mercredi 28 septembre 2011

Un bureau de poste pour 10 000 habitants, rien de trop

A la mi-août, le bureau de la rue Kléber, à Orgemont, était victime d'un braquage. Depuis lors, il est fermé et il n'y a aucune information sur l'avenir de ce bureau et sur sa réouverture.
      Une chose est sûre, ce quartier a besoin d'un bureau de poste.
     Comment font les anciens pour se rendre au bureau des Côteaux, le bureau actuel de remplacement ?

Plus il cause, moins on le croit, ce porte-parole des banques et des gros actionnaires

A l'occasion de la journée de grève d'hier à l'Education, N.S. a déclaré à l'encontre des enseignants : "Mon devoir de chef de l'Etat, c'est d'abord de penser aux ouvriers, aux salariés et aux cadres, qui sont lancés dans la compétition internationale, et qui ont besoin du soutien de l'Etat. Plus que de penser à ceux qui ont un travail difficile, mais qui ont un statut qui les protège".

mardi 27 septembre 2011

CAE-CUI : derrière ces noms barbares, des hommes et des femmes qui doivent pouvoir travailler normalement

Un petit groupe d'agents précaires de l'Education nationale et d'enseignants, venant du lycée Georges Braque, ont manifesté lors de la manifestation de Paris des enseignants. Ils exigent le renouvèlement de leur contrat, ce qui signifie pour eux, garder un emploi.
     Avec leur banderole, ils ont distribué un tract informant les manifestants de leur combat.
     Demain matin, à 10 heures, ils seront reçus à l'Inspection académique d'Osny.

Education : une journée réussie

La grève de l'Education, nationale et privée, de ce jour, a été un succès. Des milliers et des milliers de manifestants à Paris ont dénoncé la baisse des moyens et des salaires réels des personnels. Les élèves des milieux populaires sont les premières victimes des suppressions de postes.
    Demain, c'est aux côtés de tout le monde du travail, qu'il faudra la lutte déterminée pour résoudre ces questions cruciales.

Bisbilles entre amis sur le dos du sort des handicapés travailleurs

Une menace pèse dans le Val d'Oise sur le transport de personnes handicapées de leur domicile vers les centres spécialisés où ils travaillent. L'Etat s'est défaussé sur les Conseils généraux pour payer le coût de ce transport. Aujourd'hui, celui du Val d'Oise ne veut plus payer.
     Les "dures" réalités d'élus de droite : leur gouvernement chéri qui préfère distribuer des cadeaux aux banquiers et aux gros industriels plutôt que de répondre au coût des besoins élémentaires d'une fraction de la population déjà fragilisée.