Quand on veut vraiment, on peut
Cette année, tintin !
Il fallait vraiment croiser quelqu’un qui était au courant pour savoir que la fête des vendanges prévue hier était annulée à Argenteuil. Apparemment pour une histoire d’un vent qui au final n’a pas perturbé grand monde.
Bon…
Fin juillet dernier, le maire d’Argenteuil dans une longue lettre aux utilisateurs du complexe Jean Vilar, pour justifier la fermeture jusqu’à nouvel ordre de ce dernier, écrivait entre autres : « Le développement des évènements en plein air, associés avec les grands rendez-vous de la Ville, constituent d’autres opportunités qui s’offrent à vous et que je souhaite développer ».
On espère qu’il ne va pas le développer beaucoup car, un coup de vent de trop, et, pardonnez-nous la formule, il n’y a plus personne.
Si nos souvenirs sont bons, cette fête avait déjà été stoppée nette à quinze heures l’an dernier toujours à cause du vent. Et combien de fêtes de quartier n’ont-elles pas été annulées de la même façon ces dernières années ? Oui, en exagérant un peu, des annulations en rafales !
Et pourquoi n’a-t-il pas offert cette fois encore comme lors d’autres annulations des possibilités de repli ? Il aurait pu ainsi diriger les stands des associations, le pressoir et le raisin dans un autre lieu…
… tel le complexe Jean Vilar par exemple ! DM