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jeudi 27 février 2020

Élections municipales, Lutte ouvrière dans la campagne


Lutte ouvrière dans la campagne

26 Février 2020

Les différents candidats aux municipales multiplient ces jours-ci les promesses pour rendre la ville plus verte, plus propre, plus proche de ses citoyens en prônant la démocratie participative etc.
Ce sont autant de discours adaptés aux modes du moment, pour tenter de capter l’attention des électeurs. Même en admettant que certaines de ces promesses soient tenues, de toute façon elles ne changeront rien d’essentiel pour les couches populaires touchées par la dégradation des conditions de vie et de travail qui se fait sentir sur les salaires, l’emploi, les loyers…
Pour les journalistes et les commentateurs, cette élection ne serait faite que d’une série de matchs, comme à Paris entre Agnès Buzyn, Rachida Dati et Anne Hidalgo. On peut noter que la majorité des candidats sont très discrets sur leur engagement politique. Ils se présentent comme indépendants des partis, concentrés sur l’avenir de leur ville, de crainte que l’appartenance à LREM, à LR ou au PS ne les desserve. Les élections municipales ne seraient pas politiques, se défendent-ils.
Les candidats de Lutte ouvrière, eux, ne prétendent pas changer les choses à l’échelle d’une commune. Ils veulent affirmer un camp politique, qui est celui des travailleurs opposé à celui des capitalistes. Ils veulent condamner la politique menée par les représentants des différents partis qui se sont partagé le pouvoir ou qui en rêvent pour gérer les affaires de la bourgeoisie. Ils affirmeront que, pour changer leur sort, les travailleurs ne doivent compter que sur leurs propres forces. Pour tous ceux qui voteront pour les listes de Lutte ouvrière, dans les 250 villes où cela sera possible, ce vote pourra être un pas vers l’affirmation politique du camp des travailleurs.

                                                     Inès Rabah (Lutte ouvrière n°2691)


vendredi 21 février 2020

Val d’Oise : huit listes « Lutte ouvrière – Faire entendre le camp des travailleurs » ont été déposées. Un communiqué de Lutte ouvrière 95


Communiqué de Lutte ouvrière – Val d’Oise

Lutte ouvrière a déposé ses 8 listes dans le Val d’Oise, soit une de plus que lors des élections municipales de 2014. Une augmentation à l’image de ce que notre parti présentera à l’échelle du pays. Ces listes seront conduites par :

Dominique MARIETTE, enseignant retraité, à Argenteuil

Michel CAMPAGNAC, enseignant, à Bezons

Éric CASSAN, conducteur de bus à Cergy

Juan MUNOZ, technicien retraité de l’aéronautique, à Herblay

Christophe FLAUX, employé des finances publiques, à Jouy le Moutier

Philippe RENOU, informaticien, à Eaubonne

Françoise LHOMMEDET, enseignante, à Ermont

Patrick GAYRAUD, ouvrier retraité de l’aéronautique, à Louvres


Ces listes porteront partout le même intitulé : « Lutte ouvrière – Faire entendre le camp des travailleurs ».

         Alors que le monde du travail a commencé à redresser la tête, il s’agit de donner partout où nous le pouvons la possibilité aux travailleuses et aux travailleurs de voter pour leur classe, pour leur camp face à celui de la bourgeoisie.

         La vie du monde du travail n’est pas déterminée pour l’essentiel au niveau des communes. Les contraintes qui pèsent sur elles rendent vaines la plupart des engagements et autres promesses affichés par les notables ou les apprentis notables. En revanche, l’élection de conseillers municipaux « Lutte ouvrière – Faire entendre le camp des travailleurs, voire de municipalités ouvrières, permettrait d’installer des points d’appui pour les luttes pour régler les multiples problèmes qui ne manquent pas à l’échelle locale comme à l’échelle du pays, problèmes qui rendent la vie du monde du travail de plus en plus difficile.

Nos candidats sont à l’image du monde du travail, des ouvriers, des employés, des agents hospitaliers, des enseignants, des travailleurs précaires ou non, actifs ou retraités.

Ils se retrouveront nombreux lors de la fête de Lutte ouvrière à Argenteuil, le samedi 29 février complexe Jean Vilar, 9 boulevard Héloïse, à l’occasion de laquelle notre camarade Dominique MARIETTE prendra la parole à 19 heures 45 (entrée libre pour cette allocution).

                            Lutte ouvrière-Val d’Oise, le 21.2.2020


Pour tout contact : Dominique MARIETTE, 0699499864, MDommarie@aol.com



dimanche 9 février 2020

Argenteuil : actualités de la liste « Lutte ouvrière – Faire entendre le camp des travailleurs » conduite par Dominique MARIETTE


Le stationnement… La « reconquête des berges » …


Il serait possible de retrouver ce genre de paysage (cf. Claude Monet)

Nous avons reçu du journal Le Parisien une demande de réponse aux questions suivantes pour leurs lecteurs qui les ont interrogés sur les deux sujets ci-dessous :

  • Est-ce que vous prévoyez dans votre programme d’agrandir le parking de l’hôtel de ville ? Plus largement, est-ce que vous avez des propositions qui concernent d’autres parkings de la ville. Avec quels moyens ?
  • Que prévoit votre programme pour la « reconquête de berges » ? Une lectrice souhaiterait enterrer la D311 pour faire un aménagement paysager piétons-cyclistes dessus. Que proposez-vous ? A quel coût ? A quelle échéance ?

Voilà nos réponses :

« 1.Nos préoccupations essentielles relèvent de la vie générale du monde du travail qui s'est dégradée sur la commune comme dans les villes populaires. Pour l'essentiel, cette dégradation relève de l'État et des gouvernements successifs sans exception. Bien évidemment, la question du stationnement est un problème central dans le centre d'Argenteuil. Cela pose le problème des transports qui, pour l'essentiel, ne sera pas résolu à l'échelle d'une commune. Cela dit, l'organisation du stationnement dans les rues aurait dû être pensé et réalisé, là où il l'a été, d'une toute autre façon. Le nombre de place a été réduit sans raison valable. Que l'on commence à utiliser à plein les parkings de Côté Seine et du parking PVC qui est depuis des années dans un état d'abandon régulier, avant de se lancer dans toute autre construction coûteuse.

2.Nous refusons âprement le projet Cap Héloïse, car il ajouterait une dégradation majeure dans un espace qui n'a pas besoin de l'être davantage. Il n'y a jamais eu une réflexion d'ensemble sur ces berges, c'est à dire de leurs limites avec Épinay et avec Bezons. Il y en a peut-être eues, mais elles sont restées secrètes. Quant à la D311, pourquoi ne pas la transformer en circulation douce, avec une seule voie dans chaque sens, des feux synchronisés. J'ai en tête une voie de bord de mer qui m'a marqué, celle du Prado à Marseille. Le coût serait bien moindre qu'un enfouissement techniquement discutable et très coûteux ». DM

jeudi 23 janvier 2020

Argenteuil : Élections municipales. La liste « Lutte ouvrière – Faire entendre le camp des travailleurs »


Lutte ouvrière – Faire entendre le camp des travailleurs






Un tract de campagne

LUTTE OUVRIERE-ARGENTEUIL

                                                                                                 Le 22.01.20.

Travailleuses, travailleurs, chômeurs, retraités, d’Argenteuil,

Les semaines de grèves et de manifestations pour s’opposer à la violente attaque du gouvernement contre les retraités d’aujourd’hui et de demain c’est-à-dire contre tous les travailleurs, ont clairement montré quels sont les deux camps qui s’affrontent dans la société.
         A l’offensive, le camp représenté par Macron et Philippe. Au-dessus d’eux qu’ils servent, les maîtres de l’organisation actuelle de la société : la grande bourgeoisie, les propriétaires des grandes entreprises capitalistes, des sociétés financières, des banques. L’objectif fondamental de la réforme est de prendre aux retraités du monde du travail de quoi donner plus de moyens à l’État pour aider les plus riches à continuer à s’enrichir.
         C’est pour se défendre contre cette agression, qu’une partie du camp des travailleurs, de la SNCF et de la RATP principalement, s’est mis en mouvement. Elle a pris la suite des gilets jaunes, première expression de la montée de l’exaspération populaire, avec la colère croissante des travailleurs des hôpitaux et des EHPAD.
La société va à vau-l’eau, pour qu’à ses sommets, une poignée de multimilliardaires puissent accroitre leur fortune et leur pouvoir sur une société qu’ils étranglent.
Faites qu’il y ait au conseil municipal des femmes et des hommes du camp des travailleurs
En présentant une liste aux élections municipales, Lutte ouvrière n’a pas pour ambition de gérer les affaires de la commune. Nous savons trop à quel point l’État de la bourgeoisie ligote les municipalités. Ces dernières sont d’autant plus bridées par la préfecture qu’elles sont plus proches de la population.
La transformation de la société en profondeur ou même une amélioration durable des conditions d’existence du monde du travail nécessitent la mobilisation réelle de la classe ouvrière. La municipalité ne peut pas être l’instrument de la transformation sociale. Mais elle peut être un terrain où le camp des travailleurs s’organise, se renforce, se mobilise.

Et si les électeurs portaient à la tête de la municipalité des travailleuses et des travailleurs qui vivent les difficultés de tous les exploités, celle-ci serait un point d’appui dans toutes les luttes contre les patrons et les notables locaux comme contre l’État et la bourgeoisie.
Travailleuses, travailleurs, chômeurs, retraités, vous toutes et tous que le capitalisme exploite et opprime
Aidez-nous à ce que se fasse entendre haut et fort à Argenteuil, le camp des travailleurs, en soutenant la liste « Lutte ouvrière-Faire entendre le camp des travailleurs » conduite par Dominique MARIETTE

Pour tout contact : MDommarie@aol.com

                                                                                      Impr.spé. LO 22.01.20.