Affichage des articles dont le libellé est élections européennes 2019. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est élections européennes 2019. Afficher tous les articles

vendredi 10 mai 2019

Élections européennes : avec Nathalie ARTHAUD, Jean-Pierre MERCIER, et Arlette LAGUILLER, ce soir à la Mutualité, à Paris, pour « contre le capital », faire entendre « le camp des travailleurs »


A ce soir, avec nos camarades

 


 
Un départ collectif est prévu d’Argenteuil. RDV devant le café « des 2 gares », à 19 heures ce vendredi 10 mai, sortie Orgemont de la gare d’Argenteuil.

 
Votez le 26 mai pour la liste « Contre le grand capital, le camp des travailleurs »

 


 

jeudi 9 mai 2019

Élections européennes : meeting de Lutte ouvrière demain vendredi 10 mai à Paris


Avec Nathalie, Jean-Pierre… et Arlette

 
Lutte ouvrière présente une liste « Contre le grand capital, le camp des travailleurs ». Comme lors de toutes les élections, et celle-ci pas moins que toute autre, les élections ne peuvent changer la vie du monde du travail et toute la société elle-même. Seules, la mobilisation, la lutte, et l’action de ce monde du travail peuvent imposer les mesures nécessaires à leur survie et à celle de toute la société. Mais les élections permettent de l’exprimer. Elles permettent de se compter sur ces perspectives et sur ce programme.
         Nathalie ARTHAUD et Jean-Pierre MERCIER conduisent cette liste. Depuis des mois et des mois, ils sont allés débattre avec les travailleurs, les jeunes, les retraités, aux quatre coins du pays. Ils ont pu ressentir la colère qui monte, et comment la mobilisation des Gilets jaunes avait commencé à faire bouger les lignes.
         Demain soir, ils seront salle de la Mutualité à Paris lors du grand meeting de la campagne qu’ils ont animée avec résolution lors de ces débats et lors des émissions auxquelles ils ont participé.
         Demain soir, allons les écouter, allons les soutenir. Ils prendront la parole aux côtés de notre camarade Arlette LAGUILLER toujours si présente.

 




Un départ collectif est prévu d’Argenteuil. RDV devant le café « des 2 gares », à 19 heures ce vendredi 10 mai, sortie Orgemont de la gare d’Argenteuil.

Nathalie ARTHAUD sur RFI hier matin

lundi 6 mai 2019

Mai 2019 : notre agenda militant


Le 9 mai

Les travailleurs de la fonction publique en grève

 
 

Le 10 mai

Avec Nathalie ARTHAUD et Jean-Pierre MERCIER
 

 

Le 16 mai, à Argenteuil

Une belle réunion à venir

 

Le 26 mai

Contre le grand capital, faire entendre le camp des travailleurs

 


vendredi 3 mai 2019

Argenteuil, Élections européennes, diversité des méthodes d’affichage


Pousse-toi de là, que je m’y mette seul chez LR



Une affiche, et laissons le reste pour les autres, chez Lutte ouvrière


mardi 30 avril 2019

Élections européennes : Nathalie ARTHAUD au journal de France 3 dimanche soir… et ça fait du bien…

Argenteuil élections européennes : payante la « démocratie »


Manque d’intérêt municipal ?

D’habitude, à Argenteuil, lors des élections, en tout cas, à l’occasion d’un certain nombre d’entre elles, des délibérations sont prises en conseil municipal pour donner la gratuité de l’utilisation de locaux municipaux habituellement payants, pour les listes en présence, à égalité de traitement pour chacune.
         A l’occasion de ces élections européennes, rien de tel. Pas de délibération en conseil municipal. En conséquence, les listes en présence qui veulent organiser une telle réunion électorale dans l’espace Jean Vilar doivent donc payer la réservation de la salle.
         Nous ne connaissons pas si les habitants de la Ville sont nombreux à figurer sur l’ensemble des listes qui se présentent. Il y en a au moins un sur la liste Lutte ouvrière. Moi-même qui organiserai une réunion-débat le jeudi 16 mai prochain, à la salle Pierre Dux, une salle qui nous sera facturée.



         Raison de plus pour verser à la souscription électorale que nous avons mise sur pied :

Tout don supérieur à 150 € doit être versé par chèque ou par carte bancaire.

Les dons effectués par chèque ou par carte bancaire ouvrent droit, pour les donateurs, à réduction d’impôt sur le revenu. Celle-ci est égale à 66 % du montant du don dans la limite de 20 % du revenu imposable (article 200 du CGI). Ainsi un don de 300 euros donnera droit à une réduction d'impôts de 200 euros, à condition que l'impôt sur le revenu dépasse cette somme.
Chèque libellé à l'ordre de : AFE Nathalie ARTHAUD LO Europe 2019
Bref, je suis prêt à recevoir vos dons, petits ou plus importants

samedi 27 avril 2019

Élections européennes : avec Nathalie Arthaud et Jean-Pierre Mercier, en meeting, les candidats de la liste « Contre le grand capital, le camp des travailleurs » (5)


Meeting, meeting !

Hier, nous avons évoqué le grand meeting de campagne que Nathalie et Jean-Pierre tiendront à la salle de la Mutualité de Paris le vendredi 10 mai prochain. Paris est toujours un peu loin de nos banlieues. Néanmoins, j’appelle tous nos amis à se rendre à ce meeting du 10. En particulier pour aller soutenir nos têtes de liste qui se démènent depuis des mois pour faire entendre à travers tout le pays nos idées et notre programme.
         La semaine suivante, j’animerai moi-même en tant que candidat de la liste une réunion publique à Argenteuil, salle Pierre-Dux du complexe Jean Vilar le jeudi 16 mai, à 20 heures. Je vous y attends également nombreux.



Nos positions politiques


Brexit : le bal des démagogues

Un éditorial du27/06/2016

Le référendum organisé au Royaume-Uni a donné une majorité pour quitter l'Union européenne. C’est une victoire pour tout ce que la Grande-Bretagne et l’Europe comptent de réactionnaires anti-immigrés, de nationalistes et de souverainistes. Et il suffit de voir la mine réjouie d’une Marine Le Pen pour comprendre que cela ne va pas dans le bon sens.
Dans ce référendum, les intérêts des travailleurs n’étaient représentés ni par un camp, ni par l’autre. Le camp du « in » défendait l’appartenance à une Europe faite pour les capitalistes et les banquiers. Les travailleurs conscients d’avoir affaire à une caste politique et à des institutions qui n’ont jamais été de leur côté ne pouvaient pas l’approuver.
Mais se ranger dans le camp du Brexit revenait à conforter le vote anti-immigration et raciste et à cautionner les calomnies déversées sur les immigrés accusés de profiter des aides sociales et de prendre l’emploi des Britanniques. C’était, dans les deux cas, un mauvais choix.
Le monde ouvrier a déjà perdu beaucoup car la campagne pour le Brexit a aggravé les divisions qui opposent les travailleurs britanniques aux travailleurs européens ; les immigrés de longue date à ceux récemment arrivés. Cette évolution réactionnaire est un danger qui menace tous les travailleurs d’Europe.
Partout, l’extrême droite propose de suivre l’exemple britannique. C’est le cas du Front national qui agite le chiffon rouge de l’immigration et fait de Bruxelles le bouc-émissaire de tous nos maux pour vanter le retour à la « souveraineté nationale ».
Mais que peut signifier cette souveraineté nationale pour les exploités quand leur emploi, leur salaire, leur retraite sont dépendants du bon vouloir patronal ! Et comment peut-on croire que le retour au franc améliorerait le niveau de vie des travailleurs quand les patrons n’ont de cesse de le baisser !
Que ce soit dans l’Union européenne ou en dehors, un banquier reste un banquier, un patron reste un patron. Faire croire aux travailleurs qu’ils pourraient échapper à l’exploitation ou trouver un peu de protection auprès de leur État national est un leurre.
Sur le plan économique, le « divorce » engendré par le Brexit ne sera que de pure forme. Les capitalistes britanniques et européens ont intérêt à préserver leurs relations économiques. Dès demain, ils s’activeront pour que leurs représentants politiques écrivent d’autres traités et signent d’autres accords. Mais, pour les exploités, ce sera toujours le même chantage à la compétitivité.
Si les travailleurs se laissent détourner de leurs intérêts de classe avec de faux débats, ils seront toujours perdants. Et ils risquent de l’être une fois de plus, avec la nouvelle vague spéculative que le Brexit a déclenchée. Car nous avons vu comment la tempête boursière de 2008 a débouché sur une crise économique mondiale, payée par les travailleurs au travers des licenciements et des fermetures d’usines.
Les politiciens britanniques sont aussi menteurs et démagogues que ceux d’ici. Boris Johnson, l’ancien maire de Londres, qui était il y a quelques années partisan de l’UE, s’est transformé, le temps de la campagne, en un de ses plus farouches adversaires. Maintenant que le Brexit est voté, il est beaucoup moins pressé de quitter l’UE ! Ce Monsieur est en effet surtout pressé de remplacer David Cameron au poste de Premier ministre.
On pourrait en dire autant de bien d’autres, ici en France. Le rejet des institutions européennes sert de tremplin pour accéder au pouvoir. Il faut se méfier comme de la peste de ces démagogues qui détournent la colère sociale des véritables responsables et qui distillent le poison de la division dans la classe ouvrière.
La seule façon d’aller de l’avant est de préparer les travailleurs à combattre leur ennemi intérieur, les patrons, leurs gouvernements et leur système. En s’unissant, quelle que soit leur nationalité, ils représentent une force capable de se défendre. C’est sur le terrain de la lutte de classe que se jouent les intérêts des exploités. C’est sur ce terrain qu’ils doivent se battre.

vendredi 26 avril 2019

Européennes 2019, « contre le grand capital, le camp des travailleurs » (4). La liste est déposée. Nous préparons le grand meeting du 10 mai prochain


Une liste Lutte ouvrière aux élections européennes
Communiqué
25/04/2019

Nous avons déposé la liste de Lutte ouvrière, « Contre le grand capital, le camp des travailleurs », pour les élections européennes du 26 mai prochain. Elle sera conduite par Nathalie Arthaud et Jean-Pierre Mercier.
Nous n’attendons rien de l’Union européenne, qui s’est construite pour les capitaux et la finance, et non pour les peuples. Mais nous combattons tout autant les souverainistes car, pour le monde du travail, le bilan des États nationaux n’est pas meilleur que celui de l’UE.
Composée de travailleuses et de travailleurs, d’ouvriers et d’employés, notre liste se présente pour porter la voix du camp des travailleurs face au grand capital. Le camp des ouvriers licenciés, face à leurs licencieurs. Le camp des chômeurs, dans cette société qui leur refuse un travail. Le camp des précaires, qui veulent un salaire régulier et correct. Le camp des retraités, qui veulent pouvoir vivre correctement après une vie de labeur. Contre la dictature sociale et économique du grand patronat, contre ses serviteurs politiques, nous dirons que les travailleurs doivent se battre pour faire valoir leurs intérêts. 

                                         Nathalie Arthaud et Jean-Pierre Mercier

Le vendredi 10 mai prochain à la Mutualité

Meeting

A Paris

Vendredi 10 mai à 20h30

Maison de la Mutualité, 24 rue Saint-Victor, Paris 5e (Métro Jussieu ou Maubert-Mutualité)



Un départ collectif aura lieu d'Argenteuil. RDV 19 heures "café des 2 gares"

jeudi 25 avril 2019

Européennes 2019, « contre le grand capital, le camp des travailleurs » (3). Une liste sur laquelle je suis candidat. Dominique Mariette


Arlette Laguiller, plus que jamais toujours présente


C’est notre camarade Arlette LAGUILLER, employée de banque à la retraite, qui clôt la liste présentée par Lutte ouvrière pour ces élections européennes du 26 mai prochain. Notre camarade qui nous a si bien représenté durant plusieurs décennies est bien évidemment toujours une militante et une dirigeante de notre organisation.

Nos positions politiques

L'Europe



Les frontières des États européens sont dépassées depuis bien longtemps par l’ampleur mondiale des échanges économiques. Une Europe réellement unie serait un progrès. Elle est une nécessité.
Cela fait au bas mot 60 ans que les principaux États européens tentent d’unifier leur territoire en un espace économique commun.
Ils n’y sont arrivés que très partiellement, en unifiant surtout ce qui était utile au mouvement des capitaux et des marchandises.
Le fait que l’économie des États-Unis, grâce à un vaste territoire unifié et à l’existence d’un État central, surclasse celle des pays européens, a poussé les bourgeoisies européennes à tenter de surmonter leurs divisions nationales. Mais, d’un autre côté, les grands groupes capitalistes français, britanniques ou allemands restent attachés à leur propre État national, dont ils obtiennent en permanence soutiens et appuis de toutes formes : commandes, subventions, aide diplomatique pour remporter des marchés à l’étranger, ou encore soutien politique et militaire à des dictatures bien disposées à leur égard.
Cette contradiction explique la lenteur et le caractère laborieux de la construction de l’Union européenne. Une partie de ses membres ont fini par se doter d'une monnaie unique avec l'euro. Mais l’absence d’une véritable unification politique rend cette construction fragile et susceptible d’être remise en cause. L'Union européenne reste une arène où s'expriment les rivalités nationales qui font tanguer régulièrement l’ensemble de l’édifice et menaceront demain, en cas de crise importante, jusqu’à son existence.
Les rapports qui régissent les relations à l'intérieur de l'Union européenne ne sont pas différents de ceux qui existent dans le reste du monde impérialiste : les États les plus faibles sont subordonnés aux impérialismes dominants, à commencer par l’Allemagne, la Grande-Bretagne et la France. Le paravent des institutions dites "démocratiques" masque mal le talon de fer des bourgeoisies européennes les plus puissantes qui s'impose à toutes les populations d'Europe, comme l’a montré récemment l’exemple de la Grèce dont la population a été saignée par des années d’austérité, sans qu’il ne soit jamais tenu compte des votes qui ont eu lieu.
Spéculant sur le mécontentement et le rejet suscités par cette Europe des capitalistes, des démagogues mettent en avant le retour à des États nationaux « souverains ». Mais ces États n’ont jamais été autre chose que les instruments des bourgeoisies nationales pour imposer leur dictature sur leur population. Le rétablissement des frontières nationales se traduirait par une régression économique et sociale que les classes dominantes feraient payer en premier lieu aux travailleurs et aux couches populaires.
Dès aujourd’hui, à force de dresser toujours plus de murs et de barbelés pour s’opposer à l’entrée des migrants de plus en plus nombreux à fuir la misère et la guerre ravageant les pays les plus pauvres, cette Europe forteresse se retrouve menacée d’être à nouveau morcelée par des frontières intérieures et, demain peut-être, par de nouvelles guerres suscitées par le déchainement des nationalismes.
En tant que communistes, nous combattons les idées nationalistes, la xénophobie et tout ce qui oppose les travailleurs les uns aux autres. Nous sommes favorables à tout ce qui va dans le sens de la disparition des frontières.
Seuls les travailleurs, en se débarrassant du capitalisme, peuvent mettre en place une Europe véritablement unie et fraternelle : les États-Unis socialistes d’Europe. Et cette Europe-là ne pourra être que le début d’une union de tous les peuples à l’échelle mondiale.

mercredi 24 avril 2019

Européennes 2019, « contre le grand capital, le camp des travailleurs » (2). Une liste sur laquelle je suis candidat. Dominique Mariette




La circulaire électorale de notre liste

 Lors des élections européennes des 25 et 26 mai prochains, Lutte ouvrière présente une liste, conduite par Nathalie Arthaud et Jean-Pierre Mercier. Nous reproduisons ci-dessous la circulaire électorale qui sera adressée aux électeurs. Nos lecteurs pourront suivre notre campagne dans notre hebdomadaire Lutte ouvrière et sur notre site Internet www.lutte-ouvriere.org/europeennes 19 avril 2019

Élection des députés au Parlement européen du 26 mai 2019

Contre le grand capital, le camp des travailleurs

Liste conduite par

Nathalie Arthaud

Enseignante

et Jean-Pierre Mercier

Ouvrier dans l’automobile

La construction européenne a 60 ans.

Quel est son bilan ?

Pour les travailleurs, il n’y a même pas de salaire minimum européen. Pour les femmes, pas même la généralisation du droit à l’IVG ! En matière d’environnement, nous courons à la catastrophe. L’Union européenne a été conçue par et pour les groupes capitalistes. Sa politique est à l’image de toute la société où seuls comptent l’argent et les rivalités commerciales.
Mais nous ne sommes pas de ceux qui vantent le repli national. Les frontières ne protègent pas les travailleurs. Elles n’empêchent ni les crises économiques, ni l’exploitation, ni la rapacité des capitalistes à commencer par ceux de notre propre pays. Elles entretiennent les inégalités et sont des obstacles pour ceux qui cherchent un endroit où gagner leur vie.
Construire une Europe sociale soucieuse des peuples, de la planète ne se fera qu’en ôtant à la minorité capitaliste son pouvoir sur l’économie et la société.

Contre la domination du grand capital

Défendre nos conditions de vie et notre pouvoir d’achat exige de s’affronter à la grande bourgeoisie qui tient les commandes.

Les Gilets jaunes ont exprimé une juste colère contre la politique anti-ouvrière de Macron. Mais les donneurs d’ordre sont ceux qui possèdent les banques et les multinationales de l’industrie, de la grande distribution de l’énergie et des transports.
Ce sont eux les premiers responsables du recul social.
Ces grands capitalistes ne brisent pas de vitrines, ils brisent des vies ! En fermant des usines, en licenciant, en laminant les salaires, en aggravant les conditions de travail. Ils répandent dans les classes populaires la peur du lendemain, celle de ne pas pouvoir payer son loyer, ou d’avoir à se priver sur l’alimentation, le chauffage ou les soins.

Salariés ou retraités, embauchés, précaires ou au chômage, vous tous qui vivez de votre travail, exprimez vos exigences !

Chacun doit pouvoir vivre d’un emploi payé correctement.
Il faut prendre sur les milliards de profits pour augmenter les salaires, les allocations et les pensions de retraite et les indexer sur les prix. Il faut interdire les licenciements et imposer la répartition du travail entre tous sans perte de salaire.
Vouloir contrôler ce que fait l’État de nos impôts est légitime.
Mais contrôler les fortunes qui s’accumulent entre les mains de quelques milliers de grands bourgeois l’est tout autant. Le grand capital s’approprie les richesses créées par ceux qui travaillent. Il écrase nombre de commerçants, de paysans et d’artisans qui, tout en travaillant d’arrache-pied, ne vivent pas mieux.
Tant que cette minorité capitaliste domine, il n’y aura pas de partage des richesses. Et, plus grave, la collectivité ne pourra pas gérer l’économie de façon à assurer à tous une vie digne de ce siècle. La concurrence pour le profit privé est devenue un obstacle au progrès social. La société n’a jamais été aussi riche... et les urgences hospitalières, les maternités, les Ehpad et l’Éducation manquent de moyens ! Les dirigeants du pays prétendent qu’il est impossible d’entretenir les routes, les ponts ou les voies de chemin de fer, et d’en finir avec l’habitat insalubre. Les formidables possibilités de la société sont gâchées.
La seule devise du grand capital, c’est « après moi le déluge ». L’avenir, c’est de le renverser en l’expropriant et en prenant la maîtrise des banques et des groupes industriels et commerciaux pour décider collectivement de ce qui doit être produit et comment.

En votant Lutte ouvrière,

  • vous marquerez votre opposition au gouvernement Macron, en rejetant ceux qui veulent le remplacer mais respectent le pouvoir de la grande bourgeoisie,
  • vous exprimerez les exigences des travailleurs et de l’immense majorité,
  • contre l’Europe du capital, la tentation du repli sur soi, le nationalisme et le racisme, vous défendrez la perspective d’une Europe réellement unifiée et ouverte sur le monde qui garantisse la liberté de circulation et d’installation,
  • vous affirmerez la nécessité d’une Europe débarrassée du capitalisme et fondée sur des relations égalitaires entre les peuples, sans rapports de concurrence ni de domination.

Les candidats Lutte ouvrière

1. Nathalie ARTHAUD - Enseignante - Seine-Saint-Denis

2. Jean-Pierre MERCIER - Ouvrier de l’automobile - Yvelines

3. Ghislaine JOACHIM-ARNAUD - Technicienne de laboratoire - Martinique

4. Éric PECQUEUR - Ouvrier de l’automobile - Nord

5. Claire ROCHER - Infirmière hospitalière - Côte-d’Or

6. Éric BELLET - Ouvrier - Cher

7. Monique DABAT - Cheminote - Paris

8. Eddy LE BELLER - Technicien chantier naval - Loire-Atlantique

9. Farida MEGDOUD - Enseignante - Loiret

10. Pascal LE MANACH - Ouvrier de l’automobile - Seine-Maritime

11. Chantal GOMEZ - Dessinatrice technique - Isère

12. Jean Yves PAYET - Conseiller agricole - La Réunion

13. Valérie HAMON - Cheminote - Ille-et-Vilaine

14. François ROCHE - Ouvrier dans l’aéronautique - Bouches-du-Rhône

15. Valérie FOISSEY - Aide-soignante - Seine-Maritime

16. Julien WOSTYN - Ouvrier de l’automobile - Haut-Rhin

17. Anne ZANDITÉNAS - Enseignante - Aisne

18. Jean-Marie NOMERTIN - Employé - Guadeloupe

19. Isabelle BONNET - Enseignante - Bouches-du-Rhône

20. Salah KELTOUMI - Ouvrier de l’automobile - Haut-Rhin

21. Dominique CLERGUE - Ouvrière qualifiée - Loiret

22. Thomas ROSE - Enseignant - Marne

23. Fanny QUANDALLE - Postière - Gironde

24. Patrice VILLERET - Ouvrier ajusteur fonderie - Vienne

25. Marie SAVRE - Psychologue en hôpital psychiatrique - Puy-de-Dôme

26. Christophe GARCIA - Postier - Calvados

27. Malena ADRADA - Professeure des écoles - Haute-Garonne

28. Ali KAYA - Ouvrier de l’industrie automobile - Yvelines

29. Nathalie MALHOLE - Secrétaire médicale - Bouches-du-Rhône

30. Michel DARRAS - Technicien dans l’automobile - Pas-de-Calais

31. Julie LUCOTTE - Infirmière - Saône-et-Loire

32. Vincent CHEVROLLIER - Professeur des écoles - Eure-et-Loir

33. Marie-Claude RONDEAUX - Ouvrière retraitée - Nord

34. Olivier MINOUX - Ouvrier dans la chimie - Rhône

35. Mélanie PEYRAUD - Enseignante - Eure

36. Jean CAMONIN - Technicien de maintenance - Essonne

37. Anne BRUNET - Enseignante en lycée professionnel - Indre-et-Loire

38. Olivier NICOLAS - Informaticien - Charente

39. Élisabeth FAUCON - Enseignante - Haute-Vienne

40. Martial COLLET - Ouvrier métallurgiste - Côtes-d’Armor

41. Agathe MARTIN - Cheminote - Val-de-Marne

42. Antoine COLIN - Enseignant-chercheur - Charente-Maritime

43. Renée POTCHTOVIK - Factrice - Oise

44. Mario RINALDI - Technicien de maintenance dans l’automobile - Moselle

45. Josefa TORRES - Technicienne de laboratoire - Val-de-Marne

46. Nicolas BAZILLE - Cheminot - Loire-Atlantique

47. Kelig LAGRÉE - Enseignante - Morbihan

48. Pierre NORDEMANN - Employé d’organisme social - Meurthe-et-Moselle

49. Adèle KOPFF - Enseignante - Drôme

50. Michel TREPPO - Ouvrier de l’automobile - Doubs

51. Cécile FAURITE - Cheminote - Rhône

52. Dominique MARIETTE - Professeur retraité - Val-d’Oise

53. Fatima ABDELLAOUI - Employée - Nord

54. Richard BLANCO - Employé au ministère du Travail - Tarn-et-Garonne

55. Fabienne DELORME - Enseignante - Yonne

56. Liberto PLANA - Employé d’hypermarché - Pyrénées-Orientales

57. Aurélie JOCHAUD - Infirmière - Paris

58. Vincent GOUTAGNY - Ouvrier dans l’industrie plastique - Ain

59. Jacqueline UHART - Enseignante - Pyrénées-Atlantiques

60. Vincent COMBES - Agent logistique aéronautique - Haute-Garonne

61. Catherine VAN CAUTEREN - Ouvrière dans l’aéronautique - Seine-et-Marne

62. Romain BROSSARD - Enseignant - Loire

63. Louise FÈVE - Cheminote - Bas-Rhin

64. François MEUNIER - Instituteur - Hautes-Pyrénées

65. Charline JOLIVEAU - Employée de banque - Paris

66. Guillaume PERCHET - Électronicien - Gironde

67. Martine AMELIN - Employée retraitée - Mayenne

68. Bruno PALENI - Professeur en lycée du bâtiment - Somme

69. Isabelle LECLERC - Secrétaire retraitée - Gard

70. Jacques MATTEÏ - Ouvrier métallurgiste - Haute-Savoie

71. Estelle JAQUET - Enseignante - Alpes-Maritimes

72. Yves CHEÈRE - Ouvrier retraité de l’automobile - Sarthe

73. Marie-José FALIGANT - Infirmière en hôpital public - Maine-et-Loire

74. Maurice CHAYNES - Retraité des télécommunications - Hérault

75. Dominique REVOY - Enseignante - Jura

76. Philippe JULIEN - Technicien de l’automobile - Seine-Saint-Denis

77. Mink TAKAWÉ - Professeure des écoles - Ardennes

78. Roland SZPIRKO - Retraité de l’automobile - Oise

79. Arlette LAGUILLER - Employée de banque retraitée - Seine-Saint-Denis

 Appel d'Arlette Laguiller

« Je vous appelle à voter Lutte ouvrière pour faire entendre le camp des travailleurs, pour populariser ses exigences, pour affirmer les perspectives communistes ! »

mardi 23 avril 2019

Européennes 2019, « contre le grand capital, le camp des travailleurs » (1). Une liste sur laquelle je suis candidat. Dominique Mariette


Présentation par Nathalie Arthaud

Lutte ouvrière présente une liste que je conduirai à l’élection des députés au Parlement européen du 26 mai 2019.
Ouvriers, techniciens, employés, enseignants, retraités, les candidats et les candidates de Lutte ouvrière se présentent pour faire entendre le camp des travailleurs, ses exigences, ses revendications et les perspectives de changement de l’ordre social capitaliste qu’il est le seul à pouvoir incarner.
Lutte ouvrière dénonce le faux débat entre les partisans et les adversaires de l’Union européenne dans lequel les grands partis de la bourgeoisie veulent enfermer les électeurs. C’est un piège pour les travailleurs.
Toutes les institutions actuelles, celles de l’Union européenne comme celles des États nationaux, sont des instruments au service des intérêts des classes possédantes, de la minorité de riches bourgeois qui tirent leur fortune de l’exploitation des travailleurs. C’est la course au profit des gros actionnaires des groupes capitalistes, leur dictature sur toute l’économie qui sont responsables du recul catastrophique des conditions de vie des salariés et des classes populaires.
L’union des peuples d’Europe liés par mille liens et interdépendants est une nécessité vitale depuis plus d’un siècle. Les peuples ont payé par deux guerres mondiales l’incapacité de la classe dirigeante à la réaliser. Ils continuent à la payer, car c’est sur les exploités que les capitalistes en concurrence font peser la compétitivité de leurs entreprises. À l’époque de la mondialisation, l’impuissance de la classe dominante à unifier même les peuples entremêlés d’Europe montre qu’elle n’est plus capable de faire quoi que ce soit de progressiste pour la société.
Libérer la société de la domination de la grande bourgeoisie, mettre fin à l’organisation capitaliste de l’économie où le grand capital écrase la vie de la société, est une nécessité pour les travailleurs. Elle l’est aussi pour la grande majorité de la population qui subit de plus en plus durement les méfaits de ce système en crise permanente depuis des décennies.
Aucun des problèmes de la société, depuis les menaces sur l’environnement et le climat jusqu’aux besoins élémentaires de se loger, de se soigner correctement, ne pourra être résolu sans renverser le pouvoir politique du grand capital sans exproprier les grands groupes capitalistes et les banques pour les soumettre au contrôle de la collectivité.
Les candidats de Lutte ouvrière opposeront l’internationalisme à toutes les formes de démagogie nationaliste. Ils affirmeront que les travailleurs, quelles que soient leur nationalité, leur origine ou leur religion, appartiennent à la même classe, avec les mêmes intérêts et un même combat à mener pour leur émancipation.
Ils affirmeront que le camp des travailleurs constitue la seule force capable de mener ce combat jusqu’au bout et d’offrir ainsi une perspective de progrès à l’ensemble de la société.

                                             Nathalie ARTHAUD