Les
représentants du gouvernement dans le département, préfet et directrice
académique, sont catégoriques : « Aucune exception ne sera accordée dans la
mise en œuvre » de la semaine de 4 jours et demi dans le département. » Aucune
dérogation. « Nous imposerons des horaires. Pour les communes qui ont déposé un
projet, nous appliquerons le modèle présenté, pour les autres, les élèves iront
à l’école trois heures le mercredi matin, et quarante-cinq minutes de moins les
autres jours de la semaine ». Tout cela doit être entériné dans une réunion qui
aura lieu lundi prochain.
On ne
sait pas si la fronde de la municipalité d’Argenteuil franchira l’obstacle.
Mais en
attendant, on peut s’attendre à une belle pagaille pour les familles des élèves
et pour les personnels, enseignants, mais particulièrement pour les personnels
territoriaux qui sont en première ligne. Car si la municipalité persiste, les
horaires des enseignants, eux, seront ceux que la hiérarchie de l’Education
nationale imposera.
Pour
les familles, pour les personnels, personnels des Ecoles, Atsem, Asel et
gardiens, comment la municipalité compte-t-elle se sortir d’un meli melo dans
laquelle elle a voulu jouer frontalement les kakous ?
Voir
les pages suivantes :
-du « malodor »
aux piques…
-quand
F Lamdaoui se rappelle au souvenir des Argenteuillais ;
-la
mobilisation des personnels territoriaux à Bezons ;
-une
première série de photos de la fête de Lutte Ouvrière 2014,…