mercredi 30 août 2023

Grand patronat, Medef : crier avant d’avoir mal

 

Pourtant ils le savent : il pleut toujours où c’est mouillé

 

 

Il a suffi que le gouvernement envisage d’étaler sur quatre ans la baisse des impôts dits « de production » à régler par les grandes entreprises pour que le Medef crie au scandale.

         Rien n’est encore décidé ; et on peut parier que quelques centaines de grands patrons trouveront une oreille plus attentive à leurs revendications que les millions de travailleurs auxquels la réforme des retraites a été imposée malgré leurs protestations…

 

Les prochaines permanences :

-aujourd’hui mercredi 30 août, de 11 h.30 à midi, marché des Champioux ;

-Vendredi 1er septembre, de 15 h.30 à 16 h.30, marché du Val-Nord ;

- et de 17 h.15 à 18 heures 15, carrefour « Babou ».

Toutes les semaines, l’hebdomadaire Lutte ouvrière est en vente au Presse-papier, la librairie du centre.

Niger : État français, dehors !

Ah bas le néocolonialisme

 

Niamey, capitale du Niger

L’État français refuse le départ de son ambassadeur, réclamé par les officiers qui ont pris le pouvoir au Niger il y a quelques semaines, et maintient ses 1 500 soldats stationnés dans le pays.

         Plusieurs décennies après l’indépendance, la France continue à se considérer comme chez elle au Niger et à vouloir y faire la loi, en particulier pour garder l’accès à l’uranium présent dans le sous-sol.

         Cette politique néocoloniale de la Françafrique suscite toujours la colère de la population. À juste titre !

 

Argenteuil, AB Habitat : de l’eau souterraine dans les fondations et profond dépit des locataires

La nécessité d’être unis face à l’adversité

 

 

Cela fait maintenant quatre mois que les locataires du bel l’immeuble du XIXème siècle à l’angle de la rue Paul-Vaillant-Couturier et de l’Abbé Fleury ont été obligés par AB Habitat de quitter leur logement et local commercial en péril.

         Ce bailleur dit à tous qui ont été obligés de trouver provisoirement un logement ailleurs ou d’être hébergés par des proches que les travaux vont commencer bientôt. Les sinistrés ne le croient pas.

         Ces travaux risquent d’être très importants, le problème ayant été mis pour le moins en évidence il y a plus d’une dizaine d’années.

         Le degré de confiance porté par les milliers et les milliers de locataires d’ABH ayant fortement chuté ces derniers temps, ceux de la rue PVC ont toutes les raisons d’être inquiets. Leur meilleure garantie est que leur démarche prenne la seule forme principale qui vaille, celle de l’action collective. DM