce blog, nous avons évoqué le
calcul de la taxe d’habitation et transmis les éléments que nous avons pu
obtenir (cf. les pages suivantes de ce
blog).
Voilà des
éléments supplémentaires que nous avons pu collecter :
« Le
coefficient de 1,70 est le coefficient d'actualisation. Le mode de
détermination de la valeur locative est conforme à la situation économique de
1970.
Le
coefficient d'actualisation permettait donc d'obtenir la valeur locative de
1980. Ce coefficient est fixe, et est propre à chaque département.
Par la
suite, depuis 1981, un coefficient de revalorisation correspondant à
l'évolution des loyers est fixé chaque année, au plan national, par la loi de
finances.
Ce
coefficient était de 1,1 et 1981, 1,11 en 1982 [...] 1,018 en 2013 et 1,009 en
2014.
Le
coefficient de 3,022 correspond au cumul des coefficients de revalorisation de
1981 à 2014. (le coefficient amalgamé de 2013 était de 2,995; et
2,995*1,009=3,022)
Par
conséquent, les communes ne sont pas impliquées dans la détermination de ces
coefficients. »
Une affaire un peut compliquée qui mériterait encore quelques éclaicissements.
Une affaire un peut compliquée qui mériterait encore quelques éclaicissements.
L’Argenteuillais pas tout à fait éclairé en octobre
A moins que l’on ait eu la
berlue, en octobre, le magazine quinzomadaire « L’Argenteuillais »
est devenu mensuel. Pourtant, on nous le proclamait à propos de ce journal
ressuscité : le premier et le troisième mercredi du mois vous n’y
manquerez pas !
Deux
hypothèses. La première. C’est connu, certain croient que lorsqu’il y a des
vacances, tout doit s’arrêter pour ceux qui ne partent pas en vacances.
La
seconde. Le service « communication » de la Ville est devenu
tellement maigre qu’il ne peut pas faire face. Combien de journalistes et
autres travailleurs de ce service dont on s’est débarrassé ou qui ont été
licenciés ces derniers mois ?