Affichage des articles dont le libellé est élections européennes 2019. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est élections européennes 2019. Afficher tous les articles
vendredi 10 mai 2019
jeudi 9 mai 2019
Élections européennes : meeting de Lutte ouvrière demain vendredi 10 mai à Paris
Avec Nathalie, Jean-Pierre… et Arlette
Lutte ouvrière présente une liste
« Contre le grand capital, le camp des travailleurs ». Comme lors de toutes
les élections, et celle-ci pas moins que toute autre, les élections ne peuvent
changer la vie du monde du travail et toute la société elle-même. Seules, la
mobilisation, la lutte, et l’action de ce monde du travail peuvent imposer les
mesures nécessaires à leur survie et à celle de toute la société. Mais les
élections permettent de l’exprimer. Elles permettent de se compter sur ces
perspectives et sur ce programme.
Nathalie
ARTHAUD et Jean-Pierre MERCIER conduisent cette liste. Depuis des mois et des
mois, ils sont allés débattre avec les travailleurs, les jeunes, les retraités,
aux quatre coins du pays. Ils ont pu ressentir la colère qui monte, et comment
la mobilisation des Gilets jaunes avait commencé à faire bouger les lignes.
Demain
soir, ils seront salle de la Mutualité à Paris lors du grand meeting de la
campagne qu’ils ont animée avec résolution lors de ces débats et lors des
émissions auxquelles ils ont participé.
Demain
soir, allons les écouter, allons les soutenir. Ils prendront la parole aux
côtés de notre camarade Arlette LAGUILLER toujours si présente.
Libellés :
agenda militant,
élections européennes 2019
mardi 7 mai 2019
lundi 6 mai 2019
vendredi 3 mai 2019
jeudi 2 mai 2019
mercredi 1 mai 2019
mardi 30 avril 2019
Argenteuil élections européennes : payante la « démocratie »
Manque d’intérêt municipal ?
A
l’occasion de ces élections européennes, rien de tel. Pas de délibération en
conseil municipal. En conséquence, les listes en présence qui veulent organiser
une telle réunion électorale dans l’espace Jean Vilar doivent donc payer la
réservation de la salle.
Nous
ne connaissons pas si les habitants de la Ville sont nombreux à figurer sur
l’ensemble des listes qui se présentent. Il y en a au moins un sur la liste
Lutte ouvrière. Moi-même qui organiserai une réunion-débat le jeudi 16 mai
prochain, à la salle Pierre Dux, une salle qui nous sera facturée.
Raison
de plus pour verser à la souscription électorale que nous avons mise sur
pied :
Tout
don supérieur à 150 € doit être versé par chèque ou par carte bancaire.
Les
dons effectués par chèque ou par carte bancaire ouvrent droit, pour les
donateurs, à réduction d’impôt sur le revenu.
Celle-ci est égale à 66 % du montant du don dans la limite de 20 % du revenu
imposable (article 200 du CGI). Ainsi un don de 300 euros donnera droit à une
réduction d'impôts de 200 euros, à condition que l'impôt sur le revenu dépasse
cette somme.
Chèque libellé à l'ordre de : AFE
Nathalie ARTHAUD LO Europe 2019
Bref, je suis prêt à recevoir vos
dons, petits ou plus importants
dimanche 28 avril 2019
samedi 27 avril 2019
Élections européennes : avec Nathalie Arthaud et Jean-Pierre Mercier, en meeting, les candidats de la liste « Contre le grand capital, le camp des travailleurs » (5)
Meeting, meeting !
La
semaine suivante, j’animerai moi-même en tant que candidat de la liste une
réunion publique à Argenteuil, salle Pierre-Dux du complexe Jean Vilar le
jeudi 16 mai, à 20 heures. Je vous y attends également nombreux.
Nos
positions politiques
Brexit :
le bal des démagogues
Un éditorial
du27/06/2016
Le référendum organisé au
Royaume-Uni a donné une majorité pour quitter l'Union européenne. C’est une
victoire pour tout ce que la Grande-Bretagne et l’Europe comptent de
réactionnaires anti-immigrés, de nationalistes et de souverainistes. Et il
suffit de voir la mine réjouie d’une Marine Le Pen pour comprendre que cela ne
va pas dans le bon sens.
Dans ce référendum, les intérêts
des travailleurs n’étaient représentés ni par un camp, ni par l’autre. Le camp
du « in » défendait l’appartenance à une Europe faite pour les
capitalistes et les banquiers. Les travailleurs conscients d’avoir affaire à
une caste politique et à des institutions qui n’ont jamais été de leur côté ne
pouvaient pas l’approuver.
Mais se ranger dans le camp du
Brexit revenait à conforter le vote anti-immigration et raciste et à cautionner
les calomnies déversées sur les immigrés accusés de profiter des aides sociales
et de prendre l’emploi des Britanniques. C’était, dans les deux cas, un mauvais
choix.
Le monde ouvrier a déjà perdu
beaucoup car la campagne pour le Brexit a aggravé les divisions qui opposent
les travailleurs britanniques aux travailleurs européens ; les immigrés de
longue date à ceux récemment arrivés. Cette évolution réactionnaire est un
danger qui menace tous les travailleurs d’Europe.
Partout, l’extrême droite propose
de suivre l’exemple britannique. C’est le cas du Front national qui agite le
chiffon rouge de l’immigration et fait de Bruxelles le bouc-émissaire de tous
nos maux pour vanter le retour à la « souveraineté nationale ».
Mais que peut signifier cette
souveraineté nationale pour les exploités quand leur emploi, leur salaire, leur
retraite sont dépendants du bon vouloir patronal ! Et comment peut-on
croire que le retour au franc améliorerait le niveau de vie des travailleurs
quand les patrons n’ont de cesse de le baisser !
Que ce soit dans l’Union
européenne ou en dehors, un banquier reste un banquier, un patron reste un
patron. Faire croire aux travailleurs qu’ils pourraient échapper à l’exploitation
ou trouver un peu de protection auprès de leur État national est un leurre.
Sur le plan économique, le
« divorce » engendré par le Brexit ne sera que de pure forme. Les
capitalistes britanniques et européens ont intérêt à préserver leurs relations
économiques. Dès demain, ils s’activeront pour que leurs représentants
politiques écrivent d’autres traités et signent d’autres accords. Mais, pour
les exploités, ce sera toujours le même chantage à la compétitivité.
Si les travailleurs se laissent
détourner de leurs intérêts de classe avec de faux débats, ils seront toujours
perdants. Et ils risquent de l’être une fois de plus, avec la nouvelle vague
spéculative que le Brexit a déclenchée. Car nous avons vu comment la tempête
boursière de 2008 a débouché sur une crise économique mondiale, payée par les
travailleurs au travers des licenciements et des fermetures d’usines.
Les politiciens britanniques sont
aussi menteurs et démagogues que ceux d’ici. Boris Johnson, l’ancien maire de
Londres, qui était il y a quelques années partisan de l’UE, s’est transformé,
le temps de la campagne, en un de ses plus farouches adversaires. Maintenant
que le Brexit est voté, il est beaucoup moins pressé de quitter l’UE ! Ce
Monsieur est en effet surtout pressé de remplacer David Cameron au poste de
Premier ministre.
On pourrait en dire autant de
bien d’autres, ici en France. Le rejet des institutions européennes sert de
tremplin pour accéder au pouvoir. Il faut se méfier comme de la peste de ces
démagogues qui détournent la colère sociale des véritables responsables et qui
distillent le poison de la division dans la classe ouvrière.
La seule façon d’aller de l’avant
est de préparer les travailleurs à combattre leur ennemi intérieur, les
patrons, leurs gouvernements et leur système. En s’unissant, quelle que soit
leur nationalité, ils représentent une force capable de se défendre. C’est sur
le terrain de la lutte de classe que se jouent les intérêts des exploités.
C’est sur ce terrain qu’ils doivent se battre.
Libellés :
élections européennes 2019
vendredi 26 avril 2019
Européennes 2019, « contre le grand capital, le camp des travailleurs » (4). La liste est déposée. Nous préparons le grand meeting du 10 mai prochain
Une liste
Lutte ouvrière aux élections européennes
Communiqué
25/04/2019
Nous avons déposé la liste de
Lutte ouvrière, « Contre le grand capital, le camp des
travailleurs », pour les élections européennes du 26 mai prochain.
Elle sera conduite par Nathalie Arthaud et Jean-Pierre Mercier.
Nous n’attendons rien de l’Union
européenne, qui s’est construite pour les capitaux et la finance, et non
pour les peuples. Mais nous combattons tout autant les souverainistes car,
pour le monde du travail, le bilan des États nationaux n’est pas meilleur
que celui de l’UE.
Composée de travailleuses et de
travailleurs, d’ouvriers et d’employés, notre liste se présente pour
porter la voix du camp des travailleurs face au grand capital. Le camp des
ouvriers licenciés, face à leurs licencieurs. Le camp des chômeurs, dans
cette société qui leur refuse un travail. Le camp des précaires, qui
veulent un salaire régulier et correct. Le camp des retraités, qui veulent
pouvoir vivre correctement après une vie de labeur. Contre la dictature
sociale et économique du grand patronat, contre ses serviteurs politiques,
nous dirons que les travailleurs doivent se battre pour faire valoir leurs
intérêts.
Nathalie
Arthaud et Jean-Pierre Mercier
Le
vendredi 10 mai prochain à la Mutualité
Meeting
A Paris
Vendredi
10 mai à 20h30
Libellés :
élections européennes 2019
jeudi 25 avril 2019
Européennes 2019, « contre le grand capital, le camp des travailleurs » (3). Une liste sur laquelle je suis candidat. Dominique Mariette
Arlette Laguiller, plus que jamais toujours présente
C’est notre camarade Arlette LAGUILLER, employée de
banque à la retraite, qui clôt la liste présentée par Lutte ouvrière pour ces
élections européennes du 26 mai prochain. Notre camarade qui nous a si bien
représenté durant plusieurs décennies est bien évidemment toujours une
militante et une dirigeante de notre organisation.
Nos
positions politiques
L'Europe
Les frontières des États
européens sont dépassées depuis bien longtemps par l’ampleur mondiale des
échanges économiques. Une Europe réellement unie serait un progrès. Elle est
une nécessité.
Cela fait au bas mot 60 ans que les
principaux États européens tentent d’unifier leur territoire en un espace
économique commun.
Ils n’y sont arrivés que très
partiellement, en unifiant surtout ce qui était utile au mouvement des capitaux
et des marchandises.
Le fait que l’économie des États-Unis,
grâce à un vaste territoire unifié et à l’existence d’un État central,
surclasse celle des pays européens, a poussé les bourgeoisies européennes à
tenter de surmonter leurs divisions nationales. Mais, d’un autre côté, les
grands groupes capitalistes français, britanniques ou allemands restent
attachés à leur propre État national, dont ils obtiennent en permanence
soutiens et appuis de toutes formes : commandes, subventions, aide
diplomatique pour remporter des marchés à l’étranger, ou encore soutien
politique et militaire à des dictatures bien disposées à leur égard.
Cette contradiction explique la
lenteur et le caractère laborieux de la construction de l’Union européenne. Une
partie de ses membres ont fini par se doter d'une monnaie unique avec l'euro.
Mais l’absence d’une véritable unification politique rend cette construction
fragile et susceptible d’être remise en cause. L'Union européenne reste une
arène où s'expriment les rivalités nationales qui font tanguer régulièrement
l’ensemble de l’édifice et menaceront demain, en cas de crise importante,
jusqu’à son existence.
Les rapports qui régissent les
relations à l'intérieur de l'Union européenne ne sont pas différents de ceux
qui existent dans le reste du monde impérialiste : les États les plus faibles
sont subordonnés aux impérialismes dominants, à commencer par l’Allemagne, la
Grande-Bretagne et la France. Le paravent des institutions dites
"démocratiques" masque mal le talon de fer des bourgeoisies
européennes les plus puissantes qui s'impose à toutes les populations d'Europe,
comme l’a montré récemment l’exemple de la Grèce dont la population a été
saignée par des années d’austérité, sans qu’il ne soit jamais tenu compte des
votes qui ont eu lieu.
Spéculant sur le mécontentement
et le rejet suscités par cette Europe des capitalistes, des démagogues mettent
en avant le retour à des États nationaux « souverains ». Mais ces
États n’ont jamais été autre chose que les instruments des bourgeoisies
nationales pour imposer leur dictature sur leur population. Le rétablissement
des frontières nationales se traduirait par une régression économique et
sociale que les classes dominantes feraient payer en premier lieu aux
travailleurs et aux couches populaires.
Dès aujourd’hui, à force de
dresser toujours plus de murs et de barbelés pour s’opposer à l’entrée des
migrants de plus en plus nombreux à fuir la misère et la guerre ravageant les
pays les plus pauvres, cette Europe forteresse se retrouve menacée d’être à
nouveau morcelée par des frontières intérieures et, demain peut-être, par de
nouvelles guerres suscitées par le déchainement des nationalismes.
En tant que communistes, nous
combattons les idées nationalistes, la xénophobie et tout ce qui oppose les
travailleurs les uns aux autres. Nous sommes favorables à tout ce qui va dans
le sens de la disparition des frontières.
Seuls les travailleurs, en se
débarrassant du capitalisme, peuvent mettre en place une Europe véritablement
unie et fraternelle : les États-Unis socialistes d’Europe. Et cette
Europe-là ne pourra être que le début d’une union de tous les peuples à
l’échelle mondiale.
Libellés :
élections européennes 2019
mercredi 24 avril 2019
Européennes 2019, « contre le grand capital, le camp des travailleurs » (2). Une liste sur laquelle je suis candidat. Dominique Mariette
La circulaire électorale de notre liste
Élection
des députés au Parlement européen du 26 mai 2019
Contre le
grand capital, le camp des travailleurs
Liste conduite
par
Nathalie
Arthaud
Enseignante
et
Jean-Pierre Mercier
Ouvrier
dans l’automobile
La
construction européenne a 60 ans.
Quel est
son bilan ?
Pour les travailleurs, il n’y a
même pas de salaire minimum européen. Pour les femmes, pas même la généralisation
du droit à l’IVG ! En matière d’environnement, nous courons à la
catastrophe. L’Union européenne a été conçue par et pour les groupes
capitalistes. Sa politique est à l’image de toute la société où seuls comptent
l’argent et les rivalités commerciales.
Mais nous ne sommes pas de ceux
qui vantent le repli national. Les frontières ne protègent pas
les travailleurs. Elles n’empêchent ni les crises économiques, ni
l’exploitation, ni la rapacité des capitalistes à commencer par ceux de notre
propre pays. Elles entretiennent les inégalités et sont des obstacles pour ceux
qui cherchent un endroit où gagner leur vie.
Construire une Europe sociale
soucieuse des peuples, de la planète ne se fera qu’en ôtant à la minorité
capitaliste son pouvoir sur l’économie et la société.
Contre la
domination du grand capital
Défendre
nos conditions de vie et notre pouvoir d’achat exige de s’affronter à la grande
bourgeoisie qui tient les commandes.
Les Gilets jaunes ont exprimé une
juste colère contre la politique anti-ouvrière de Macron. Mais les donneurs
d’ordre sont ceux qui possèdent les banques et les multinationales de
l’industrie, de la grande distribution de l’énergie et des transports.
Ce sont eux les premiers
responsables du recul social.
Ces grands capitalistes ne brisent
pas de vitrines, ils brisent des vies ! En fermant des usines, en
licenciant, en laminant les salaires, en aggravant les conditions de travail.
Ils répandent dans les classes populaires la peur du lendemain, celle de ne pas
pouvoir payer son loyer, ou d’avoir à se priver sur l’alimentation, le
chauffage ou les soins.
Salariés
ou retraités, embauchés, précaires ou au chômage, vous tous qui vivez de votre
travail, exprimez vos exigences !
Chacun doit pouvoir vivre d’un
emploi payé correctement.
Il faut prendre sur les milliards
de profits pour augmenter les salaires, les allocations et les pensions de
retraite et les indexer sur les prix. Il faut interdire les licenciements et
imposer la répartition du travail entre tous sans perte de salaire.
Vouloir contrôler ce que fait
l’État de nos impôts est légitime.
Mais contrôler les fortunes qui
s’accumulent entre les mains de quelques milliers de grands bourgeois l’est
tout autant. Le grand capital s’approprie les richesses créées par ceux qui
travaillent. Il écrase nombre de commerçants, de paysans et d’artisans qui,
tout en travaillant d’arrache-pied, ne vivent pas mieux.
Tant que cette minorité
capitaliste domine, il n’y aura pas de partage des richesses. Et, plus grave,
la collectivité ne pourra pas gérer l’économie de façon à assurer à tous une
vie digne de ce siècle. La concurrence pour le profit privé est devenue un
obstacle au progrès social. La société n’a jamais été aussi riche... et les
urgences hospitalières, les maternités, les Ehpad et l’Éducation manquent de
moyens ! Les dirigeants du pays prétendent qu’il est impossible
d’entretenir les routes, les ponts ou les voies de chemin de fer, et d’en finir
avec l’habitat insalubre. Les formidables possibilités de la société sont
gâchées.
La seule devise du grand capital,
c’est « après moi le déluge ». L’avenir, c’est de le renverser en
l’expropriant et en prenant la maîtrise des banques et des groupes industriels
et commerciaux pour décider collectivement de ce qui doit être produit et
comment.
En votant Lutte ouvrière,
- vous marquerez votre opposition au
gouvernement Macron, en rejetant ceux qui veulent le remplacer mais
respectent le pouvoir de la grande bourgeoisie,
- vous exprimerez les exigences des
travailleurs et de l’immense majorité,
- contre l’Europe du capital, la tentation du
repli sur soi, le nationalisme et le racisme, vous défendrez la
perspective d’une Europe réellement unifiée et ouverte sur le monde qui
garantisse la liberté de circulation et d’installation,
- vous affirmerez la nécessité d’une Europe
débarrassée du capitalisme et fondée sur des relations égalitaires entre
les peuples, sans rapports de concurrence ni de domination.
Les candidats Lutte ouvrière
1. Nathalie ARTHAUD -
Enseignante - Seine-Saint-Denis
2. Jean-Pierre MERCIER -
Ouvrier de l’automobile - Yvelines
3. Ghislaine JOACHIM-ARNAUD -
Technicienne de laboratoire - Martinique
4. Éric PECQUEUR - Ouvrier
de l’automobile - Nord
5. Claire ROCHER -
Infirmière hospitalière - Côte-d’Or
6. Éric BELLET - Ouvrier -
Cher
7. Monique DABAT - Cheminote
- Paris
8. Eddy LE BELLER -
Technicien chantier naval - Loire-Atlantique
9. Farida MEGDOUD -
Enseignante - Loiret
10. Pascal LE MANACH -
Ouvrier de l’automobile - Seine-Maritime
11. Chantal GOMEZ -
Dessinatrice technique - Isère
12. Jean Yves PAYET -
Conseiller agricole - La Réunion
13. Valérie HAMON -
Cheminote - Ille-et-Vilaine
14. François ROCHE -
Ouvrier dans l’aéronautique - Bouches-du-Rhône
15. Valérie FOISSEY -
Aide-soignante - Seine-Maritime
16. Julien WOSTYN -
Ouvrier de l’automobile - Haut-Rhin
17. Anne ZANDITÉNAS -
Enseignante - Aisne
18. Jean-Marie NOMERTIN -
Employé - Guadeloupe
19. Isabelle BONNET -
Enseignante - Bouches-du-Rhône
20. Salah KELTOUMI -
Ouvrier de l’automobile - Haut-Rhin
21. Dominique CLERGUE -
Ouvrière qualifiée - Loiret
22. Thomas ROSE -
Enseignant - Marne
23. Fanny QUANDALLE -
Postière - Gironde
24. Patrice VILLERET -
Ouvrier ajusteur fonderie - Vienne
25. Marie SAVRE -
Psychologue en hôpital psychiatrique - Puy-de-Dôme
26. Christophe GARCIA -
Postier - Calvados
27. Malena ADRADA -
Professeure des écoles - Haute-Garonne
28. Ali KAYA - Ouvrier de
l’industrie automobile - Yvelines
29. Nathalie MALHOLE -
Secrétaire médicale - Bouches-du-Rhône
30. Michel DARRAS -
Technicien dans l’automobile - Pas-de-Calais
31. Julie LUCOTTE -
Infirmière - Saône-et-Loire
32. Vincent CHEVROLLIER -
Professeur des écoles - Eure-et-Loir
33. Marie-Claude RONDEAUX -
Ouvrière retraitée - Nord
34. Olivier MINOUX -
Ouvrier dans la chimie - Rhône
35. Mélanie PEYRAUD -
Enseignante - Eure
36. Jean CAMONIN -
Technicien de maintenance - Essonne
37. Anne BRUNET -
Enseignante en lycée professionnel - Indre-et-Loire
38. Olivier NICOLAS -
Informaticien - Charente
39. Élisabeth FAUCON -
Enseignante - Haute-Vienne
40. Martial COLLET -
Ouvrier métallurgiste - Côtes-d’Armor
41. Agathe MARTIN -
Cheminote - Val-de-Marne
42. Antoine COLIN -
Enseignant-chercheur - Charente-Maritime
43. Renée POTCHTOVIK -
Factrice - Oise
44. Mario RINALDI -
Technicien de maintenance dans l’automobile - Moselle
45. Josefa TORRES -
Technicienne de laboratoire - Val-de-Marne
46. Nicolas BAZILLE -
Cheminot - Loire-Atlantique
47. Kelig LAGRÉE -
Enseignante - Morbihan
48. Pierre NORDEMANN -
Employé d’organisme social - Meurthe-et-Moselle
49. Adèle KOPFF -
Enseignante - Drôme
50. Michel TREPPO -
Ouvrier de l’automobile - Doubs
51. Cécile FAURITE -
Cheminote - Rhône
52. Dominique MARIETTE -
Professeur retraité - Val-d’Oise
53. Fatima ABDELLAOUI -
Employée - Nord
54. Richard BLANCO -
Employé au ministère du Travail - Tarn-et-Garonne
55. Fabienne DELORME -
Enseignante - Yonne
56. Liberto PLANA -
Employé d’hypermarché - Pyrénées-Orientales
57. Aurélie JOCHAUD -
Infirmière - Paris
58. Vincent GOUTAGNY -
Ouvrier dans l’industrie plastique - Ain
59. Jacqueline UHART -
Enseignante - Pyrénées-Atlantiques
60. Vincent COMBES - Agent
logistique aéronautique - Haute-Garonne
61. Catherine VAN CAUTEREN -
Ouvrière dans l’aéronautique - Seine-et-Marne
62. Romain BROSSARD -
Enseignant - Loire
63. Louise FÈVE -
Cheminote - Bas-Rhin
64. François MEUNIER -
Instituteur - Hautes-Pyrénées
65. Charline JOLIVEAU -
Employée de banque - Paris
66. Guillaume PERCHET -
Électronicien - Gironde
67. Martine AMELIN -
Employée retraitée - Mayenne
68. Bruno PALENI -
Professeur en lycée du bâtiment - Somme
69. Isabelle LECLERC -
Secrétaire retraitée - Gard
70. Jacques MATTEÏ -
Ouvrier métallurgiste - Haute-Savoie
71. Estelle JAQUET -
Enseignante - Alpes-Maritimes
72. Yves CHEÈRE - Ouvrier
retraité de l’automobile - Sarthe
73. Marie-José FALIGANT -
Infirmière en hôpital public - Maine-et-Loire
74. Maurice CHAYNES -
Retraité des télécommunications - Hérault
75. Dominique REVOY -
Enseignante - Jura
76. Philippe JULIEN -
Technicien de l’automobile - Seine-Saint-Denis
77. Mink TAKAWÉ -
Professeure des écoles - Ardennes
78. Roland SZPIRKO -
Retraité de l’automobile - Oise
79. Arlette LAGUILLER -
Employée de banque retraitée - Seine-Saint-Denis
Appel d'Arlette Laguiller
« Je vous appelle à voter
Lutte ouvrière pour faire entendre le camp des travailleurs, pour populariser
ses exigences, pour affirmer les perspectives communistes ! »
Libellés :
élections européennes 2019
mardi 23 avril 2019
Européennes 2019, « contre le grand capital, le camp des travailleurs » (1). Une liste sur laquelle je suis candidat. Dominique Mariette
Présentation
par Nathalie Arthaud
Lutte ouvrière présente une liste
que je conduirai à l’élection des députés au Parlement européen du 26 mai 2019.
Ouvriers, techniciens, employés,
enseignants, retraités, les candidats et les candidates de Lutte ouvrière se
présentent pour faire entendre le camp des travailleurs, ses exigences, ses
revendications et les perspectives de changement de l’ordre social capitaliste
qu’il est le seul à pouvoir incarner.
Lutte ouvrière dénonce le faux
débat entre les partisans et les adversaires de l’Union européenne dans lequel
les grands partis de la bourgeoisie veulent enfermer les électeurs. C’est un
piège pour les travailleurs.
Toutes les institutions
actuelles, celles de l’Union européenne comme celles des États nationaux, sont
des instruments au service des intérêts des classes possédantes, de la minorité
de riches bourgeois qui tirent leur fortune de l’exploitation des travailleurs.
C’est la course au profit des gros actionnaires des groupes capitalistes, leur
dictature sur toute l’économie qui sont responsables du recul catastrophique
des conditions de vie des salariés et des classes populaires.
L’union des peuples d’Europe liés
par mille liens et interdépendants est une nécessité vitale depuis plus d’un
siècle. Les peuples ont payé par deux guerres mondiales l’incapacité de la
classe dirigeante à la réaliser. Ils continuent à la payer, car c’est sur les
exploités que les capitalistes en concurrence font peser la compétitivité de
leurs entreprises. À l’époque de la mondialisation, l’impuissance de la classe
dominante à unifier même les peuples entremêlés d’Europe montre qu’elle n’est
plus capable de faire quoi que ce soit de progressiste pour la société.
Libérer la société de la
domination de la grande bourgeoisie, mettre fin à l’organisation capitaliste de
l’économie où le grand capital écrase la vie de la société, est une nécessité
pour les travailleurs. Elle l’est aussi pour la grande majorité de la
population qui subit de plus en plus durement les méfaits de ce système en
crise permanente depuis des décennies.
Aucun des problèmes de la
société, depuis les menaces sur l’environnement et le climat jusqu’aux besoins
élémentaires de se loger, de se soigner correctement, ne pourra être résolu
sans renverser le pouvoir politique du grand capital sans exproprier les grands
groupes capitalistes et les banques pour les soumettre au contrôle de la
collectivité.
Les candidats de Lutte ouvrière
opposeront l’internationalisme à toutes les formes de démagogie nationaliste.
Ils affirmeront que les travailleurs, quelles que soient leur nationalité, leur
origine ou leur religion, appartiennent à la même classe, avec les mêmes
intérêts et un même combat à mener pour leur émancipation.
Ils affirmeront que le camp des
travailleurs constitue la seule force capable de mener ce combat jusqu’au bout
et d’offrir ainsi une perspective de progrès à l’ensemble de la société.
Libellés :
élections européennes 2019
dimanche 21 avril 2019
lundi 15 avril 2019
dimanche 14 avril 2019
mercredi 10 avril 2019
Inscription à :
Articles (Atom)