mercredi 1 février 2023

Manifestations : participation en hausse. En direct de la manifestation parisienne, une interview de Nathalie Arthaud de Nathalie ARTHAUD sur LCI

Combat pour les retraites et le reste – Argenteuil (5) Manifestons à Argenteuil aujourd’hui : rendez-vous à 17 heures 45 devant la salle des fêtes Jean Vilar

 

Une occasion forte de discuter pour élargir et approfondir le mouvement

 

Après le grand succès de la journée d’hier qui exprime que le mouvement se développe, une manifestation est organisée aujourd’hui mercredi 1er février à partir de la salle Jean Vilar à 17 h.45. Nous appelons tous nos proches à y participer

 


 




Quelques photos d’hier

Prochaine grande journée de mobilisation générale à travers le pays

Mardi 7 février

Encore plus fort ! Amplifions notre mouvement !

 

Nos prochaines permanences prévues. Ces permanences prennent tout leur sens dans la période actuelle où nous avons besoin de discuter :

-aujourd’hui mercredi 1er février, de 11 h.30 à midi au marché des Champioux. Les autres vont suivre.

 

Achetez notre hebdomadaire Lutte ouvrière (1,5 euro), et Lutte de classe (2,5 euros) n° 229 en vente :  -au Val d’Argenteuil-nord, bureau de tabac du Val-Nord (le journal seulement) et à la librairie « Le presse papier », avenue Gabriel Péri (On y trouve aussi la LDC) 

 

Le samedi 11 mars 2023, notre banquet 2023 des Amis de Lutte ouvrière à Argenteuil

17 euros et 8 pour les enfants accompagnés de moins de 14 ans

Réservez vos places dès maintenant :MDommarie@aol.com

Manifestations en province : plus nombreux encore

Public, privé, des grandes et petits entreprises à Bordeaux

 

 

A Bordeaux, la manifestation du 31 janvier a rassemblé plus de monde que le 19, 75 000 au lieu de 60 000 selon la CGT. La manifestation est partie de l’immense place des Quinconces et a occupé le centre-ville pendant près de 4 heures. Des travailleurs de plusieurs grandes entreprises avaient une banderole, comme Dassault, Magna, CGI, la CARSAT, les Ports et Docks, les cheminots… mais de nombreux travailleurs de petites entreprises étaient venus en bleu. Chez Magna, ex-Ford à Blanquefort, dont l’existence est menacée, la grève a mobilisé les deux tiers des 700 ouvriers. Et le cortège avait trouvé cette fois-ci le renfort de centaines d’étudiants, notamment de Science Po et de lycéens, certains ayant bloqué les entrées de leur établissement.

 

Manifestation à Périgueux : un nouveau succès… avec les lycéens

 

 

La manifestation du 31 janvier a été encore une fois particulièrement massive. Près de 10 000 personnes ont manifesté dans les rues du centre-ville pendant près de 2 heures, la police comptant 1 000 manifestants de plus par rapport au 19 janvier. La grève a été très suivie à la SNCF. La gare était une nouvelle fois fermée, les ateliers du Technicentre Industriel Charente Périgord presque vides. Dans les cortèges, de nombreux travailleurs, aides-soigantes des hôpitaux, employées des crèches ou vendeurs dans le commerce, sont venus par petits groupes se mêlant aux cortèges syndicaux.

         Les lycéens étaient cette fois plus nombreux. Après avoir fait le tour de plusieurs lycées de la ville à partir de 8h, 80 lycéens se sont retrouvés dans un cortège dynamique, scandant entres autres : « les jeunes dans la galère, les vieux dans la misère, on en veut pas, de cette société-là ». Dans le reste du département, à Sarlat et à Bergerac, les manifestations ont elles aussi rassemblé plus de participants. Beaucoup discutaient déjà de la suite, comme le criaient les lycéens : « ce n’est qu’un début, continuons le combat ».

 

Argenteuil et ses deux résidences pour les anciens : à préserver, il y a urgence

Les anciens méritent mieux (feuilleton local)

Belle apparence mais...

La Ville d’Argenteuil dispose de deux résidence pour les anciens, les résidences Ambroise Croizat dans le Centre, et Jean Baillet dans le quartier du Val-Sud. C’est une excellente chose.

         Le problème est que dans ces deux lieux il y a actuellement de très nombreux studios vides. Le propriétaire du bâti est AB-Habitat. De nombreux appartements doivent bénéficier de travaux de mise en conformité, mais le bailleur tarde, et c’est peu de le dire. Conséquence : des anciens qui pourraient bénéficier de ce logement dans de bonnes conditions ne peuvent le faire, un manque à gagner financier pour le propriétaire du bâti, et financier et social pour le gestionnaire municipal.

         Cette situation va mettre des années encore pour être résolue ? DM