lundi 30 octobre 2023

Gaza : silence on tue !

Pas en notre nom !

 

 


Depuis vendredi soir 27 octobre des bombardements israéliens massifs terrorisent et isolent encore plus les habitants de Gaza. Même les organisations d'aide internationale, comme l'OMS, ont bien du mal à rentrer en contact avec leurs équipes sur place.

         Halte aux attaques meurtrières contre la population palestinienne !

 

Achetez, lisez le numéro 2882 de Lutte ouvrière de cette semaine. Il contient de nombreux articles sur la situation au Proche-Orient. Ce sont des articles dont la lecture est particulièrement nécessaire actuellement.

 

Les prochaines permanences prévues :

-Mardi 31 octobre, de 10 h.30 à 11 h.30 centre commercial Joliot-Curie ;

-et de 11 h. à midi, marché Héloïse ;

-Mercredi 1er novembre, de 11 h.30 à midi marché des Champioux ;

 

Toutes les semaines, l’hebdomadaire Lutte ouvrière est aussi en vente à la librairie Le Presse-papier et au Tabac-Presse du mail de la Terrasse du quartier du Val-Nord que nous remercions.

 

N’oubliez pas aussi de noter sur vos agendas, le rendez-vous plus lointain de notre banquet local qui aura lieu en journée le dimanche 24 mars prochain. Dès à présents, parlez-en autour de vous et réservez. Le prix du repas est désormais fixé. Comme l’an dernier, 17 euros pour les adultes, 8 pour les enfants jusqu’à 14 ans.

 

Pauses humanitaires : l'hypocrisie de la France

 

Une très mince couche de vernis compassionnel

 


 

À l’ONU, la France a voté, avec d’autres États, une résolution demandant des « pauses » humanitaires pour soulager la population de Gaza. Cela pour faire parvenir un peu d'aide alimentaire et médicale aux Palestiniens... avant la reprise du massacre.

         La spécificité française, c'est une très mince couche de vernis compassionnel sur une politique impérialiste de soutien complet à la vengeance de l’État israélien, faisant payer aux Palestiniens les atrocités du Hamas par ses propres atrocités des bombardements et du blocus de Gaza.

Chômage : chiffres en hausse et catastrophe sociale

Et cela risque de n’être qu’un début

 


 

Le nombre de chômeurs repart à la hausse au troisième trimestre avec 17 000 personnes de plus déclarées dans la catégorie A « sans activité ». La précarisation et les contrats courts s’accentuent et, chez les moins de 25 ans, on note une stagnation du nombre d’apprentis et une augmentation de 2 % des chômeurs.

         Pendant que la grande bourgeoisie se prépare à une généralisation des conflits internationaux, elle mène une guerre de classe permanente contre les travailleurs.