Un paysage à retrouver, et pas à liquider définitivement
Pas question de détruire un peu plus cette perspective, il faut la rénover
Dans le cadre de l’ouverture prochaine d’un espace muséographique dans la maison que Claude Monet et sa famille occupèrent dans l’actuel boulevard Karl Marx, une convention a été signée entre la Ville d’Argenteuil et les musées d’Orsay et de l’Orangerie centrés autour de l’Impressionnisme. Un des aspects de cette convention est la décision prise par ces musées de consacrer 25 000 euros par an - sur trois ans -. Il s’agit avec cet argent d’aider à la végétalisation ou à la revégétalisation des berges de Seine à Argenteuil, en rapport avec les représentations des « paysages d’Argenteuil figurant dans les collections des deux musées. » Cela dans une perspective donc de défense des paysages et plus largement dans une perspective environnementale.
Rien à dire sur tout cela.
En tout cas, cet engagement est en complète harmonie avec le combat mené depuis 2016 pour que sur l’espace Jean Vilar actuel ne soit pas réalisé le projet Fiminco, destructeur de paysages, liquidant de façon irréversible, s'il se réalisait, ce qui reste sur les berges de Seine de ceux qui attirèrent Monet, Sisley, Renoir, et bien d’autres et qu’il est possible de restaurer, au moins en partie. DM
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire